Dans la même équipe

8.1K 17 0
                                    

Il était de l'autre côté des douches collectifs, dos à mois. On sortait de l'entraînement de hockey. Plus personne n'était sous la douche sauf lui et moi. Et contrairement à moi lui avait avoué son homosexualité. Je devais sortir de la douche si je voulais que personne ne sache sauf que si je sors de la douche tout le monde verra mon herection qui ne fait que de grandir. J'avais fait la bête erreur aujourd'hui de dérivés mon regard sur ses fesses ce qui avait un effet immédiat sur moi. Je souffla un bon coup avant de regarder si il était toujours derrière moi. Il était enfin partie alors je fis au plus vite pour enlever cette érection retenant mes gémissements du mieux que je pouvais et en imaginant son putain de cul s'empaler sur ma queue. En espérant que personne ne m'aurait entendue je lâcha un râle avant d'éjaculer. Toute la pression retomba. Un orgasme et tout va mieux.
Je me lava au plus vite et sortie de sous la douche. Je pris ma serviette et l'enroula autour de la taille. J'entra dans le vestiaire qui je pensais vide mais en relevant la tête je le vie lui. Comme moi il avait sa serviette autour de la taille et une erection énorme en déformait la forme. Nos yeux se rencontrèrent puis les siens descendir sur ma bite qui avait repris du galop. Il ne dit rien et je ne dis rien. Il se releva et je me dirigea vers mes affaires, nous nous rhabillâmes. J'essaya de ne pas toucher ma queue pour ne pas faire augmenter mon exitation. De temps en temps nos tête se tournait vers l'autre et constations les dégâts.
_tu es gay ?
_cela ne regarde que moi pour le moment et ne fait pas de supposition au autre je suis seul à décider à qui le dire. Bonne soirée Dan.
Je pris mes affaires rageusement avant de partir me coffrer dans ma voiture.

La fac est vraiment un autre monde j'ai eue la chance d'avoir une chambre que pour moi. Ce qui fait qu'en temps que capitaine et donc confessionnal de l'équipe de hockey je suis celui qui accueille tout ceux qui sont bourré ou qui se sont embrouillé avec leur meuf.
Ce soir là quand j'arriva dans mon petit aparte je m'écroula sur mon lit et libéra pour la seconde fois de la soirée ma queue. Posa ma main sur mon gland et le frotta contre mon pouce libérant mon désir. Je continua ma quête de libération et glissa ma paume le long de ma verge lentement, je laissa grimper la pression se traduisant par ma respiration de plus en plus forte et de plus en plus inexistante. Son visage apparut et me laissa que plus haletant.
« Toc toc toc »
_fait chier !
Je me rhabilla en vitesse et alla ouvrir la porte. Il apparut sous mes yeux. Son regard était perdu, ses mains sont sur ses hanches...
_ bandais-tu pour moi?
_pardon ?
_ bandais. Tu. Pour. Moi? Demanda-t-il en décortiquan chaque syllabes.
_je... euh...ouais.
_puis-je entrer ?
Sans un mot je me décala de la porte et le laissa entrer.
_avant que tu ne me repousses et que je ne m'humilie... puis-je t'embrasser ?
Plus un mot, je bandais toujours et je venais clairement de m'exciter en pensant à lui. Alors plus un mot était nécessaire seul l'action que j'allais faire était réellement importante. Je l'embrassa, sauvagement. Il pris ma langue d'assaut et agrippa mes fesses, poussant ma trique vers la sienne. Je le poussa vers le lit, le faisant tomber. Et lui monta dessus attrapant sa ceinture pour la défaire avant de l'embrasser goulûment. Je me détacha de ses lèvres et lui enleva ses vêtements en totalité se retrouvant totalement nue devant moi. Sans préavis il me retourna et dit:
_a mon tour
Je ne me fis pas prié et le laissa faire. Une fois à poils nos corps n'attendaient qu'une chose se faire baiser.
_deuxièmes tiroirs de la table de chevet
Pas besoin d'explication il sort à la boîte et le lubrifiant , là posa sur le coin du meuble, pris une capote, l'ouvris, la mis.
_tu aime te faire dominer ?
_tu aura ton tour après.
Il me retourna appliqua le lubrifiant et n'attendis pas plus. Sa main à moitié sur ma hache à moitié sur ma fesse m'obligeant à rencontrer son basins, faisant des aller et des retours, plus pressant plus brutaux. Déçois en se collant à moi pour me faire sentir son souffle dans ma nuque. Je le força à me laisser me retourner avant de continuer plus fort. Je ne pus le laisser me faire languir sans rien faire, alors je l'embrassa, avalant sa langue et ses râles. Mes mains griffait son dos tandis qu'il continuait à me baisé. Sous son dernier baisé il jouit et s'écroula sur moi après s'être retiré.
_tu as repris ton souffle ?
_ouais, pourquoi ?
_parce que c'est mon tour maintenant...

Chroniques du sexe Où les histoires vivent. Découvrez maintenant