Haut les mains peau de lapin

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-Très bien mademoiselle Johnson on va reprendre depuis le début, dites moi ce que vous faisiez, avec qui, quand et surtout comment votre colocataire est morte ! le ton du policier se voulant agressif et grave, il ne souhaiter en aucun cas ménager la jeune femme en face de lui qui était encore sous le choc et dont les larmes ruisselé encore le long de ses joues.

-Combien de fois vais-je devoir me répéter ? je vous ai déjà tout raconter, j'étais sortis avec des amies de lycée, on a bu quelques verres et quand je suis rentrée, il devait être vingt-deux-heures dans ses horaires là et quand je suis rentrée elle..elle.., Mallory avait du mal à finir sa dernière phrase, elle revoyait le corps de son amie par terre et tout le sang autour, soudain elle se remémora la dernière chose qu'elle avait vu.

-J'ai..j'ai vu quelque chose, c'était une bête ou un homme j'en sais rien je vous assures, reprit-elle sur un ton qui se voulait crédible

-Oui, Oui la fameuse bête qui à attaquer sois disant votre amie ? écoutez en quarante-cinq ans de métier j'en ai entendu des conneries, que les coupables pouvait inventer mais, je crois que vous allez faire partit de mon top 3 juste après l'homme qui m'avait dis que c'étais son hamster qui avait étouffer son collègue, il soupira longuement avant de se masser l'arête du nez et se leva complètement désespérer par les propos de la jeune femme devant lui, il l'a laissa planter là, assise sur sa chaise, pendant qu'il sortit de la salle d'interrogatoire en refermant derrière lui.

-C'est elle j'en suis sure d'habitude il craque tous devant moi, comment elle à fait pour la tuer, on à les résultats du médecin légiste ou pas ? dit-il tapant du poing sur la table comprenant que la situation l'échapper

-Monsieur on peut demander de l'aide d'un de nos confrères ? on est du même camps. demanda l'un de ses subalternes

- Pas question qu'on demande de l'aide à un de ses chiens de détective privée où je ne sais quoi et depuis quand ils font partie de la police eux hein ?

-Depuis maintenant 38 ans ans chère Max, je vois que mes venues te font toujours autant plaisir, j'ai oui dire que tu avais du mal avec ton interrogatoire. la voix se faisait entendre sans pour autant que l'individu se montre, après quelque minutes il sortit de la pénombre et mit sa main sur son épaule avec un sourire, le dénommer Max qui était le chef de la police de New Hampshire était connu pour ses interrogatoires sportif.

-Qui t'a appeler ? dit-il sur un ton désinvolte, n'appréciant pas la venue de son confrère, sachant pertinemment qu'il le prenait de haut et le ridiculiser à chacune de ses venues

-le procureur, il à juger que la situation t'échapper il m'a donc demander mon aide, reste ici je m'occupe de la faire parler, et observe.

L'homme rapporta une tisane et des petits biscuit, lorsqu'il entra dans la pièce, il ne dit rien voulant tout d'abord observer l'accuser des faits, il se décida enfin après cinq minutes de s'asseoir en face de Mallory, et lui déposa la petite collation qui lui avait rapporter, elle le remercia dans presque un murmure et bu quelque gorgée du liquide chaud.

-Une tisane à la lavande, j'ai juger qu'au vu de la situation cela vous aiderai à vous détendre vous m'avez l'air stresser, c'est excellent pour les crises d'angoisse. Il l'a regarder, analyser chacun de ses gestes, jusqu'à sa respiration, le battement de ses cils.

-Laissez moi devinez, vous aussi vous aller encore me poser des questions sur ce que je faisais, avec qui c'est bon j'ai déjà répondu, je veux bien collaborer mais là c'est trop ! Dit-elle en croisant les bras ignorant son regard tout en mangeant son petit biscuit

-Non, est ce que vous aimiez Cassandra ? dit-il le plus simplement du monde.

-Bien sur ! c'était ma confidente, comme une sœur que j'ai jamais eu, je ne lui aurait jamais fais de mal ! qu'est ce que vous croyez ?, que je l'ai tuer à cause d'une dispute ? les voisins ont entendu du vacarme bien avant que je n'arrive et n'ont rien fais et durant tout ce temps elle était en train de se faire agresser, elle souffrait ! Les dernières paroles de Mallory se cassèrent, elle ne pouvait imaginer la douleur dans laquelle son amie avait dû être pendant qu'elle était en train de s'amuser.

-Je n'ai rien dis de tout ça mais ça ne vous écarte pas des suspects, néanmoins, je veux vous croire, vous m'avez l'air d'une jeune femme qui à la tête sur les épaules, belle, forte et sûre d'elle vous n'auriez jamais laisser le corps dans un état pareil et au vu de vos mains aucune marque n'apparaît.

Mallory tourna enfin la tête vers son interlocuteur, il avait les cheveux de couleur brune reflétant très certainement une coloration dû à la couleur de sa légère barbe qui était bien plus claire que l'incarnation de ses cheveux, il devait mesurer dans les un mètre soixante-quinze et devait avoir pas plus de trente ans, Mallory avait remarquer que l'homme devant elle avait de nombreuse cicatrice sur les mains, surement signe qu'il n'avait pas hésiter à les utiliser ce qui pouvait être surprenant venant de l'homme qu'elle avait devant elle, classe, sobre et très bien soigner, personne ne pouvait en redire sur le style de cet homme dont tout paraissait parfait.

-Cassandra avait un petit ami ? ou elle voyait quelqu'un ses derniers temps ?

-un petit ami ? Cassandra en avait plusieurs et même des petites amies ce qui était bien plus rare, mais elle n'était pas faites pour se caser du moins par pour le moment, elle me répéter sans cesse qu'elle voulait s'amuser je l'a voyait souvent avec des hommes ou parfois des femmes qui était à l'appartement il ne rester jamais bien longtemps, et ne les faisaient jamais dormir ici ils, elles repartait toujours quelque heures après toujours avant minuit dit-elle dans un soupire regardant dans sa tasse la tisane qui fumer encore, elle reprit quelques petite gorgés et regarda droit devant elle les larmes se remirent à couler aussitôt

-Dites moi, ça vous ai déjà arriver de voir ou d'avoir crû voir quelque chose et dont personne ne vous croit ? elle baissa aussitôt sa tête reniflant une énième fois sans aucune grâce de sa part, bien que l'homme devant elle avait du charisme elle n'eût pas honte de se montrer aussi déplorable qu'elle ne l'a jamais était, son mascara qui avait couler le long de ses yeux son rouge à lèvre à moitié efface et qui dépasser, son nez et ses yeux encore très rouge

-Malheureusement avec le métier que je fais oui plus d'une fois pourquoi vous avez vu crû voir quelqu'un ? demanda t-il intrigué, elle avait piqué sa curiosité avec cette simple question voulant en connaitre d'avantage, il aimait faire ses propre recherches, voir au-delà de ce que les gens disaient et en décrypté les moindre indices.

-Je l'ai raconté à votre collègue qui m'a prise pour une folle, quand je suis rentrée j'ai vu quelque chose j'en suis sure il..il avait l'air humain mais son visage, il était comme déformer, du sang tout autour de la bouche, son teint j'avais l'impression d'avoir un monstre en face de moi, des qu'il m'a vu il est sortit par la fenêtre. Elle finit sa phrase en passant sa main dans ses cheveux et l'homme la regarda abasourdie de ce qu'elle venait de raconter, comme ci elle sortait de l'asile le plus proche, pour ne pas la brusquer, il hocha simplement la tête et se leva.

-Je vous conseille de ne pas quitter la ville vous êtes toujours la suspecte numéro un, suite à ses mots il lui redonna un petit paquet de biscuit dans les mains et quitta la salle et regarda les deux agents qui n'avaient pas quitter l'interrogatoire des yeux et des oreilles.

-Alors petit génie toujours sur de toi sur ce coup là ? annonça le chef Max avec une touche d'humour

-Toujours, je ne peux prouver que c'est elle qui l'a tuer mais on ne peux pas non plus l'accuser sans preuves, renvoyait la chez elle, vous allez avoir du boulot ça vous changera. Il se mit rire et s'en alla laissant la suite aux services.

Le lendemain matin Mallory fût libérer, son ventre lui faisait signe qu'il était pour elle l'heure de manger après avoir passer tout ce temps en isolement, elle n'avait rien manger, mais n'ayant rien sur elle se résigna a aller acheter du pain, elle mit ses mains dans ses poches de son sweater et senti quelque chose, le paquet de biscuit que l'homme charismatique lui avait donnée, elle l'ouvrit et vit un petit message à l'intérieur et le lit tout bas.

"Haut les mains peau de lapin"

A suivre...

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