crime

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Alors que je tiens toujours la femme j'entends des voix flou je suis tellement en colère que je n'entend presque rien jusqu'à j'entends quelque chose me glace le sens

"adesso fermati Antonio!" Dit une voix asser forte

Je lacha la femme et tourma ma tête lentement pour voir que Winston se tenir debout avec un regard sévère je le regarde avec la rage je m'avance vers lui et quand je suis a quelques centimètres de lui je luis dit Dit voix glacial

"Ne me re dit plus jamais ça " il me répondit sens me lâcher des yeux

"Toi ne recommence plus aucune affaire doit se faire dans le continental " alors qu'il finit sa phrase

Je remarque un homme habillé tout en noir je le salut vaguement de la tête et me retourne vers la femme qui m'a mal parler et je le dit

"la prochaine fois que tu parle sur moi sa sera dans ta tombe ok" dit je d'un ton froid

Je retourne puis parti vers la sortie

Après cet incident au Continental, je , quitte la salle en proie à la colère. Mes pas résonnent dans le silence oppressant de l'ascenseur. Je monte, les souvenirs de l'altercation récent encore présents. La musique étouffée de la fête semble lointaine, déformée par la tension qui règne en moi.

De retour dans ma chambre, je ferme la porte derrière moi. Les émotions en moi, un mélange de rage et de frustration, se lisent sur mon visage impassible. Je m'approche du miroir, contemplant la femme déterminée qui me fixe. Une détermination qui transcende l'obscurité de mon existence.

Je me débarrasse de mon élégante tenue de soirée, révélant une armure de cuir noir en dessous. J'ajuste les sangles avec une précision militaire, se préparant pour la mission à venir. Un holster à sa cuisse accueille son couteau, une extension de mon être. Dans une pochette dissimulée, je range une petite arme à feu, prête à être utilisée avec la même habileté qu'un pinceau sur une toile.

Un éclat dans mes yeux trahit la détermination qui me guide. J'attrape une photo froissée posée sur une table. Le regard intense d'un homme, semble m'observer depuis l'image. C'est une source d'inspiration silencieuse et un rappel constant de ce pour quoi je me bat.

La nuit tombe, et j'émerge dans les rues sombres. Mon apparence, une alliance de noir et de rouge, se confond avec les ombres. J'erre dans la ville, traquant les informations sur ma prochaine cible, guidée par l'écho des murmures nocturnes.

La ville est mon terrain de jeu, les ruelles désertes et les toits d'immeubles abandonnés ses alliés. Je suis prête à plonger dans l'obscurité une fois de plus, prête à poursuivre ma quête de vérité et de justice, masquée sous l'ombre de la nuit.

La ville s'étendait devant moi comme un labyrinthe de mystères. Mon pas silencieux résonnait à peine dans les rues désertes alors que je me dirigeait vers une planque secrète. La nuit m'appartenait, et je la réclamait avec une intensité froide.

Arrivée à ma cachette, je consulte les informations que j'ai recueillies sur ma prochaine cible. Celuis qui m'à tendus un piege Un cartel obscur, opérant dans l'ombre, est devenu la toile de fond de mes investigations. Les images de visages sans scrupules et de crimes impunis hantent mon esprit.

La Démone Rouge s'équipe, sélectionnant avec soin chaque outil. Mes armes deviennent des extensions de ma volonté, une danse précise et mortelle. Les ombres de la nuit deviennent mon allié, m'enveloppant dans une aura mystérieuse.

La mission commence. Je me glisse dans les ruelles, mon regard perçant scrutant l'obscurité. Le bruissement d'un vent nocturne mêlé aux murmures de la ville crée une symphonie sinistre. Chaque coin de rue devient un théâtre potentiel de conflit.

Alors que je m'approche du repaire du cartel, l'excitation de l'affrontement à venir électrise l'air. Les gardes patrouillent, ignorant l'ombre qui les traque. J'observe, planifiant chaque mouvement avec une précision calculée.

Le moment de l'engagement arrive. Je frappe telle une tempête silencieuse. Les cibles tombent sous la danse mortelle de mes lames, l'obscurité s'empare de chaque cri. Je laisse derrière moi une traînée de justice dans les ruelles sombres de la ville.

La mission accomplie, je m'évapore dans la nuit, laissant derrière moi un tableau de silence. Les rues reprennent leur calme, mais mon esprit reste en alerte, toujours à la recherche de la prochaine vérité à découvrir, du prochain ennemi à affronter.
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Note auteur

La Démone Rouge, une force indomptable dans la nuit, continue sa quête implacable, traversant les ombres avec une détermination froide et une justice intransigeante. Chaque nouvelle nuit apporte de nouveaux défis, et elle les accueille avec une sérénité meurtrière. La légende de Layla, la chasseuse masquée, se poursuit, écrite dans les silences de la ville nocturne.

Voilà la fin de ce chapitre dsl si j'ai pas poster mais le voilà

john wick x la demone rouge Où les histoires vivent. Découvrez maintenant