Chapitre 4

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      La sonnerie retentie dans la salle.  Tout le monde se précipita vers une issue.  Idris et Natalie, après une telle révélation et un tel choc, ne comprirent pas ce qu'ils se passait. Mais quand Circinus les poussa en disant « Allez ! Au boulot et bonne chance ! », ils reprirent leurs esprits, puis se dirigèrent ensemble vers la porte de l'école.  Devant celle-ci, un lutin très grand les attendaient.  Il était jeune, avec des cheveux long attachés en queue de cheval.  Il portait des lunettes rondes ainsi qu'un calepin à la main.  Ses habits étaient tout à fait ceux d'un professeur, c'est-à-dire : pantalon et chaussures noires, chemise blanche pardessus laquelle une petite veste à manches courtes reposée sur les épaules de son propriétaire.

« Bonjour chers élèves ! dit l'individu, je suis Christophe et je suis le professeur des premières années.  Je vous prie de rentrer et de vous asseoir à une table. »

Natalie et Idris entrèrent dans une petite salle de classe.  Elle semblait normale, seulement il n'y avait pas de tableau et Idris pu remarquer que pour guise de plafond, une baie vitrée se dressée au-dessus des élèves.  Les objets que contenait cette salle étaient eux aussi spécifiques.  Idris se fit la remarque que lui, sûrement le garçon ayant le plus de vocabulaire pour son âge, ne savait pas nommer les choses qui peuplaient la pièce.

«  Aujourd'hui nous allons faire passer des tests permettant à vous répartir dans des classes.  N'ayez pas peur, car nous, les examinateurs, savons que vous êtes en première année et nous serrons peu indulgent.  Ces tests consisterons à évaluer vos capacités de survie dans un monde un peu dangereux. Déjà, je peux vous dire que cet épreuve n'est pas difficiles par rapport aux nombreuses autres qui vous attendent, car bien sûr, les épreuves deviennent de plus en plus difficiles, histoire de vous faire progresser .  Je vous rappelle que dans deux semaines vous commencerez des vrai missions par groupes.  Ces groupes-là, c'est nous, les examinateurs, qui les faisons. D'abord en fonction de votre niveaux et puis en fonction de vos qualités.  Bref ! Assez bavardé ! Commençons ! Les combats se font entre deux élèves, donc quand j'appellerai votre nom , veillez entrer dans l'arène de combat avec votre adversaire. C'est compris ? »

Toute la classe hochèrent le tête, tous plus pâles que les autres. Puis Victor et Féval furent appelés et tous deux , en tremblant, marchèrent dans la direction de l'arène.

Idris ne vu pas le temps passé, quand, au bout d'une heure c'est lui, qui fût appelé.  Son adversaire était un certain Carcen.  Il semblait humain, seulement sont bras gauche semblait être un canon recouvert d'une écorce rouge d'arbre.  Il avait une expression féroce et des muscles bien marqués.  Ses yeux marrons fusillaient Idris et celui-ci remarqua que Carcen était rasé, avec un tatouage sur le crâne.  En tout cas ce n'était pas le garçon le plus sympathique qu'il eut rencontré.

Le garçon et Idris entrèrent tous les deux dans une arène fort spacieuse.  Des étranges plantes se tortillaient le long des rochers tallés.  Des créatures étranges regardaient les enfants d'un air affamé.  Idris était médusé, quand soudain il entendit :

«  Bienvenue ! Pour cette épreuves, vous devriez arracher à un alligator, demeurant dans le lac, une dents et une fois sortit vivant du lac, il faudra grimper sur un dragon.  Ceux-ci volent dans les airs.  A vous de trouver la solution pour se hisser sur leur dos.  Bonne chance à vous deux et que le duel commence ! »

Sur ceux, comme l'avait annoncé Christophe, l'affrontement commença.  Tout d'abord, Idris regarda autour de lui : trois jurys les observaient d'un air canalisateur.  En effet,  au moins cinq dragons planaient en haut, loin de l'arène, loin de tout.  Idris ne savais même pas par quoi commencer.  Il ne savais même pas comment fallait-il s'y prendre.  Carcen avait déjà disparu, à la recherche de la dent ; mais oui, c'est vrai, la dent !  Comment avait-il pu l'oublier ?  C'est par cela qu'Idris devait commencer, mais la première question qui lui vint à l'esprit est : « Comment peut-on arracher un croc à un alligator, étant donné que celui-ci est prêt à tout pour vous gober, sans laisser passer une occasion d'agir ? »  Soudain il lui vain une idée, pourquoi ne pas s'aider du dragon, sur lequel Idris devait monter ? Mais oui ! Il suffisait de commencer par la fin, de commencer par atteindre un dragon et monter dessus, puis d'essayer de le diriger vers les alligators ! Et puis après... Bah, après Idris improvisera !  Ce n'était pas dans son habitude de ne pas planifier et d'improviser à la place, mais dans une telle situation, Idris n'avait pas beaucoup de temps pour réfléchir, car je vous le rappel que son adversaire était déjà partit accomplir la tâche difficile qu'on leurs imposaient.

Et hop ! Idris revint à ses esprit et galopa dans la direction d'un rempart très haut, peut-être pas assez pour atteindre les dragons, mais en tout cas il s'approcherai de sa cible ! Une fois en haut de celui-ci, Idris contempla le paysage qui naissait autour de lui : une végétation de jamais vu se dressait devant lui, comme si elle lui barrait le chemin.  C'étaient des plantes inconnaissables d'après les connaissance d'Idris, mais il était sûr qu'elles était sûrement dangereuses, car au fond, la beauté est en soi dangereuse !  Voilà ! Quand je vous ai dit qu'Idris était un garçon rêveur, je ne mentais pas !  Il trouvait toujours un prétexte pour s'extasier devant quelque chose.

Bref ! Quand Idris se rappela où il se trouvait, il entreprit de monter un des gros rochers qui s'imposaient sur le terre ferme, à l'aide de ces plantes, qui s'entortillaient entour de leurs rochers, leurs victimes.  Elles étaient d'une forte mauvaise texture ! Gluantes et répugnantes ! De plus il n'était guère facile de se hisser en grimpant le rocher ! C'était donc une tâche bien complexe, mais Idris se donna du courage, mais quand celui-ci arriva jusqu'au bout de la pierre, il vit Carcen, qui lui aussi avait compris par quoi il fallait commencer et il envoya sur un dragon un lasso, sortit de son « canon rouge fait d'écorce ».  Carcen lança un regard menaçant à Idris, puis après s'être hisser sur la bête, il piqua vers le lac.  Idris agit vite et efficacement: il arracha quelques plantes visqueuses de leurs terre et les utilisa pour se forger à lui aussi, un lasso.  Il recopia Carcen sans se casser la tête et s'envola lui aussi en direction du lac.

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