Je m'appelle Louva Wild, une Loup-Garou qui mène une vie simple et tranquille jusqu'à ce qu'IL arrive et chamboule absolument tout.
NDA : Cette histoire m'appartient ainsi que les personnages. Bonne lecture.
Alors que l'horloge comtoise qui est dans le salon sonne 18h00, je suis toujours dans un combat intérieur pour choisir ma robe de ce soir. Une rouge ou une noire ?
Lune- Noire ! Ça fait plus femme réservée mais séduisante. Le rouge, c'est plus la couleur des femmes fatales.
Moi- Depuis quand tu es une experte en mode, toi ?
Lune- Depuis qu'on doit assister à des soirées avec des invités importants.
Moi- Si tu le dis.
Lune- J'ai toujours raison.
Moi- Je parierais pas là-dessus...
Je regarde les robes rangées dans la penderie devant moi et elles sont toutes plus belles les unes que les autres. Bon, on va y aller au hasard. Je ferme les yeux et tends ma main dans le vide qui finit par attraper une des robes que je détache de son portemanteau. J'ouvre mes yeux mais je n'observe pas la robe et je me contente d'entrer dans la salle de bain qui est juste à côté. Après douche chaude, long séchage, dur brossage et coups de 19h00 résonnant comme un traîneau tiré par des rennes, je porte mon attention sur la robe.
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Bon, au moins, elle est moins aérée que celle d'hier, c'est déjà un point positif. Je l'enfile et je dois dire que Nancy a bon goût. Je rentre à nouveau dans mon dressing et observe toutes les paires de chaussures. Je parcours les paires d'escarpins du regard puis celui-ci finit par se bloquer sur des chaussures argenté à talons, avec une bride un peu en forme de serpent.
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Parfait. Je les prends puis je m'assieds sur un petit tabouret. Je les enfiles puis marche avec. Elles sont parfaites. Je me regarde une dernière fois dans la glace avant de sortir de ma chambre pour descendre l'escalier. Arrivée en bas, je me rends compte que tout le monde est déjà à la fête, puisque je ne vois personne dans le salon. Cependant, je peux sentir la présence d'Arthur devant la villa. Tiens ? Je sors de la maison et descends le peu de marches qui mènent à la porte ou dehors, selon le sens qu'on prend. Une fois descendu, Arthur se tient devant moi en complet noir avec une chemise blanche et une rose rouge dans la main. Je vois que ses yeux ne me quittent pas puis il semble reprendre contenance en secouant la tête.
