Résumé :
C'est la saint Valentin au Paradis, et quoi de mieux que ce jour très spécial pour se déclarer. C'était l'idée du premier Homme en ce jour fatidique d'offrir un offrande envers sa seconde tyrannique mais jolie (très jolie). Mais malheureusement une autres personnes décide d'offrir son amour à la jeune femme au plus grand malheur d'Adam.
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Au paradis, de nombreux jours étaient édifiés comme jour sacré donc qualifiée d'extrêmement important par dieu. Et quand Dieu décide que quelque chose valait leur intérêt, aucune personne ne mettrait en doute la parole divine. Des jours où l'amour et la joie sont proclamés plus qu'habituellement, pas comme si le paradis n'était pas un lieu paradisiaque en faite a l'était clairement. Et là saint Valentin était un des événements majeurs, le jour où l'amour trônait en mettre dans leur plaines. Tous s'offrant un cadeau auprès de l'élu de son cœur que ce soit les femmes ou les hommes, l'amour n'avait pas autant d'exigence que le monde le pensait. L'amour pouvait être éprouvé par tout le monde et à n'importe qui, même les Séraphins gagner de nombreuses offrandes. C'était alors un jour que personne ne pouvait oublier et qui serait célébré avec amour et joie, tout ce qui était synonymes de l'idyllique.
C'était cependant un jour extrêmement spécial pour Adam, pas qu'il n'était pas habitué à de telles festivités. Il était le premier homme arrivant au paradis, la saint Valentin n'était qu'une simple formalité qu'il balayait d'une main quand il le voulait. C'était même un jour qu'il apprécie particulièrement, gagnant de nombreux cadeaux dont il ne répondra jamais. Aucune de ces personnes ne l'avaient jamais vraiment intéressé, c'était juste des compagnes pour s'amuser de rien de très sérieux. Depuis qu'il avait perdu ses deux premières femmes, il avait abandonné de trouver l'amour, profitant simplement de s'amuser et de ne jamais rester sérieux. Puis dès le lendemain il avait déjà oublié son nom ou même son apparence, alors celà n'était jamais synonyme d'un intérêt particulier. Ou parfois des offrandes de respect de ses troupes lui étaient occasionnellement offertes bien que ce n'était pas un bonus pour le prochain entraînement.
Cependant il y avait un problème, ce jour n'était pas un jour comme les autres cette fois à son grand malheur. Il regardait la boîte qu'il tenait dans sa main, quand l'avait-il acheté ? Est-ce que quelqu'un l'avait vu acheté cette merde ! Oh nononononon qu'elle boulette il avait fait, il avait acheté cette boîte de chocolat pour quelqu'un. Pour quelqu'un de très particulier pour lui, et ne pu que frissonner en se rappelant du visage de celle-ci. Il finit par se frappé le front, ce n'était pas une putain de bonne idée. Il s'affale sur sa chaise pas encore préparé pour aller travailler, il gratte frénétiquement ses cheveux alors qu'il ne savait pas quoi faire de la suite des événements. Après tout, il pourrait juste finir par jeter le cadeau et continuer sa journée comme si de rien n'était, ouais ce serait l'idée la plus juste. Après tout l'élu de cette boîte de chocolat était littéralement sa seconde et imperturbable Lute, il soupire à cette pensée. Celà n'allait pas le faire, il avait jeté son dévolu sur la pire des femmes de tout le paradis et l'enfer confondu. Elle était froide, stricte, intransigeante tout le contraire de ce qui lui plaisait chez une femme. Elle était la seule qui le force à faire son boulot et le tire par l'oreille s'il osait lui dire non. Comment pouvait-il avoir un intérêt sur une femme si méchante alors qu'il était le putain de premier Homme ! Cependant elle n'avait pas que de mauvais côté et bien plus qu'il ne l'aurait pensé. Alors le voilà assis sur l'une de l'une de ses chaises dans son appartement à regarder un putain de boîte de chocolat, tout son appartement était un foutoir sans nom. Il n'était pas particulièrement fan du rangement et laisser lute sans chargé, cependant la jeune femme avait été occupé c'est dernier temps pour même s'occuper de lui. Peut-être qu'elle est occupée aujourd'hui ? Si c'était le cas, sa journée était déjà en partie gâchée. La jeune femme s'était porté volontaire pour aider les nouvelles recrues pour un entraînement intensif, il plaignait c'est pauvre nouveau. Alors qu'il gratte le bord de la boîte où il y était inscrit en gros "LOVE", puis une révolution. Mais si lute était débordé aujourd'hui il pourrait lui déposé la boîte sans savoir que c'était lui ! Mais quelle idée de génie, il n'était pas le premier Homme pour rien ! Il avait un putain de cerveau !
