La Fille Aux Yeux Vairons (réécriture)

Une rentrée haute en couleurs

Chapitre 2 

Le lendemain, matin j'entends mon chien gratter à la porte. Il vient tous les jours me réveillée en grattant derrière ma porte c'est sorte de tradition que nous avons instaurer. Après m'être étirer je me rends direction la cuisine, Mon petit déjeuner est essentiellement des fruits, par suite de ça j'attache la laisse autour de son cou et direction le parc pour sa promenade. Il fait plutôt beau aujourd'hui, je me lève assez tôt pour le promener c'est à dire 6h30 car cela me laisse le temps de lui faire une balade de 30 min. Ce qui est très agréable dans sa promenade c'est que le soleil se lève en même temps. Malcom est comme un fou, il me tire dans tous les sens. Ma mère persiste pour que je trouve quelqu'un qui pourrait le garder et qu'il finisse ses vieux jours autre part qui ici. Mais pour moi ce chien c'est mon sauveur et avant tout mon meilleur ami et confident, donc je prends en charge les contraintes qui sont imposées. C'est à dire les balades, les frais vétérinaires et les frais de nourriture. Il a maintenant 8 ans mais il est toujours aussi énergique qu'il a 3 ans. Surtout quand nous approchons de l'entrée du parc. Je le lâche pour qu'il puisse courir dans tous les sens, il saute aux dessus des haies. Je sors sont jouet et siffle pour lui montrer que c'est le moment de jouer, je lui envoie plusieurs fois la balle, il est super content ce moment renforcer le lien entre meilleures et camardes de vie. Après avoir bien jouer je regarde l'heure. Oh ! Je vais être en retard si je ne bouge pas.

Je suis arrivée pile à temps, j'aperçois Maddy qui est toujours aussi souriante, mais moi je n'ai plus le sourire depuis maintenant 8 ans. Je me dirige tranquillement vers elle quand je suis interpeller par le bruit d'une voiture. La même voiture que j'ai aperçu ce matin mais cette fois un homme est dedans, il me fixe et me fait coucou. Qui est ce mec sérieusement ? il pourrait carrément jouer dans un film d'horreur, l'angoisse. Je ne le connais pas peut-être qu'il c'est tout simplement tromper de personnes. Je décide d'ignorer son regard insistant et m'approche des listes de classes. Cette année je suis dans la même classe que Maddy ça c'est une bonne nouvelle.

Je mise beaucoup sur cette année car c'est ma première dans une université et j'espère que tout va bien se passer. Maddy n'a cessé de parlée jusqu'à qu'on rentre dans l'amphithéâtre, ce qui est étrange c'est la quantité des personnes agglutiner dans cet espace si grand mais il paraît d'un coup plus petit. Le directeur est présent mais aussi tous les corps enseignent. Ils nous font un discours de rentrée puis ils nous gentiment invités à suivre notre professeur principal. Nous sommes exactement 40 dans cette classe, il nous a distribuer nos emplois temps. Puis nous avons eu les explications sur les rumeurs et la phase de deuil, et la cellule psychologique instaurer pour le meurtre de Dylan, de notre cher professeur Mr Word est un vieux trapu avec des lunettes comme Harry-Potter nous dis de ne pas prendre peur et de me pas marcher dans les rues seul(e)s. Merci Word, il a bien plombé l'ambiance avec ses histoires de meurtre. À la suite de cela nous avons quittez la salle et j'ai rejoint Maddy pour aller direction à la cafétéria, c'est l'endroit que je déteste le plus dans se bahut. Maddy me raconte les derniers ragots assez croustillants d'après elle. Maddy est blonde aux yeux bleus et toute petite, alors que moi je suis presque un monstre sur pattes, j'ai des cheveux noir cordeaux, mes yeux sont vraiment spéciaux, ils sont étranges. Mon œil droit est marron foncé alors que mon œil de gauche est d'un bleu très clair. J'ai hérité d'un œil de mon père et l'un de ma mère. 


- Hey ! Victoire ce soir il y a une fête de rentrée ! Elle va être géniale tu peux venir avec moi dit-elle avec des yeux de biches.


- Tu sais très bien que je déteste les soirées. Je pense que je vais aller courir pour perde les calories de cette après -midi. Puis tu as entendu Mr Word, il ne faut pas sortir le soir c'est risquer. dis-je avec pleins de reproche.