chapitre 4

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PDV LEA

Je me réveille doucement aux côtés de Percy et Damon, ils me regarde comme si je sortais d'un coma d'un an.

-Ça fait combien de temps que je suis là ?

-Ça fait a peine 1 min que je t'ai soigné le bras

Damon as les yeux écarquillés de soulagement.

-Ok, arrêtez de me regarder comme ça, c'est gênant...

-Désolé, c'est juste que tu avait l'air dans un profond sommeil mais bon, tu es réveillée donc ça va tu guéri vite

-Si vous voulez bien, je voudrais rentrer chez moi, mon vrai chez moi...tout ces trucs m'ont retourner le cerveau

Percy a l'air de ne pas comprendre pourquoi j'avais la mine triste en disant ses mots, car mon vrai chez moi c'est en ville, pas dans cette petite cabane paumée dans les bois, puis il y a mon lycée avec toutes mes amie...

Sur ce ton légèrement déprimant, je me leva et les poussa de mon chemin car j'étais déterminée à retourner dans mon apart.

-Léa où est-ce que tu va ? -lança Percy intrigué

-Je rentre chez moi...

-Bon, je dois y aller, Percy, si tu lui touche ne serait-ce qu'un cheveu, je t'envoi en ENFER rencontrer mon père, ok ?

-Rholala qui es susceptible celui là

Damon vient de partir subitement sans raison, je regarde en direction de l'horizon pour réfléchir à un plan.

Vite ! Trouvons un plan pour que je puisse rentrer chez moi sans qu'ils puissent me voir...réfléchit...réfléchit.. Ah ! J'ai trouvé, pendant qu'il dorment, je vais me faufiler a travers les arbres et si quelqu'un me voit, je l'endort avec ce gaz soporifique en face qui dois sûrement servir d'anesthésie

Percy s'en va au bout d'un moment, me laissant seule dans l'infirmerie.

Plus tard dans la nuit, je prépare le peu d'affaires que j'ai puis je met le tout dans un sac à dos, je prendre le gaz anesthésiant à la main pour ne pas à avoir a chercher dans mon sac. J'ouvre la porte tout doucement, il doit être minuit passé, j'ai pris le soin de mettre un polochon dans le lit pour faire croire que je dort, puis je cours en essayant d'éviter les branches susceptible de craquer sous mes pied. Non loin de la porte, un garde est posté, il fait des allés retour pour vérifier que personne n'entre ou ne sort, de ce fait je prend ma bombe soporifique et l'endort sans aucune difficulté.

Je sort avec rapidité du campus pour rentrer chez moi. Je sens des décharges d'adrénaline qui se diffuse partout dans mon corps ce qui m'accélère légèrement. Après une vingtaine de kilomètres je m'assois sur cette route perdue au milieu de nul part, il fait nuit noire et très froid pour la saison, la seule chose auquel je n'ai pas pensée c'est une couverture, ma température corporelle est littéralement en chute libre, mes mains deviennent violettes tel un mort, malgré la non visibilité je le sent mais hélas je n'y peut plus rien. Je me mis a courir vers les petites lueurs qui semblait être une ville à une trentaine de kilomètres, voyant que je ne me réchauffais pas, je me mis sous la lumière du seul lampadaire de cette route, je tremblait de tout mon long la seule chose que je pensais ou plutôt le seul mot c'était : survivre !

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