Prologue

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Le blanc.

Cette couleur immonde.

Cette couleur qui est enfaite plusieurs couleurs.

On peut y trouver du rose, du jaune, du bleu ect..

On m'avais dit un jour que si on voyait des couleurs dans le blanc c'est que l'on est amoureux.

Je n'est jamais vue de couleurs dans le blanc.

Mais le blanc je le vois souvent.

Quand je me lève, quatre murs blanc m'entoure.

Mon lit est blanc, ma commode est blanche et tout est blanc.

Tous sauf mes tenues. C'est les seules chose que j'avais eu le droit de garder, mes vêtement.

Ils sont souvent sombre, rouge foncée, bleu marine, noir.

Le noir c'est l'une de mes couleurs préféré, cette couleurs fait ressortir mes cheveux roux.

Personne ici n'a les cheveux roux, ça fait de moi quelqu'un de spécial. Tout le monde se ressemble, habiller de vêtements clair. Je ne veux pas ressembler aux autres alors je me démarque de part mes vêtements.

Puis les couleurs clair c'est pour les gens heureux, or je ne le suis pas et je ne fait pas genre de l'être.

Je suis ici depuis mes 8 ans.. j'en est 16 donc 8 ans que mes parents mon mise ici. 8 ans que cette endroit m'enfonce plus qu'il ne m'aide.

Je me lève de mon lit pour partir dans la salle conviviale, ils l'appellent comme ça parce que c'est ici que tout le monde va quand ils n'ont rien à faire.

J'ai une place attitré la bas, donc dès que j'arrive si une personne est dessus elle se lève pour me rendre cette place.

Et comme à son habitude quelqu'un y est installé.

Un garçon, cheveux brun, je ne l'est jamais vue avant.

Je me positionne devant lui et il relève les yeux vers moi. Ils sont marron clair, ils pourraient ensorcelé n'importe qui. N'importe qui mais pas moi.

-tu compte te lever un jour ?

-pardon ?

-C'est qu'il est sourd en plus.

Je m'impatiente, je n'aime pas que l'on prenne ma place.

Une petite foule se forme autours de nous. Tous plus bête les uns que les autres. Je n'aime personne ici et tant mieux.

-pourquoi je devrais me lever ?

Il a un sourire radieux, j'aime pas les gens qui sourissent, ils me donnent mal au crâne.

-parce qu'ici tout le monde sais que c'est ma place.

-il n'y a pas de prénom dessus.

-tu joue avec mes nerfs là.

-pardonne moi c'est juste que je ne te connais pas.

Il ne me connais pas ? Ça veut dire qu'il est nouveau.

-donc un nouveau ?

-non.

-ah oui ? Alors pourquoi tu ne me connais pas ?

-je ne sors jamais de ma chambre, c'est la première fois.

Son sourire ne l'a pas quitter.

-et bien tu aurai du y rester dans ta chambre monsieur.

Nos âmes fatiguéesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant