À toi la féministe,
selon la situation,
N'invoquant tes principes,
Que quand arrive l'addition.À toi le woke affolant,
Toujours premier degré,
Se battant ardemment,
Pour interdire Dieudonné.À toi le macho convaincu,
Que ta virilité n'existe,
Que dans ta force superflue,
Et dans la longueur de ta b!te.À toi qui crie au patriarcat,
Qui hurle à l'injustice,
Qui se victimise dans les débats,
Qui dans chaque vie s'immisce.Que ton drapeau soit blanc ou coloré,
Regarde au delà de tes maux,
La censure que tu as créé,
Est bien pire que tout ces mots.