-LE BLOC-

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-Bienvenue au Bloc le nouveau, dit-il en me tendant la main.

Je pris sa main et d'un simple coup de bras le garçon me ramena au dessus de la "Boite".
C'était un grand garçon d'un peu près 1m80, il avait la peau d'une couleur très foncé et de grands yeux marrons. Il possédait une éspèce de sacoche de fortune - elle avait été cousue a la main et on voyait des tissus différents la formée- lorsqu'il vit que je la regardait il la mis sur le coté et commenca :

- Tu dois te demander où tu es, me dit-il.

- Un peu quand même, dis-je avec une voix beaucoup plus assurée qui me surpris.

- Tu es au Bloc, enfin c'est comme ça que nous l'appelons.

-Et pourqu...

- Tu dois également te demander pourquoi tu es ici, dis le type comme si il lisait dans les pensées, Sache que nous ne le savons pas, ne te sens pas concerné nous sommes tous passé par là.

-Comment tu sais ? J'ai l'impression que tu lis dans mes pensées .

- Je sais, je dois te dire que tous le monde a eu ces questions là en premier, mais une autre aussi, ils se demandaient pourquoi n'avait-ils aucun souvenirs.

Je fais pris d'une vague de soulagement, je n'étais donc pas le seul a avoir perdu toute trace de mon passé. Ils étaient aussi passés par là. Mais lui, avait-il connaissance de son prénom ?

- Comment t'appe...

- Je m'appelle Alby, oui j'ai retrouvé mon prénom normalement tu devrais te souvenir du tien dans quelques jours, j'ai remarqué que ça depandait des personnes.dit-il sans même me laisser le temps de formuler complètement ma phrase.

- Là tu commence a me faire peur " Alby ".
C'est comme si tu devinait ce que je voulais dire.

Il ricana puis ajouta:

- Ne crois pas que je suis spécial, c'est juste que c'est prévisible. Donc toi non plus ne croit pas être spécial. Ce que tu vois ici, ce n'est que le commencement de très grandes choses. Dit-il un avec air fière que je ne comprenais pas

C'est vrai, j'avais commencé à regarder les environs, et j'avais très vite remarqué de très grands murs, ceux ci étaient partiellement recouvert de lierre et de liannes, ils devaient faire un peu près une trentaine de mètres de haut. Ce qui était inposant à première vue. Je ne voyais pas non plus ce qu'insinuait Alby, paraît-il des murs ou des petits cabanons éparpillés un peu partout de la grande plaine et a la lisière de la forêt qui se trouvait non loin.
Alby rompit le silence en disant :

- Il faut que tu sache quelque chose le blondinet, chaque mois la boîte remonte tel un ascenseur et elle nous apporte des vivres du matériel et une nouvelle personne. Comme je te l'ai dis tout a l'heure je ne sais pas pourquoi et les autres non plus.

Les autres, eux aussi étaient arrivés dans cette cage.

- Mais où sont-ils ? questionnais-je

- À leurs occupations, mais je dois te faire visiter c'est la règle, en parlant de ça, ici nous avons deux règles fondamentales
Premièrement, ne jamais franchir les portes
Deuxièmement, tout le monde fais son travail ici on accepte pas les feignasses, déjà que l'ont est vraiment peu nombreux faudrait pas que quelqu'un se mette a ne rien faire.

J'écoute attentivement ses paroles, mais quelque chose me restait dans la tête, il avait dit les portes ? Quelles portes ?

- Je vais donc te faire visiter.

Il avanca et je le suivi, au fur et a mesure d'autre questions me virent en tête et je n'écoutais plus vraiment les mots du brun.
Tout d'abord, j'étais blond ? C'est vrai que je ne savait pas a quoi je ressemblais. Je regardis donc mes bras pour ensuite dessandre vers mes pieds, je possaidaot visiblement de grand pieds. Je regardis Alby, était-il aussi grand que lui ? Il avait presque l'impression de le dépasser. Il s'arrêta ce qui interpella le garçon, qui lui demandat :

- Ça va ? Me demanda-t-il.

-Oui, enfin... Je ne sais pas, j'ai trop de question dans ma tête et sans vouloir te vexer je n'ai pas trop écouter ce que tu m'as dit. J'ai un mal de crâne depuis que je me suis réveillé dans la cag... Boite, pardon dans la Boîte. Je sais pas mais j'ai mal de partout et... Et j'en sais rien je cherche dans ma tête mais je trouve rien tous mes souvenirs remonte à mon reveil.

- Je comprends, dis toi que tu as de la chance, moi, je me suis réveillé, seul, dans cet immense plaine sans aucun souvenirs non plus. Je croyais que j'allais mourir, puis un mois après une deuxième personne est arrivé, Minho, c'est lui que tu vois au loin.

En effet, nous pouvions apercevoir un grand asiatique vêtus d'un short et d'un pull fin, a travers celui ci nous pouvions voir les muscles imposants du garçon. Il avait l'air très fort. Je me regarda et sentis un peu de honte venir teindre mes joues en rouges, en effet j'étais le parfait contraire de Minho, je possédais une faible masse musculaire et ma taille n'arrangeait pas mon cas...
J'interrompis les pensées car une douleur vive se fit remarquer, je saignait toujours un peu et mon corps était parsemé d'hechimoses et de petites plaies. Il se serait bien passé de toutes ces caisses...

- Mon dos me fait atrocement souffrir... Souflais-je, pourquoi autant de caisses si mal accrochés au sol ?

- Ah oui, dit-il tout en lâchant un gloussement tu t'es pris les boîtes dans la figure, ce n'est pas très agréable mais on est surpris que ça guéris vite. Peut être devront-nous attendre demain pour te faire visiter ?

-Nan, ne t'inquiètes pas c'est tranquille je vais bien tout va bien. C'est juste que c'est pas très agréable sur le moment, mais je ne peux pas attendre demain. C'est maintenant et puis quelle image les autres auront de moi sinon ?

- Très bien, mais tu viendras pas te plaindre.

Suivre le brun n'était pas si facile, il marchait vite et mon dos j'apprécierais pas que j'accélère le pas, je dis donc faire mine de regarder les installations rapide des plaines pour prendre du repos.
Enfin après 10 minutes de marche qui parurent passer comme une heure nous nous retrouvâmes devant le mur - c'était d'ailleurs la première fois que j'étais aussi proche d'eux, je pouvait donc voir tous les détails qui les formaient certains étaient intactes d'autres non. Non loin de là ce trouvait un bout de mur où il y était gravé des choses, malgré la distance je parvint à lire le mot écrit en gros au milieu: ALBY
Mais quelle était cette chose ?

- Nous voilà donc devant les portes. Cria Alby.

Il avait dû voir que j'étais dans les pensées...

- Ah bah mince alors, c'est quoi cette chose.

- Des portes, plus précisément celles du labyrinthe.

- Du... Labyrinthe ? Dis-je d'un air perplexe voulut.

- Oui, cette chose que tu vois c'est le labyrinthe.

- Comment le sais tu ? Personne n'as la permission d'y entrer !

- Tu penses que les règles existait déjà ? Déjà avant que j'arrive ? Nan... C'est moi qui les aies mises en place. Une semaine après mon arrivé, je suis entré dans le labyrinthe heureusement que j'étais resté près des portes, car celles ci on commancé à se fermer. Et oui, chaque soir les portes se ferment aux alentours de 18h je crois, puis le matin et de rouvrent. Je ne sais même pas ce qu'il y a dedans, la seule chose qu'on sait c'est que la nuit il y rode des créatures...
On les appelle... LES GRIFFEURS !

Ces mots m'ont fait sursauter, bien qu'ils fassent pas peur l'intonation qu'avait utiliser Alby l'avais effrayé.
Pourtant je ne restait pas moins intrigué par ce fameux "labyrinthe".

Bon bah, sur ce bonne lecture
! ;)


Before T&TOù les histoires vivent. Découvrez maintenant