Dans ce roman poignant, plongez dans l'univers tourmenté de Léa, une adolescente aux prises avec ses démons intérieurs. Alors qu'elle lutte contre ses propres démons et les difficultés de son quotidien au collège, elle croise le regard d'un garçon m...
Maman : Léa !! Les cartons ne vont pas se porter tout seuls !! Léa : ouais, j'arrive... Je déteste ma mère, je suis fille unique, elle a détruit ma vie, elle a mentit et a fait en sorte d'avoir ma garde entière, je ne vois mon père qu'un week-end sur deux... J'aime mon père, dès que je verrais mon père, je demanderais à aller devant le juge pour pouvoir faire l'inverse, je ne vois que ma mère un week end sur deux...
Elle fais tout pour je n'aille pas bien la garce !!!
Ouvrier : Ne portez pas tout mademoiselle, moi et mes collègues vont vous aider. Votre mère ne vous aide pas ??? Léa : C'est...euh, elle a mal aux genoux.
Ouvrier : oh, bien. Mais je vais appeler les autres, on ne va pas vous laisser avec des problèmes de dos avec un si jeune âge ! Combien, 15 ?
Léa : presque, 13. Mais merci, je n'ai pas envie d'être toute cabosser aussi...
On transporte tout les cartons dans les pièces respectives pendant que ma Mere était assise sur le canapé au salon, c'était le seul truc monté, elle voulait absolument le faire pour se « reposer en cas de », je ne sais pas ce que je vais vivre à Paris, tout va changé. Mais je pourrais venir voir mon père plus souvent vu qu'il est sur Paris aussi !
Maman : Léa ! Occupe toi de ta chambre et après fais le reste si tu as le temps, je dois passer un coup de fils ton père. Léa : Pourquoi ? Maman : ça te regarde ? Léa : je- Maman : bien, je reviens d'ici 2h.
Elle part, je m'occupe de ma chambre, j'avais acheter un grand faux mur en liège pour y accrocher des photos, j'ai mis une photo de mon père et moi et qui c'est, peut être qu'au fur et à mesure ce mur de liège se remplira ? 2h plus tard
Maman : bon, t-tu as fais toute la maison ? Léa: désolé. Maman : nan, merci.
C'était la première fois qu'elle me remerciait, elle ne s'attendait peut être pas à ce que je finisse toute la maison, sa voix était si douce, si seulement elle pouvait être comme ça plus souvent...
Elle se racla la gorge avant de reprendre sa voix « autoritaire », son regard de supériorité et de relever la tête bien haute.
Elle remonta aussi ses lunettes avant de prononcer cette phrase que je redoutais.
Maman : à partir de Lundi prochain tu vas au collège, ton nouveau collège, je vais acheter tes affaires dès demain. Je te rappelle, je ne prendrais que des trucs sobre, la trousse sera noire ainsi que le cartable et la pochette, les matières auront une couleur propre à elle, je prendrais un stylo quatre couleur noir et je prendrais des étiquettes pour écrire touts les renseignements de quelle st la matière ou autre.
Bien évidemment le reste tu le connais, feutres, crayons, agendas, etc...
Léa : d'accord. Maman : Rassure-toi, tu ne vas pas glander pendant une semaine, tu auras une visite mercredi de 14h à 17h, et je te donnerais quelques exercices de français et de maths avant de reprendre, tu ira faire du sport et un peu dehors. Mais tu as aussi le droit aux jeux vidéo, mais quand c'est stop, c'est stop. C'est clair ? Lea : oui, maman. Maman : bien.
Les ouvriers partent et mardi passa très vite, je met ma veste et prends le bus pour arriver à ma visite guidée. Une fille de mon âge arrive vers moi.
??? : Bonjour, c'est moi qui m'occupe de ta visite, on sera dans la même classea partir de lundi !! Léa : D'accord, merci, euh... June : excuse moi, c'est june, heureuse de te rencontrer, et toi ? Léa : moi, c'est Léa, de même !!!
Elle était très solaire, elle me fis la visite du collège pendant quelques heures avant de le donner mon carnet et mon emplois du temps.
June : Je trouve qu'on s'est assez bien entendue, je peux te laisse mon numéro ? Léa : Ok ! Je te donne le miens aussi !!
On s'échange nos numéros, elle réfléchis un.n moment avant de le proposer quelque chose.
June : dis moi, il reste encore 1h avant que tu partes, tu veux que je te présente les gens de notre classe ? Léa : D-d'accord... June : euh, ça va ? Tu n'as pas l'air bien ? Léa : Non, je, euh, oublie ce n'est pas important. June : tu peux m'en parler tu sais ? Léa : je me faisais harceler dans mon ancien collège.
Je me mis à lâcher quelques petites larmes. Tandis que je pleurais, elle me pris dans ses bras, ses cheveux bouclés (ils sont attachés car elles ne vous,ait pas les avoir devant les yeux pour la visite) me frottait la joue, ça faisait longtemps que je n'avais pas eu de câlins.
Je sentais que ça allait être une belle amitié, peut être même ma première meilleure amie ?
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