Mon Cœur En Otage (Pause)

chapitre 9

- quoi comment ça ma mère ? Ils ont dit quoi sur elle? S'il te plaît dit moi que c'est juste une histoire que tu a invité. Si tu voulais m'effrayer c'est chose faite mais arrête je t'en prie.

- arrête de me torturer comme ça.

Et voilà que tout ce qu'elle s'était dit du fait de ne plus pleurer et de devenir forte venait de s'effondrer. Ses yeux l'ont trahi avec ces quelques larmes qui prenait leur chemin habituel.

Niccólo souffla exaspéré, elle ne le croyais toujours pas.

- est ce que tu vas vraiment prendre le risque de ne pas me croire et mettre ta mère en danger ? Demanda l'homme.

- écoute, je te l'ai déjà expliqué et je me répète. Mon but n'est pas de te faire du mal. Mais nos destins se sont entremêlé maintenant on peut rien y faire. Toi tu ne voudrais sûrement pas qu'un homme que tu ne connais pas s'approche de toi ou de ta famille et moi je veux être présent qu'en cet homme se présentera car j'ai des choses a régler avec lui. C'est aussi simple que ça. Moi en échange j'enverrai mes homme mettre ta mère sur surveillance H24. Tu as simplement à rester ici le temps qu'il se montre en se rendant compte de ta disparition. Et moi je me l'aceuillerai.

- mais qu'est ce qui vous garantit qu'il va venir ici? Pourquoi vous en êtes aussi sûr? Questionna Anja.

- fait moi confiance chaton, je sais de quoi je parle. Ce n'est pas n'importe qui.

Anja avait encore des doutes. Mais comme il l'avait dit quelque seconde plus tôt elle n'allait pas prendre le risque de mettre sa mère en danger du fait de ne pas le Coire.

Alors elle allait Coopéré. Anja n'arrivait toujours pas a y croire. En une journée sa vie venait de prendre un autre tournure.
Elle se fait enlever par un inconnu, elle a failli mourir, un inconnu l'a cherche, et maintenant elle se retrouve contrainte a habiter avec cette homme.

- eh oh? Tu es toujours avec moi ?

- si je comprends bien je ne suis pas prisonnier ? Demanda Anja avec bien des idées derrière la tête.

- c'est exactement ça tresoro.

- alors il n'y aura pas de contraintes a ce que tu me rende mes affaires. Je suis sûr que ma mère s'inquiète.

Niccólo avait bien compris qu'elle voulait le tester. Si il lui donnait le téléphone, elle aurait la possibilité d'appeler la police ou quelque chose comme ça, et ainsi l'accusé de kidnapping. Mais s'il ne lui donnait pas le téléphone cela la donnerai une raison suffisante de ne pas le croire et d'être toujours méfiante.

- ça se n'est pas un problème. Mais a condition de ne pas la dire où tu es, ni ce que tu fais et avec qui tu es.

Il venait vraiment de lui accorder sa confiance la?

- ne pas lui parler de moi quoi. Déduit Anja. Ne t'embête pas je lui dirai que je suis en vacances. Même si ça me coûte de devoir la mentir.

Niccólo poussa un rire moqueur.

- tu ne va toute même pa me faire avaler que c'est la première fois que tu ment ?

Anja le regarda droit dans les yeux pour lui répondre avec sincérité.

- je n'aime pas le mensonge tout simplement.

Niccólo Garda ces pensées au fond de lui, se retenant de l'envoyer sur les rose. Elle voulait le faire Coire qu'elle aimait pas le mensonge. Mais c'est une femme, les femmes ne font que ça. Mentir afin d'arriver a leurs fin.

- je vais te faire confiance et te laisser visiter la maison. Quelqu'un t'apportera tes affaires dans ta chambre. Je dois m'absenter un moment.

Niccólo n'attendit pas de réponse de sa part et tourna les talons.
Mais elle l'interpella quelques secondes.

- attend !

- quoi, je te manque déjà ?

Anja ne fit pas attention et le rattrape.

- je ne connais pas le chemin jusqu'à ma chambre. Cette maison est si grande.

Niccólo l'expliqua le chemin à prendre et sort enfin de sa propriété. Il n'en revenait pas d'avoir fait quelques choses pareil.
Certe c'est pour avoir plus d'information concernant la tentative de liquider les Léonie. Mais il savait au plus profond de lui qu'il n'était pas si agacé que ça.

Et pourtant ce n'est pas dans son habitude, est ce parce qu'il n'a pas eux un seul moment de détente ses temps ci.
Effectivement, chaque jour il s'est senti un peu plus proche de la vérité et il y avait consacrer la majorité de son temps.

Et il ne l'a pas regretté pour autant, il était mieux avancer que jamais.

Les quelques mots que l'homme de l'hôpital lui avait craché même a l'agonie l'avait grandement aidé. Maintenant il savait vert qui tourné et savait ce qu'il devait faire.

Directement après sa venue a New York il s'était mis au travail. Il n'avait même pas eux le temps de se rendre à son club. Bien que ses associés faisait du bon boulot a sa place, mais il devait tout de même être tenu au courant de tout.
Alors c'est ainsi qu'il s'y était rendu.

Arrivée sur place les quelques personnes présentes dans le bare l'avait tout de suite reconnu.
Bien sûr, il ne se préoccupait pas du tout de l'influence qu'il exerçait sur les gens.

- bienvenue monsieur

Ils l'avaient accueilli avec respect tout en gardant une certaine distance.
Lui il les avait répondu simplement d'une signe de tête.

il s'est rendu ensuite dans son bureau, la ou il n'avait pas mis les pied depuis des maintenant deux longue années. il avait tout entretenu a distance.

D'une certaine manier ce club n'était pas comme les autres. une personne ordinaire n'y verrait qu'un barre ainsi qu'une piste de dance. mais sous ces illusion cachait bien d'autre chose.

En descendant les escaliers, quelques souvenir d'il y a deux an remonte. ces années d'absence porte un nom Tania, une américaine qui pensait qu'elle pouvait se moquer de lui comme bon lui semblait. D'allieur , il n'avait aucune idée si elle fréquentait encore les lieux et il s'en fichait aussi royalement.

Niccolo s'empressa de chasser ses penser lointaine dans sa tête et s'installa, il n'était maintenant plus surpris de ce qu'une femme pouvais faire pour arriver a ses fins.

Dès son arrivé sur le territoire, son ami et associé Ethan était mis au courant. Lui avec ses hommes était, comme un radar, il comprenait maintenant pourquoi leurs ennemie n'avait aucune chance contre lui. Et ce n'est pas pour rien n'ont plus qu'il était son amie.

les deux ainsi qu'un autre partageais le club.

donc il n'était pas vraiment surpris quand quelque minute plus tard Ethan apparais dans son bureau.

- on ne t'a jamais appris a frapper?

- Faut croire que tu détins sur moi Léonie. avait répondu Ethan.

Bien que personne ne le montrait, ils étaient content de se retrouver. mais ils ne faisait pas dans l'émotion. Ils se sont simplement donner un accolade amicale.

- Je ne pensait pas te revoir si vite ici. avait avouer Ethan. alors, tu l'a attrapée?