Même satan ne pourra pas rivaliser.

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-Diablos caidos-

Les nuages blancs que nous survolons me donne l'impression d'être le roi du monde. Vous savez comme les petits qui rêve d'être un super héros pour voler jusqu'aux nuage. Certain avait comme rêve de rencontrer leur princesse à la robe pailletée qui les attendrais en haut de la tour pour être sauvée. D'autre avait comme objectif de faire bouger les objets rien qu'avec leur penser. Moi c'était d'échapper à mes responsabilités à 9 ans. Quand ma mère m'apprenais à tirer "au cas où" quelque chose m'arriverait. Et quand je n'y arrivais pas elle me forçait à devenir la cible. Sans jamais me toucher. Juste question de me montrer que si sur le tas je me loupe, je passe à taba. Ça marchait, j'apprenais vite comme ça. Mon taux d'angoisse était si élever quand je devenais la cible que j'en faisais des cauchemars et que ma peau s' assechais sous les larmes qui parcemaient ma peau.
J'étais tremblant mais je retenais la leçon.

- Mr, nous allons bientôt atterrir. M'informe une des hôtesses de l'air.

- Bien.

Mon téléphone sonne dans ma poche de smoking. Je ne jette qu'un coup d'œil avant de répondre à l'appel de ce con.

- Ennio ?

- Mec, c'est hyper important ! Clame-t-il

- Quoi ?

- Promet moi de m'aider !

Le connaissant sa peut partir d'une tâche de vin sur une chemise à un attentat dont il est la cause.

- Aller parle putain ! M'emporte-je

- Y A UN PUTAIN DE CANARD DANS LE JARDIN ! S'indigne-t-il

Mais quel con, pourquoi je suis ami avec lui déjà ?

Je ne prends même pas la peine de répondre et raccroche au nez de ce trouillard.

Je reporte mon attention sur le hublot quand la sonnerie retentit de nouveau.

- Tu m'avais promis de m'aider ! Se plaint-il.

- Tu sais se que tu fais Ennio ?

- Dis moi mon chou.

- Déjà tu arrêtes avec se surnom et tu vas prendre du pain...

- Je vais lui donner à manger ?

- Non c'est pour le mettre dans ton cul ! Bas oui tu lui donne à manger et à mon retour je veux qu'il soit dans mon assiette.

- Mais il va me piquer !

- Ta gueule et fait le ! C'est le patron qui te parle la.

- A vos ordres mon chou.

- Et arrête avec sa ! L'implore-je

L'horizon se dessine plus nettement à mesure que nous rejoignons le sol. L'air frais est revigorant en Belgique. Ici les espaces verts sont d'une beauté à couper le souffle. Tout ses arbres, ses rivières sont affolantes. Et ses nuages qui me rappelles ses yeux. Une vapeur maléfique fait pour appeller le pêcher. Ses iris appellent aux péchés.

Je l'aurais un jour. Je la détruirais puis je la ferais ramper à mes pieds. Elle s'en mordra les doigts.

Mais pour l'instant je prends mes aises sur le territoire belge. Une voiture m'attend à la descente du petit escalier du jet privé qui sépare le sol et moi même.

Les hôtesses de l'air, elles, partent charger le coffre de mes affaires.

Les vitres teintées me font sourire. Je suis obliger de me cacher pour éviter une mort certaine. Ce qui est dangereux ici c'est que je ne suis pas sur mes terres. Le jefe ici ne me porte pas beaucoup dans son cœur.

Arthur Janssens. Petit. Crapu. Chauve. Un œil de verre remplace son globe oculaire droit. Des oreilles décoller. Malgré sa laideur il a toutes les femmes à ses pieds. L'argent rend fou. L'amour aussi. Hein Olympe ? Je la hais.

- Mr ?

Mon regard tombe sur celui du conducteur.

- Je vous emmene au QG de Mr Janssens ou à votre logement ?

- Passer au logement, je vois Mr Janssens ce soir.

- D'accord.

___________

La soirée de ce soir est plutôt remplie. Des corps se réchauffe entre eux dans tout les recoins de la maison de Mr Janssens. Un bar est installer dans la cuisine pour l'occasion. Des amuses bouches sur les plateaux des serveuses qui se déplacent en roler. En mini jupe et des couettes de petite fille sur la tête. Toute brun au yeux vert. Dis donc mais ce vieux porc a des préférence ai niveaux femmes. Elles sont toutes souriantes malgré la petite couche de sueur qui couvre leurs fronts avec la chaleur de la pièce.

Une d'entre elles vient vers moi et m'offre une coupe de champagne. Je la chope et part en direction de son bureau. Pas le temps de faire la fête entourer de barbie qui pue la sueur. Leurs voix pourtant si petite à l'entente à cause de la musique se porte tous de même jusqu'à moi. Un coup de feu retentit. Mais personne ne semble surpris ni même perturber. Je franchis la porte sans hésitation avec juste une lame de 7cm sur moi.

- Arthur mon pote. Clame-je

Il se retourne, comme pris en flagrant delie d'une bêtise de gosse. Comme s'il avait manger tout le cacao dans la cuisine sauf que la il a tiré dans la tempe d'un mec qui d'ailleurs paraît pas en forme avec son teint tout palot et ses iris livide. Bon après c'est normal il est mort. Passons.

- Qu'est ce que tu fous là ? M'attaque-t-il de sa voix grave comme un troll.

- Parler mon ami.

- Je parle pas avec l'ennemie. Juge-t-il

Il pointe à nouveau son revolver, sur moi.

- Ho allons sa fait longtemps cette petite altercation passons à autre chose mon vieux. Aller installe toi.

- Sa fait que 4 mois que tu AS BUTÉ 10 DE MES HOMMES AVEC UNE SEULE BOMBE. PARCE QUE TU VOULAIS QUOI ? ESSAYER TON PUTAIN DE MATOS. Crie-t-il

- Je l'ai avais reçu y a pas longtemps je devais testé leur capacité. Et bon c'est plutôt concluant.

Il change de trajectoire et tire une fois dans les airs, sûrement pour me faire peur.

Je rigole franchement. Il croit faire peur à qui au juste ?

- J'ai très très peur. Aller joue pas au con installe toi et parle avec moi, je te prend juste 2 min de ton temps.

- Ta pas compris je crois !

Je soupire lassé de son comportement pourtant logique mais il me gave sérieux.
Il s'agite petit à petit en se rapprochant. C'est quand il se lance dans un grand discours en regardant par les fenêtres que je m'élance vers lui et en quelque enjamber je me retrouve derrière lui. Je lui prend son bras qui tient son arme et lui fait une clée de bras en penchant son corp vers la table central en entrechoquant son torse et la table en chaîne.

- Maintenant tu vas m'écouter Janssens, j'essaie de retrouver une fille. Olympe Garcias. Je veux que tu retrouve sa trace. Elle est sûrement retourner dans son pays d'origine. Je veux que tu mette tes hommes sur le coup. La Colombie. Je veux que tu l'as retrouve et me transmet sa localisation.

- Pourquoi je t'aiderai ?

- Je suis plutôt violent quand les choses ne vont pas dans mon sens. Rappelle toi se que ma mère a fait à votre cartel la dernière fois. Dite vous que son caractère j'en ai hérité et puis tu me connais hein ! Je sourie à la fin de ma phrase et lui fait un clin d'œil en me penchant vers lui pour qu'il me voit.

- Tu auras des résultats dans 1 mois.

- Tu as 2 semaines.

- Bien.

Je le laisse en plan ici sans me retourner, il a cerner ce que je voulais, je n'ai plus d'obligation à rester là.

Je vais te retrouver Olympe et te faire vivre un enfer.

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Profiter de mes quelques chap bientôt j'aurais une annonce.

Diablos caídosOù les histoires vivent. Découvrez maintenant