Je m'appel Mila, j'ai 17 ans, Je vis chez ma tante, Elle me déteste. Elle me prend pour une moins que rien. Mes parents sont mort il y a de ça 6 ans. Je suis solitaire et je n'aime pas les gens qui m'entoure. Ils me déteste tous. Je n'aie jamais vraiment su pourquoi. "Dans mon monde, le fait de vivre sans parents est une honte. Selon les gens, les enfant qui n'ont pas ou plus de parents sont des enfant mal élever et sont des êtres indésirable de la société. Les personne comme moi, sans parents, n'ont pas le droit d'avoir des amis. On ne l'aie mérite pas. Il parait que nous sommes de mauvaises exemple pour les autres enfant. Nous les poussons a la délinquances et a l'irrespect envers les plus âgées."
Et oui, Dans le monde réelle les familles et enfant résident dans une cité ou alors une résidence pas assez sophistiquer a leurs gout, sont des enfant qui ont hériter d'une mauvaise éducation. Les préjugées. Notre monde en est remplie. Le texte que j'ai citées au dessus, est une caricature du réelle. Ce texte est mon interprétation du monde que je perçois a mon âge. Je vie en France. Je suis Française. Dans mon lycée la seule personne qui ne me persécute pas, est un jeune garçon de 17 ans. Il a redoubler le CE1 parce qu'il est Coréen et que a cette époque ça ne faisais que 1 ans qu'il étais arriver en France. Il ne parlais pas bien Français. Je suis dans un lycée assez prestigieux a Paris. Je suis la seule de ma classe qui viens d'une cité mal famé est détester de tous selon les gens. Le Lycée Stanislas. C'est un lycée privé et il fait aussi partie du top 1 des meilleurs Lycée de France. Les autres élève de ma classes vienne de famille bourgeoise. Oui c'est comme ça que je l'aie appel. Dans ma classe il n'y a que les élèves ayant entre 18 et 20 de moyenne. Je suis la 2eme de ma classe à avoir la meilleur moyenne. 19,95. La première de la classe a 20 de moyenne générale. Elle s'appel Charlotte. Elle me déteste parce que sont petit ami a lui 19,90 de moyenne générale, ce qui fait qu'il est 3eme dans le classement des moyennes de notre classe. Ce classement est ridicule. Je dois bien être la seule qui le pense. Aujourd'hui je suis encore seule. Je ne vais pas me plaindre. Je n'ai pas le droit de me plaindre enfaite. Silence. C'est le nom de l'histoire que je vous raconte. Parce que même avec tout ce que je vis, personne ne verras jamais autre chose qu'un sourire sur mon visage. Pleurer ? Je ne le fais jamais. Ça fais tellement longtemps que je n'aie pas pleurer et que je me retiens de le faire qu'un rien me fais monter les larmes. Plus les jours passent plus ces compliquer de les contenir. Même en étant seule je ne pleur pas. A quoi bon ? De toute façon personne ne soucie réellement de ce que je vie. Je me réfugie dans la musique pour ne pas entendre tout ce qui me fais du mal. Je me sert des livres pour vivre une vie qui n'est pas la mienne mais qui est plus joyeuse que la mienne. Je me sert de mon sommeil pour rêver et contourner ma vie réelle. J'accumule, je ne fais que ça accumuler les emmerdes. Mais, même si c'est dur et que ça deviens de moins en moins supportable, je garde le sourire. Pourquoi ? Parce que si je craque et que je m'effondre, personne absolument personne ne m'aidera a me reconstruire ou même a survivre. On dirais pas comme ça mais, il n'y qu'une seule personne qui a besoin de moi, de mon sourire et de ma (fausse) joie de vivre. Cette personne c'est mon petit frère. Milan. Il a 14 ans. Et lui, si je ne suis pas la pour lui maintenir la tête or de l'eau (quit a ce que je coule et a ce que je me noie), personne d'autre ne le fera. Si je ne garde pas le sourire pour moi ou pour les autres, je le fais au moins pour mon frère. Dés fois, je voudrais juste m'endormir comme tout les soirs et ne plus jamais me réveiller, rester dans mon rêve toute ma vie. Personne ne pourrais m'en vouloir, puisque je ne me serais juste jamais réveiller. Non ?
Comme je vous le disais, je suis seule, il est tard et il fais nuit. Je suis assise au bord du toit de mon immeuble de 15 étage. Je réfléchie avec de la musique dans mes oreilles. Je n'entend pas vraiment ce qui ce passe a côter de moi mais je sent une présence. Quelqu'un viens de s'assoir a côter de moi. Je tourne la tête vers le nouvel arrivant, c'est le coréen de mon lycée. Vous savez ? La seule personne de ce lycée qui ne me persécute pas et avec qui je n'ai d'ailleurs jamais eu de conversation. On ce regarde ou plutôt ce fixe. Ça dois bien durée quelque minute. Aucun de nous ne parle. On ce regarde juste. J'ai afficher un petit sourire qui est bien évidemment lui même faux. Il détaille mon visage puis me dit:
- Je ne comprend pas. Comment les gens du lycée n'arrive pas a voir que tu est briser ? Je ne comprend pas comment personne ne peut voir que ce sourire est faux. Comment ne pas voir que ce sourire en plastique cache un malêtre ? Comment supporte tu ? Comment tu réussie a ne pas pleurer ou te plaindre ou juste ne pas sourire ? Tu a une joie de vivre qui est si fausse. Personne ne le remarque et... je ne comprend pas pourquoi. Pourquoi je suis le seul a remarquer qu'une fille comme toi, ne peut pas allez bien et sourire alors qu'elle vie des choses affreuse mais qui pourtant sourie ris et est joyeuse ? Je voudrais que tu me montre. Je voudrais que tu me montre ce qui ce cache derrière ce sourire faux. Je voudrais que tu me raconte toute ces choses que tu ne dis a personne et que tu garde pour toi alors que tu ne devrais pas. S'il te plait.
Sans comprendre mon sourire avais disparus. Quand il fini par arrêter de parler, mes larmes, oui, mes larmes que j'avais garder pendant des années ce sont mis a couler. Sans comprendre et sans savoir pourquoi j'étais entrain de me dévoiler à lui. Je me suis mise a lâcher quelque sanglot. Et j'ai fini par relâcher absolument tout. Je pleurais bruyamment sans même pouvoir le contrôler. J'avais besoin d'un câlin je crois. Et sans même le demander, deux bras s'enroulèrent autour de moi et une étreinte chaleureuse et pleine d'affection arrivèrent. Quelqu'un avais compris, quelqu'un m'avais comprise. Enfin. Je me sentais bien. Putain c'est tellement bon de ce sentir compris. J'allais enfin me sentir libérer pendant quelque instant. Je me décrocha de lui et essuya mes larmes.
- Tu n'est plus toute seule.
Et pour la première fois, un sourire bien réelle cette fois, apparus sur mon visage. Je crois bien que me période de Silence ce termine ce soir.
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Salut,
J'ai écrit cette histoire, dont le contexte est une invention de mon esprit mais où les penser du personnage sur le monde et le silence sont bien a moi. Je n'ai pas la même vie que mon personnage mais les mêmes sentiments. Je voudrais que tout ceux qui lisent cette histoire et me comprenne ou en tout cas comprenne le personnage et qui on des choses a dire et/ou a raconter sur ce sujet, des personnes qui ne ce sente pas écouter ou qui le sont mais qui on envie de partager leur ressenties, leur expériences. Je vous invite a utiliser cette histoire pour vos réflexion et vos remise en questions. Pour ceux qui veulent je vous invite a écrire votre propre chapitre de "Silence" sur vos comptes a vous et a m'envoyer un message si vous voulez que je le lise.
Vous n'êtes pas seul. Il faut trouver la force de parler et trouver des gens capable de vous comprendre. PERSONNE n'a le droit de vous JUGER.
Gros bisous. <3
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Silence
RandomLe silence. c'est la meilleur option si tu refuse la pitié des autres, si tu ne veut pas te faire juger ou te retrouver face a des personnes qui ne te comprendrons jamais. Le silence. vu comme ça, sa paraît tellement simple, facile. Mais.... quand t...