Mes hommes étaient partis. Ils étaient rentrés chez eux comme je leur ai demandé, je ne voulais pas qu'il voit cet homme. Il était un objet sacré. Et même, blanc pâle, allongé sur un lit poueux, personne ne pouvait lui trouvait de défauts ne serais-ce que les gouttes de transpiration coulant le long de ses tempes, et pourtant si excitantes. Corps nu contre le sien. Le pénétrant dans toute les positions possibles. Ses yeux que personne ne connais se dévoilerai face à moi, devenant noir de désirs, ses mains aggripant mes hanches m'en redemandant encore, et sa voix que seul moi aurait enten... Wow.. Mais que me prenait-il ? Étais-je vraiment en train de penser avoir une relation sexuelle avec un homme, mais aussi avec un meurtrier, un homme que je rechercher. Dingue, ouais je suis un foutu dingue.
Je tournais mon regard de l'homme allongé face à moi pour examiner les lieus. Un table en bois qui tient à peine sur ses pieds, qui par dessus, de l'argent, de la poudre blanche, des seringues, des feuilles, une bougie. Je ne pouvait plus voir tout ça. Imaginant ce bel homme prendre tout ça me répugne. Comment pouvais t-on se droguer autant et être toujours en vie ? Ce garçon est chanceux. Chanceux d'être encore en vie et en liberté. Liberté. Liberté. Merde. J'ai un boulot à faire moi.. Je détournait mon regard sur l'homme et m'avancer à lui, je regardais son dos, si fins et pourtant bien construit qui descendais et remontait au rythme de sa respiration. Mon index glisser sur sa peau frêle, je pouvais voir ses poils s'hérissaient. Je pris ses bras pour regarder ses veines pourtant en parfait état. Mais qui prenait ses drogues ? Mes yeux remontèrent sur le doux visage endormi. Je plaçait une mèche de cheveux derrière son oreille. Dieu comme il étais beau. Comment pouvais t-il faire autant de mal. Il avait l'air si petit, si fin, si innocent. Mes lèvres se posèrent sur son front. Il ne pouvait pas rester, il fallait que je le réveille. Mais l'enquête passait avant, merde. Je fronçait les sourcils remontant alors tout mon corps et détournant une fois de plus mon visage du châtain. Qu'est ce qu'il pouvait être attirant à mon regard !
J'avancais dans les petites pièces désastreuses, sales, c'était encombrant, et sa puait. Mon doigt glisser sur plusieurs objets, puis il s'arrêta aussitôt sur un cadre noir, simple et une photo en contraste noir et blanc. Très triste à première vue, mais ce photoshoop rendait la photo de famille magnifique. Une femme brune se tenait derrière avec un homme, qui se souriait en se regardant. Puis un garçon. C'était lui. Qui tenait la main d'une fille. Sa soeur. J'en étais certain tellement leur ressemblance était flagrante. Puis deux adolescentes entre deux petites jumelles, une un peu plus rondes et maquillée que l'autre, les cheveux un peu plus clair que toute la famille. Les jumelles se ressemblaient tout autant. Personne ne pourrait savoir laquelle était qui, mis à part le changement de couleur des habits, ainsi que de nouveaux nés se tenait dans les bras des enfants des plus grands. Une fille et un garçon. La fille se tenait dans SES bras, à lui.
La famille paraît heureuse. Nombreuse. Mais heureuse ; pas comme la mienne. Je le regardais. Son visage n'avait pas changé. Ses traits fins étaient toujours présent. Ses lèvres fines étaient bien tracées tout comme ses sourcils. Son petit nez pincé que personne ne s'occupait tellement il ne prenait aucune place sur son visage. Le creux de ses joues rosées. Il était beau. Il est toujours bea...
« - Qui êtes vous ? »
Je lâcha le cadre que j'avais quelques secondes dans les mains, qui se retrouvait en milles morceaux sur le sol. Merde. Je m'accroupis aussi vite ramassant les morceaux de verres pour ne blesser quiconques ici.
« - Je...Je...vous rachèterai le même.. Navré..»
Aucune réponse. Je me retournai vers lui. Il était debout face à moi, il me regardait. Ses yeux valsait sur mon visage, il avait les sourcils froncés. Il était concentré. Mais il était beau. Ouais, putain de beau. Ses lèvres bougeaient mais aucuns son n'était sorti.
« - Je vous connais, vous ! » m'avait-il craché au visage comme si j'étais répugnant.
« - Je.. Oui.. Louis.. Je suis ton ancien meilleur ami du collège, Harold Milward..
- Harold ?
- Ou..Oui.»Mais dans quoi je me foutais ?
« - Le Harold ? » ses sourcils était froncé. Je n'hésitait pas pour affirmer cette question. On aurait pu voir que je mentais si ça n'aurait pas était un minimum vrai.
Non. Je n'étais pas son meilleur ami. Je l'aimais mais il me détester. Personne savait que je l'aimais. Ouais. Personne. Et lui.. Il avait été toute ma souffrance. Je me devais de le remercier pour ce que je suis aujourd'hui. Car c'est grâce à lui. Si il ne m'aurait pas humilié, injurié, frappé devant tout les camarades, jamais je n'aurai put me rebeller et devenir capitaine aujourd'hui, et pouvoir le voir face à moi. Un son me sortit de mes pensées. Il riait, il rit face à moi. Il montrait des dents blanches. Sa tête était penchée en arrière me laissant la vue sur son cou, son point faible que tout le monde connaissais dans les années précédentes.
Je m'approchai de lui et posai mes lèvres dans son cou. Son rire s'arrêta pour laisser place à un léger gémissement, ses mains se placèrent aussitôt dans mes cheveux. Je remontait mes lèvres sur sa mâchoire. Ses paupières s'étaient fermées et sa bouche entrouverte. J'arrivais à ses lèvres que j'attrapa entre les miennes. Je mouvais légèrement celles ci, il fit de même, nos langues dansèrent ensemble dans une valse complètement sensuelle, nos mains se cherchaient, nos corps se touchaient, nos bassins se collaient.
Putain, mais que se passe-t-il ?
J'ouvrais les yeux. Je ne rêvait pas. Je passait mes mains sous son chandail caressant sa peau, passant mes mains dans son dos collant un peu plus nos bassins ensembles. Putain. Je me cambra sur lui. Ma virilité contre sa cuisse. J'en ai envie. Je le poussais doucement pour qu'il se rallonge sur le matelas, nos lèvres ne se détacha aucunement. J'enlève aussitôt son chandail, et mes jambes devenues toutes tremblantes. Mon ventre se serra. Ma transpiration coulait sur mes tempes. Mes mains étaient moites et chercher l'élastique du jogging noir du garçon. Mouvant mon bassin contre le sien. Je devenais fou.
Nos corps, nos lèvres, et nos langues, ne se lâchait plus. Et putain, c'était bon. Il était bon.
VOUS LISEZ
Fell For Him. #Larry
FanfictionFiction Larry Stylinson. Je tient à dire que Louis et Harry ne sont pas connu, et ne sont ni chanteurs. One Direction n'existe pas dans cette fiction. Vous retrouverez bien évidemment leur prénoms, leurs noms, leurs familles, leurs proches et peu...