PDV d'Antonio :
Le weekend c'est vite terminé sans encombres de mon côté. Je suis déjà en classe et attends Alexandre dans l'encadrement de la porte. Après plusieurs minutes d'attente, je perds peu à peu espoir de le voir aujourd'hui. Je lâche déjà un soupir dès le début de semaine. C'est pas bon signe.
***
C'est déjà l'heure du déjeuner. Les professeurs m'ont donné d'autres polycopes à rendre pour Alexandre. Je me résigna donc à aller voir la surveillante pour connaître son adresse. Je vais pas me faire ch*ié à l'attendre pour lui rendre ses polycopes.
Sur mon chemin pour le bureau de la surveillante, j'entendis plusieurs messes basses que je n'avais jamais remarqué au paravents. Et je dois vous dire que je ne m'y attendais pas.
— “ T'as remarquer, la pu*te de l'école n'a pas montré le bout de son nez ces temps ci. ”
— “ C'est normal. Les Déchets de son genre se doit de faire profil bas. ”
— “ Un déchet de moins dans le monde, ça vaut mieux. ”
— “ Je plaint ses parents.”
— “ Il aura jamais du voir le jour. Si j'étais lui je me serais tiré une balle dans la tête. ”
J'étais légèrement déboussolé. Je savais très bien que ses insultes lui était destiné. Et pourtant, ses insultes me fit un gros pincement au cœur.
Arrivé au bureau, je demanda l'adresse d'Alexandre à la surveillante. Après lui avoir expliqué la situation, elle me laissa jeter un coup d'œil sur son dossier. Je nota son adresse sur du papier et remercia la surveillante. Tout en rangeant le dossier, elle me dit une phrase qui titilla mes oreilles.
— j'ignorais qu'Alexandre avait un ami.
— Oh non. Je suis juste un délégué de classe à qui on a confié une responsabilité c'est tout.
Je ris nerveusement à la fin de ma phrase. Légèrement gêner.
— oh...
— Pourquoi ?
— tout ce que je peux te dire c'est qu'il était l'opposé de ce qu'il est aujourd'hui. Maintenant va manger jeune homme.
Je l'a remercia une dernière fois et part manger en repensant à ses mots. Il est devenu l'opposé de ce qu'il était avant ? Et aussi, c'est la première fois que j'ai vu le visage de la surveillante légèrement inquiète.
***
La journée c'est terminé plus vite que d'habitude. Je range mes affaires en vitesse et partie chez Alexandre. Je partie au bureau de la surveillante encore une fois pour récupérer ma guitare évidemment.
Sur le chemin, j'ai eu du mal à trouver la maison d'Alexandre. Mais je l'ai quand-même trouver. Son chez lui était plutôt simple. Il y avait un petit balcon et un petit portail. .
En arrivant bien en face de la maison, elle était tout sauf accueillante. Mais j'étais inquièt parceque le portail et la porte d'entrée était ouverte. J'avale difficilement ma salive et entra dans la maison. J'avais un mauvais pressentiment. Un TRÈS mauvais pressentiment.
À l'entré, la maison était banale. Il y avait une table avec une seule chaise et la cuisine juste à côté. À part ça, il n'y avait que des bouteilles d'alcool qui trainait sur les tables et le sol comme déco. Je déposa les polycopes rapidement sur la table et m'apprêtais à partir quand soudain, un grand bruit m'interpella à l'étage.
Avec hésitation, je suis monté pour voir ce qu'il s'est passé. J'ai ouvert une porte et je me suis retrouvé dans une chambre qui était tout le contraire de la pièce précédente. Elle avait des murs recouvert de papier où était dessiné des vêtements de toute sorte, beaucoup de tissu qui recouvrait le sol et des matériels de couture. Je vis quelques choses sous un gros bout de tissu. Je le souleva et vit une machine à coudre encore fonctionnelle. Intéressant.
Soudainement, un bruit retentit a nouveau. Je vis une porte entre ouverte et vit Alexandre à l'intérieur de ce qui semblerait être une salle de bain. Le sol de la salle de bain était taché de sang ainsi que les manches de son pull. Il versait des produits bizarre dans une bouteille mais puisqu'il était plutôt dos à moi je ne vis rien. Mais mon présentement se confirma lors ce qu'une forte odeur d'eau de javel me parvienne.
Il s'apprêtait à boire l'ensemble des produits. Il va crevé s'il bois ça et il le sais. Me*rde. Réfléchis, réfléchis, RÉFLÉCHIS BORDEL. Je regardais tout autour de moi et trouva une bouteille qui trainait par là. J'ouvris la porte sans qu'il ne s'en aperçoit et lance la bouteille. La bouteille percuta violement ça mais ce qui lui poussa à lâché le mélange au sol et un gémissement de douloureux. Alexandre regarda en ma direction avec rage et les larmes au bord des yeux.
— Pourquoi ? POURQUOI TU VEUX PAS ME LAISSER CREVÉ TRANQUILLE !!
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Notre rêves
RomanceCette histoire va parler de jeunes bientôt bachelier et de carrière artistique. Je m'excuse d'avance pour les languages plutôt grossière que je vais y mettre et les fautes d'orthographe. Cette histoire est ma toute première, donc soyez pas trop sévè...