Chapitre 2

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Le vase, d'un beige délicat, était orné de motifs étranges qui n'évoquaient en rien l'alphabet chinois. Les signes, d'un rouge sang vibrant, semblaient danser le long de la surface lisse du vase, changeant de forme à mesure qu'ils descendaient vers sa base. Posé sur la table du salon, le vase imposant, mesurant la moitié de la taille d'un adulte, semblait émettre sa propre lumière. Le beige semblait presque transparent, révélant la qualité de la poterie, tandis que le rouge semblait irradier d'une énergie mystérieuse.

Son aspect était si authentique, si unique, qu'Ahmed doutait de son origine chinoise. Les inscriptions, si étranges et énigmatiques, ne ressemblaient à aucune des langues chinoises qu'il avait rencontrées dans ses recherches.

Ahmed se demandait s'ils étaient tombés sur une pépite rare ou s'il s'agissait d'une fraude habilement réalisée. Cependant, la qualité exceptionnelle du vase et la pureté de sa matière laissaient peu de place au doute. Il se sentait pris au piège entre la fascination et la curiosité envers cet œuvre peu commune.

En essayant de lire les inscriptions qui ressemblait à un mélange harmonieux de trait et de points, elles avaient une forte similitude à une écriture destiné aux aveugles, ce qui était quasi impossible considérant qu'à l époque probable de ce vase le système de braille n'était toujours pas créé et ni Al Amidi était né. Mais Ahmed se disait qu'il y avait une possibilité qu'il est tombé sur une ancienne tentative pour permettre aux aveugles de lire.

Cette découverte excita énormément le passionné puisqu'il a devant ses mains une information qui peut chamboulé le monde archéologique et revoir la vision sur le monde antique.

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⏰ Dernière mise à jour : May 08 ⏰

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