Chapitre 26

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 Je me tenais là, observant Maya et Max de loin. Les émotions tumultueuses se bousculaient en moi, un mélange complexe de regret, de colère et de jalousie. Je savais que j'avais merdé avec Maya, que j'avais trahi sa confiance d'une manière impardonnable. Mais voir Max à ses côtés, la façon dont il la regardait avec tendresse et attention, faisait bouillonner une rage sourde en moi.

Je m'étais résolu à laisser Maya tranquille, à lui donner l'espace dont elle avait besoin pour guérir. Mais la voir avec un autre homme, savoir qu'elle pourrait s'éloigner encore plus de moi, était une torture pour moi.

Une voix sombre murmura à mon oreille, me soufflant des mots de rage et de désespoir. Je me débattais intérieurement, essayant de contrôler la part obscure de moi-même qui grondait de plus en plus fort.

Soudain, l'annonce de James concernant les parents de Maya me ramena brutalement à la réalité. La détresse de Maya, la peur dans ses yeux, me frappèrent comme un coup de poing. Je réalisai alors à quel point j'avais été égoïste, à quel point j'avais été aveugle face à la douleur de ceux que j'aimais.

Je me sentais comme un idiot, incapable de trouver les mots pour réconforter Maya dans ce moment difficile. Je m'approchai d'elle doucement, mon cœur battant la chamade dans ma poitrine.

"Maya," commençai-je d'une voix rauque, "je suis tellement désolé. Pour tout. Je... je ne voulais jamais te faire de mal, je ne voulais jamais..."

Elle leva les yeux vers moi, ses prunelles empreintes de tristesse et de chagrin. Je pouvais voir la douleur qu'elle ressentait, la peur pour ses parents malades.

"Sirius," murmura-t-elle doucement, sa voix brisée. "Je... je ne sais pas quoi faire. Mes parents..."

Je m'agenouillai devant elle, posant doucement mes mains sur les siennes. "Maya, je suis là. Nous sommes tous là pour toi. Je vais venir avec toi à l'hôpital, si tu veux."

Elle me regarda, ses yeux cherchant les miens avec une intensité déchirante. Puis, lentement, elle hocha la tête. "Oui, s'il te plaît. Viens avec moi."

Je sentis un poids se soulever de mes épaules alors que je me levais, prêt à l'accompagner où elle voulait aller. James et Lily se tenaient à nos côtés, leurs visages empreints de soutien et de détermination.

Lorsque nous arrivâmes enfin à l'hôpital, nous fûmes accueillis par l'agitation habituelle du lieu. Les médicomages s'affairaient, les patients étaient pris en charge, mais nous avions une destination en tête.

Maya nous guida vers la chambre de ses parents, sa main serrant la mienne avec force. Je sentais sa peur, sa détresse, mais aussi sa détermination à être forte pour sa famille.

En entrant dans la chambre, le cœur me manqua de voir l'état de ses parents. Ils étaient pâles, affaiblis par la maladie, mais leurs yeux s'illuminèrent en la voyant. Des larmes coulèrent sur les joues de Maya alors qu'elle se précipitait vers eux, les prenant dans ses bras avec tendresse.

"Ma chérie," murmura sa mère d'une voix faible mais empreinte d'amour. "Nous sommes désolés que tu aies à voir ça."

Maya secoua la tête, ses larmes mouillant leurs joues. "Ne vous excusez pas, maman, papa. Je suis là pour vous. Nous sommes tous là."

Je restai debout près de la porte, observant la scène avec un mélange d'émotions indescriptibles. La tristesse pour Maya et sa famille, la culpabilité pour mes propres actions passées, et le désir ardent de faire quelque chose, n'importe quoi, pour les aider.

Lily se tenaient à mes côtés, son regard plein de compassion pour James et Maya. Je pouvais sentir son soutien silencieux, sa présence réconfortante dans ce moment de chagrin.

Je m'approchai doucement du lit, posant une main sur l'épaule de Maya. Elle tourna son visage vers moi, ses yeux rougis par les larmes rencontrant les miens. Je voulais lui dire tellement de choses, mais les mots semblaient insuffisants face à une telle douleur.

"Maya," commençai-je doucement, sentant les mots sortir avec difficulté de ma gorge serrée. "Je suis là pour toi, peu importe ce qu'il se passe. Nous allons traverser ça ensemble."

Elle me regarda, ses yeux reflétant une gratitude profonde mêlée à la douleur. "Merci, Sirius," murmura-t-elle, sa voix tremblant légèrement.


Je m'approchai doucement du lit, posant une main sur l'épaule de Maya. Elle tourna son visage vers moi, ses yeux rougis par les larmes rencontrant les miens. Je voulais lui dire tellement de choses, mais les mots semblaient insuffisants face à une telle douleur.

"Maya," commençai-je doucement, sentant les mots sortir avec difficulté de ma gorge serrée. "Je suis là pour toi, peu importe ce qu'il se passe. Nous allons traverser ça ensemble."

Elle me regarda, ses yeux reflétant une gratitude profonde mêlée à la douleur. "Merci, Sirius," murmura-t-elle, sa voix tremblant légèrement.

Finalement, alors que la nuit tombait doucement à l'extérieur, les médecins vinrent avec des nouvelles. Les parents de Maya étaient stables pour le moment, mais leur état restait critique. Ils avaient besoin de soins intensifs et de toute l'attention possible.

Maya semblait à la fois soulagée et accablée par ces nouvelles. Elle se tourna vers moi, ses yeux cherchant les miens avec une intensité qui me fit frissonner.

"Sirius," murmura-t-elle, sa voix empreinte d'une émotion profonde. "Je... je ne sais pas quoi faire. Je ne veux pas les laisser, mais..."

Je pris doucement ses mains dans les miennes, les serrant avec force. "Maya, nous trouverons un moyen. Nous serons là pour eux, pour toi pour ton frère. Tu n'es pas seule dans tout ça."


Maya me regarda, une lueur de reconnaissance dans les yeux. "Merci, Sirius. Merci d'être là pour moi."

Je lui souris, sentant un poids se soulever de mes épaules alors que je la regardais avec détermination. "Toujours, Maya. Je serai toujours là pour toi je t'aime."

Nous passâmes la nuit à l'hôpital, restant aux côtés des parents de James et Maya, les soutenant de notre mieux. Alors que l'aube pointait à l'horizon, les premières lueurs de lumière traversant les fenêtres de l'hôpital, je sentis un sentiment de soulagement m'envahir. Les parents de James et de Maya étaient stables pour le moment, et ils étaient entre de bonnes mains.  

-Maya Potter- pari stupideOù les histoires vivent. Découvrez maintenant