Chapitre 3

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Une fois sortis je expirai un grand coup et pris la route pour le lycée. Une fois arrivais je vis Aiden et Max.

-Il s'est passé quoi hier Eva ? Dit Max un peu inquiète.

-Oh rien de très important, je me suis sentis mal. Encore désoler de vous avoir laisser seuls hier, j'étais pressée.

-Pas de soucis mais tu es sûre d'aller bien ? Répondis Aiden à la place de Max.

-Oui, promis.

Ils sourient tous les deux et nous allons dans la cour. Arriver, je vois déjà une fille que ne n'aime pas, vous savez, les petites pestes là. C'était une de mes anciennes harceleuses, une des seules qui est dans le même lycée que moi. Il y en a seulement quatre qui sont dans le même lycée que moi, les autres se sont tournées vers des écoles spécialisés. Depuis que Aiden et Max sont amis avec moi tout ça à cesser et je me suis sentis libre. Ils m'ont vraiment aidé, à vrai dire ils sont tous pour moi.

-Oublie là Eva, elle ne te fera rien. Dit Aiden.

-Mm.

Je n'arrivais pas à décrocher mes yeux d'elle, ils étaient comme scotcher. Max me pris la main, ce qui me fis arrêter.

-Ne t'inquiète pas. Dit-elle d'une voix rassurante.

-Oui, tu as raison.

Elle me sourit, et nous reprenions notre discussion. La sonnerie sonne après quelques minutes, nous nous rangeons et notre professeur principal, M. Prame, viens nous chercher et nous fais monter en salle de cours. Je suis contente d'avoir cours avec notre professeur principal, c'était un de mes professeurs préférés. Nous faisons donc cours d'anglais aven M. Prame. J'adore certes l'anglais, mais cette fois-ci je n'écouter rien au cours et je ne parler qu'avec Max.

-Eva, concentre-toi. Toi aussi Max. Dit Aiden en chuchotant.

-Oui Aiden, détend-toi, on peut quand même un peu vivre nan ? Dit Max.

-Mais t'as déjà du mal en anglais, alors ça serait bien que tu te concentres un peu.

Elle lui tire la langue et nous reprenions notre discussion. Sauf que cette fois-ci ce n'est pas Aiden qui interviens mais M. Prame.

-Veuillez suivre le cours jeunes filles.

-Oui monsieur. Dis-je ne baissant la tête.

-Bien reprenons.

Je me tus et repris mon cours. Aiden ricanait en se moquant un peu de moi et je lui tirai la langue. Après avoir étudier de l'anglais pendant deux heures, nous quittons la salle de cours et allons à celle de français. Arriver devant la salle, j'eu un mal de tête, je ne montre pas mon mal et décide de rentrer en classe. Arriver nous étudions la philosophie ce qu'y ne m'intéresse absolument pas. Mon mal de tête ne s'arrête pas et le cours m'ennuyer à en mourir. Après quelques minutes j'aperçus les « peluches vivantes » (le nom que je leurs donne). J'hallucine à nouveau, je les voyais se baladés dans la salle de cours. Il y en avait de plusieurs couleurs, des oranges, des verts mais aussi des rouges. Ils semblaient vraiment à des peluches, comme celles qu'on donne généralement à un nouveau-né, ça ressemble à un chiffon un peu. Je les regardai faire ce qu'ils faisaient, c'est-à-dire : voler des stylos, touchés aux cheveux des autres, jouer à sauter de table en table. Puis la professeure interrompit ce moment.

-Mademoiselle Shino, veuillez-vous concentrer, la philosophie n'est déjà pas simple, donc si vous n'écoutez pas elle le sera encore plus.

Je n'avais rien entendu de ce qu'elle m'avait dit à cause du bourdonnement dans mes oreilles, je ne pouvais pas parler, je me sentis partir et ma tête tomba sur mon bureau.

Quand je me suis réveiller, j'étais à l'infirmerie. On m'expliqua que je m'étais évanouis, tout me revient à ce moment-là. Je leurs donnas les explications voulus : « As-tu manger ce matin ? » « Serais –tu les raisons du malaise ? » Et bien d'autres. Après avoir finis cet interrogatoire, je sortis avec un petit gâteau de l'infirmerie qui ne tenus pas cinq minutes avant d'être engloutis. Je regardai l'heure et vus qu'il était onze heures et des brouettes, ça allais bientôt sonné donc je me suis dit que ce n'était pas la peine de retourner en cours pour quelques minutes. Les petites peluches vivantes avaient disparu. Je tentai de marcher jusqu'au CDI quand je trébuchai et faillis tomber la tête la première sur le bitumes. Mais quelqu'un me rattrapa, j'eu la même sensation que quand on m'a tenu dans le couloir la dernière fois. Je regardais partout, personne n'était là, ça voulait dire qu'un être surement humain invisible m'as sauvé ! Il me remit droite et disparus, je ne le sentais plus. Je décidais d'oublier ça et de continuer à marcher pour aller au CDI. Arriver, je me décidais à finir mon livre avec le peu de temps que j'avais, figurez-vous que je n'ai pas réussis, ce qui est normal. A la sonneries, Aiden et Max me rejoignirent et étaient super inquiets pour moi.

-Ça va !? Pourquoi tu as fait un malaise !?

-Ne vous inquiétez pas, je vais bien.

-Si t'as fait un malaise c'est pas pour rien Eva. Dit Aiden.

-J'avais juste mal à la tête, j'ai fait un malaise surement à cause de l'épuisement.

-Si tu as à nouveau mal dit le nous, on t'aidera.

-Oui Aiden, te n'inquiète pas.

Ils me firent un câlin et je les embrassai. Après ça, nous retournons à notre coin habituel avec nos poufs préférés. J'hésitais à leurs parlais de me hallucinations, j'avais peur qu'ils prennent pour une malade, une folle. Devrais-je ou non ? Je sais pas, je ne sais plus. Et où vont les petites peluches vivantes quand je ne les vois plus ? Et qui est cet être qui vient me voir et me sauver ? Et pourquoi est-il invisible ? Pourquoi suis-je la seule à les voir ? Je me posais toute sortes de questions de ce genre de questions.

-Je m'appelle Eden, enchanté.

J'écarquillas les yeux, et me demandais qui venait de dire ça, si j'étais la seule à avoir entendu ça. Et si c'était la fameuse chose qui venait de me parler ? J'hallucine encore, non ? Je ne sais plus, je suis perdu.

-Eva, tout va bien ?

-Oui, je viens juste de me souvenir d'un truc.

-Oh, d'accord et c'était quoi « ce truc » ?

-Rien d'important ne t'inquiète pas.

-Je ne m'inquiète pas.

-D'accord.

Ils commencèrent à parler ensemble pendant que moi je réfléchissais à ce qui venait de se passer. Je rester concentrés sur mes pensées quand je vis une main me faire coucou. Je me levai, pris cette main par la main et sortis dehors.

-Qui tu es ? Et pourquoi je te vois ?

La main pointa quelque chose derrière moi. Je me retournai et vis un petit garçon qui devait être âgés de seulement treize ou quatorze ans.

-Qu'est ce tu fais dans la cour des lycéens petit ?

-C'est moi que tu appelles petit ? Je suis plus âgé que toi. Dit-il d'un ton moqueur.

-Vraiment ? Je ne te donnais que seulement quatorze ans.

-Je suis beaucoup plus vieux que ça, tu sais qui je suis ?

Je l'écouter quand je vis qu'il lui manquait une main. Après cette question la main qui m'avait pointé cette personne se rattachas à son poignet. Comment était-ce possible ?

-Tu es...

-Eden ? Oui, that's me.

-Tu me veux quoi ?

Il commence à me faire peur, est ce que ce serait un pervers ? Et pourquoi son corps est capable de faire ça !?

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⏰ Dernière mise à jour : May 17 ⏰

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