Like The Snow [OS shingeki no kyojin Rivetra]

Like The Snow

Elle était fragile. Lui était aussi dur que le fer. Elle avait des bras si fin. Lui les avait musclé et fort. Elle souriait souvent. Lui ne montrait jamais son bonheur. Elle avait les cheveux d'un beau blond vénitien éclatant. Lui les avait aussi noir que le charbon. Elle était douce et gentille. Lui était un sadique caporal. Elle, était trop fragile... Aussi fragile que la neige. Oui c'est ça. Petra avait la beauté, la douceur, la fraicheur, et la fragilité de la neige.

Elle cessé de respirer il y a un mois. Oui, un mois aussi long que pouvait l'être dix ans. Pourtant, Livaï restait le même. Impassible, froid, associable, comme tous les jours, avec ou sans elle. Pourtant, son cœur ne cessait de souffrir un peu plus chaques secondes, et personne ne pouvait le voir. A présent, son café avait un goût fade, et il n'y avait plus le beau sourire de Petra quand elle arrivait, un plateau de bois porté à une main avec dessus posé ce café que le Caporal aimait par-dessus tout. Tout les soirs, il allait se coucher plus tôt, se posant sur la chaise devant son bureau, tenant fermement dans ses doigts, la blason de cette rousse. Il le contemplait pensant à ses moments passé avec elle. Oui, ces si beaux moment qu'il avait passé avec Petra.

Flash Back

25 Décembre 849

Petra avait rejoint l'escouade Livaï depuis plus d'un an. Et les disputes sont assez rare, tous s'entendent pour le mieux. Les expéditions étant moins nombreuses pour les fêtes de fin d'année, l'escouade était parti dans leur famille. Tous sauf elle. Oui, Livaï la regardait, elle était assise à cette table, les yeux mi-clos, les poings sur les cuisses. Il se contentait de la regarder, appuyer sur l'encadrement de la porte. Petra sentant un regard persistant sur elle tourna la tête.

-C-caporal ? Dit-elle choquée. Vous n'êtes pas rentré chez vous ?

Il ne répondit pas et partit s'asseoir en face d'elle. Tout deux avait l'air de s'en ficher qu'il s'agissait du jour ne Noël. Après tout, Petra bien que très proche de sa famille n'avait pas envie de les voir de peur de ne pas avoir le courage de revenir dans le bataillon. La rousse avait baissé les yeux, un silence pesant restait dans la pièce. Livaï, quant à lui, avait les yeux fixer sur le visage de Petra qui avait des couleurs légèrement rouge collés sur ses pommettes. Cela la gênait-elle tellement qu'il la regarde comme ça ?

La petite avait toujours eu peur que le Caporal ne l'ai choisi que parce qu'elle était jolie, et non pour ses capacités de battante. Or, avec les semaines, elle se rendit compte que c'était pour ses qualités à mettre à terre du titan. Mais il restait toujours aussi méprisant, même le soir de Noël. Pourtant, il y avait quelque chose qui faisait qu'il avait l'air content de passer Noël avec elle.

Un mois avant ce soir là, Petra c'était rendu compte que quelque chose n'allait pas chez elle. Quand Livaï lui parlait, elle rougissait. Quand il regardait dans les yeux elle les détournaient. Et dès qu'elle le croisait son cœur se mettait à battre anormalement vite. Ce soir là aussi, Petra avait posé sa main sur sa poitrine afin de calmer les battement incessant de son cœur qui pompait tellement fort qu'elle avait l'impression qu'il allait lui déchirer le torse. La blonde vénitienne respirait longuement, lentement, essayant de reprendre le contrôle de son rythme cardiaque. Inutile. Le regard que Livaï laissait sur elle ne faisait qu'accroitre ses rougeurs. Oui, même si il la rabaissait, même s'il jouait indifférence avec elle, Petra en était tombé amoureuse.

Les yeux du Caporal perturbant trop la petite blonde, elle se leva alors que Livai levait un sourcil. Elle prit le couloir et sortit par la grande porte de bois. Une fois dehors, elle restait appuyé contre la porte, respirant a plein poumons l'air frais et pur de l'hiver. Les palpitations de son cœur se calmèrent peu a peu. Alors laissant ses jambes aller là où bon leur semblaient, elle s'installa devant le QG dans l'herbe légèrement humide, le menton levé vers le ciel nocturne de ce soir de Noël. Le froid faisait rougir son nez et ses joues, ses doigts devenaient aussi froid. Elle soufflait dans le creux de ses mains avant de les frotter l'une contre l'autre. Elle entendit alors le bruit des botes contre la terre gelé du sol. Petra suivait des yeux le Caporal Livai qui s'approchait d'elle. Il regardait un point fixe en face avant de s'asseoir à côté de la blonde. Il croisa les bras de façon a ce que le bout de ses doigts soient aux creux de ses coudes pour les maintenir au chaud. De ses yeux couleur miel elle scrutait les détails de son corps. Si elle était moins timide et renfermée, elle l'aurait embrassé après s'être jeté sur lui. Mais constatant qu'elle le fixait, Petra tourna la tête d'une vitesse faisant voler ses cheveux dans le vent