𝐍𝐞𝐬𝐬𝐚𝐲𝐞𝐦 | 𝐔𝐧𝐰𝐚𝐧𝐭𝐞𝐝 𝐋𝐨𝐯𝐞 [ CORRECTION]

37 𝙻𝚎 𝚜𝚒𝚕𝚎𝚗𝚌𝚎

𝙲𝚑𝚊𝚙𝚒𝚝𝚛𝚎 𝚃𝚛𝚎𝚗𝚝𝚎 𝚂𝚎𝚙𝚝

𝙽 𝙴 𝚂 𝚂 𝙰 𝚈 𝙴 𝙼
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Et dans ce silence lourd, je compris enfin que certaines choses ne peuvent être effacées, que la vérité, aussi sombre soit-elle, finit toujours par surgir, comme un spectre du passé prêt à tout engloutir.

Dans ce silence pessant, je m'avance jusqu'à être face à ma tante qui elle était assise comme toujours sur la chaise de la cuisine, cette fois-ci j'ai plus l'impression de déjà vu. Elle remue son thé à l'aide d'une cuillère et la pose. Elle lève les yeux vers moi comme si elle appréhendait déjà mon regard confus.

— : On va avoir un chat. Une voix s'approchant me fis sursautée de surprise pour

C'était les seuls mots que j'avais réussi à comprendre dans sa phrase. J'encre mon regard dans le sien. Attendant un moindre signal qui puisse me faire comprendre que c'était une blague. Mais rien..

— Pourquoi faire ? Demandais-je perplexe.

— Jawara en veut un. Continue ma tante en s'approchant de la cuisine

Jawara, je comprends mieux si c'est venant de sa part. C'est tout à son effigie de vouloir des choses insignifiante à ses côtés. Je déglutis et tend mon regard vers l'horloge installée derrière ma tante, dans un coin de la pièce un meuble de cuisine accompagné de cette horloge ancienne étaient disposé. Comme si tout était calculer. Ou sûrement moi qui me fait de films dans ma tête.

J'attends quelque instants avant de tourner mes talons et lui faire dos. Puis marche jusqu'au salon. Un pièce encore inconnue pour moi car à part ma chambre je ne vais dans aucune pièce de cet appartement. Je me sens mal à l'aise, ce manque d'air qui emprisonne mes paumons me fait suffisamment suffoquer au quotidien. Mais cette impression d'être déjà habitué à ce genre de sensations ne me quitte pas d'un poil.

Dans le salon l'architecture est bien plus différente des autres pièce, les murs sont beiges ou gris je sais pas trop, un meuble de télévision noir et blanc qui sert de soutien à la télévision est juste au dessus. Des plantes en plastiques à gauche et à droite, un tapis gris. Et la pièce centrale. Un canapé blanc avec des coussins.

C'est étrange car plus je regarde ce canapé plus il m'évoque des souvenirs oubliés. Je pense comprendre l'origine de cette sensation. Ce canapé je l'avais déjà vu dans mon ancienne maison, chez mon père. Oui c'est ça, c'était ce canapé neuve qu'on avait installé dans le salon il y'a des années déjà de cela. Mon père s'y affalait souvent après le travail.

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Une après-midi, le soleil était ensoleillé dehors. Les enfants jouent dans la petite air de jeu en face de chez moi, les types de jeux enfantin tel la cordes à sauter ou les balançoires pour enfants en bas âge. Moi je restais souvent au rebords de ma fenêtre à les observer, j'avais envie d'y allez aussi mais à force de me prendre des refus de la part de mon père quand je demandais à alles moi aussi jouer j'ai vite abandonné.

C'était devenu mon passe-temps de regarder les enfants jouer dans cet air de jeu, j'ai vite compris que c'était devenu ennuyeux d'attendre devant la fenêtre à observait les autres faire ce dont moi je rêver de faire aussi. Alors je décide d'aller demander une énième fois à mon père son autorisation.