partie 16

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Quelques tentatives infructueuses pour entrer, puis l'ouverture de sa cavité anale s'est propagée. Il se glissa à l'intérieur avec un gémissement et Mina, pour la première fois de sa vie, trouva du plaisir dans quelque chose qui n'était autrefois qu'une demande. Trop de plaisir.

Chaque poussée provoquait chez elle un cri frissonnant. Il lui fallait tout, depuis une libération multiple d'orgasmes, mais elle avait besoin que les deux se rendent compte que la mort allait bientôt arriver. Jay était déjà là, en larmes sous elle, mais Greg ne semblait pas avoir complètement compris la situation.

"Ouais-salope-prends-le," dit Greg. La faiblesse envahissait son corps et il arriva avec un surprenant cri de satisfaction. Le désir de Mina qu'il réalise la mort s'est perdu lorsqu'elle s'est pleinement régalée de son âme.

Greg s'est ratatiné comme un raisin sec au soleil. Même lorsque le ratatinement s'est produit, cela ne s'est pas arrêté. Des craquements résonnèrent dans toute sa vitalité et la vie afflua dans Mina, laissant un tas de poussière entre ses fesses et sur les couilles de Jay. Ni l’un ni l’autre ne l’ont remarqué.

Jay, c'était parce qu'il ne pouvait plus voir à travers sa terreur ou ses larmes. Pour Mina, c’est parce que son corps a recommencé à changer. La douleur dans ses épaules se termina par un bruit déchirant et deux ailes coriaces se déployèrent. Des griffes sombres poussèrent de ses ongles et ses pieds se transformèrent en obsidienne comme des sabots. La masse de son corps augmenta et la fille maigre qu'elle avait commencée comme au début de la nuit disparut dans une beauté voluptueuse.

"Alors Jay, tu es prêt?"

"S'il te plaît, non," supplia-t-il.

"Chut, il est temps d'abandonner votre emprise sur cette existence mortelle", dit-elle.

Jay a seulement gémi, et c'est comme ça qu'il est mort. Pas dans un cri masculin, mais dans des gémissements. Il s'est ratatiné tout comme Greg jusqu'à ce qu'il ne reste plus que de la poussière sous elle. C'était dommage que son client ne se soit pas réveillé, sinon il aurait connu le même sort que les deux autres.

De retour au clocher, sous l'éclair, Mina revint au souvenir de son réveil. Comme elle aurait aimé que des repas comme celui-là soient longs et faciles. Maintenant, il s’agissait de rester sous le radar et de se nourrir lentement et quand elle le pouvait. Cela la laissait épuisée et souvent sous-alimentée. Elle suçait ses doigts collants en attendant que la pluie torrentielle s'atténue. Quand ce fut le cas, elle quitta la tour pour rentrer chez elle.

Une infirmière pas comme les autresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant