RADUCHKA T1 (terminé), T2 (en cours)

T1.Chapitre 12 - Le roumain

NDA : Le concours fyctia a pris fin le 2 avril (hier donc) et je ne suis pas finaliste, j'ai un peu le seum j'avoue j'aime pas perdre haha!! Mais évidemment je ne me démonte pas! Mon challenge désormais est de retranscrire du mieux possible l'histoire de Mia et donc de terminer ce 1er jet.

Et je compte participer au prochain concours qui débute le 25 avril donc pas le temps de s'apitoyer :D

J'espère que vous allez bien et que ce nouveau chap va vous plaire :)

Bonne lecture! 

Le Prince

Notre concentration est à son paroxysme. La tension est électrique dans notre 4X4 de luxe blindé.

Depuis l'arrière du véhicule, je jette un rapide coup d'œil aux deux autres qui nous suivent.

Bien.

- La taupe nous informe que Régis et ses hommes sont tous au repaire. Il y a deux gars postés aux deux entrées. Il s'agit également de leurs seules sorties.

Yian débriefe la situation et donne mes ordres à travers notre radio. Nous sommes quinze et formerons des équipes de deux qui évolueront en même temps.

- Nous devons être rapides. Dès qu'on arrive, on prend les fusils d'assaut et on les encercle. L'équipe trois et quatre, vous resterez dans les environs pour prévenir l'arrivée de renforts.

Leur repaire n'est qu'un immeuble délabré et abandonné depuis des années dans les quartiers pauvres, n'étant rien de plus que des malfrats de bas étages. Mon père n'était pas en accord avec ma décision de les anéantir une bonne fois pour toutes, mais leur gang est devenu un problème depuis quelque temps. Ils ne cessent d'attirer les flics sur notre territoire, à foutre la merde dans nos transactions en tuant des innocents, violant des femmes, intimidant certains commerces du quartier.

Je n'ai cessé de dire à mon père de s'en occuper, en vain.

Il est temps que quelqu'un extermine cette vermine.

Dès que nous nous garons, nous sortons en un grand branle-bas de combat. Nous nous armons rapidement de nos fusils d'assaut équipés de silencieux. Je vérifie mon chargeur et en glisse 2 dans mon gilet pare-balles, ainsi que 2 flingues et je cache un couteau dans ma bottine militaire.

- Vperyod !(En avant !) ordonné-je à mes hommes.

Pas besoin de confirmation verbale pour savoir qu'ils me suivent tous.

Les équipes se mettent en place. Nous testons nos oreillettes et arrivons à grands pas vers les entrées. J'ai 3 équipes avec la mienne qui est composée de Yian et moi-même. Ce dernier prend en joue l'un des gardes. Je cale l'autre dans mon viseur et en un signal nous appuyons sur la détente de nos armes, faisant tomber au sol les 2 hommes.

- Sympa, ces joujoux ! irradie Yian en contemplant nos nouvelles acquisitions. Et ces silencieux ! Plus muet qu'un mort.

Les remarques de Yian sont toujours bizarres. Je ne m'en occupe même plus ayant l'habitude, après toutes ces années à bosser l'un avec l'autre.

Nous avançons et pénétrons les lieux. Les équipes avec nous se dispersent pour couvrir le rez-de-chaussée, la cave et le premier étage. Les autres, qui arriveront un peu après, ou par l'autre côté, devront sécuriser le reste. Yian et moi montons directement vers le dernier étage, où est censé se trouver le bureau de cet enfoiré de Régis. Nous ne faisons aucun bruit, avançant comme des ombres sur les murs infestés de termites.