chaptre 1

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Je vous remercie d'avoir lus mon prologue et n'hésitez pas me dire ce qui vous plaît ou non dans ce chapitre, s'il est trop long, trop court(je n'aime pas l'orque les chapitres le sont trop, alors voilà pourquoi il peut vous semblé un peut petit...) Et je m'excuse pour avoir mis si longtemps à mètre une aussi petite suite, mais je n'ai pas put beaucoup écrire cette semaine à cause du brevet... Navrée et bonne lecture !
Désormais, nous verrons toutes les scènes du poins de vue de Naïla.

Transpirante, elle tenait difficilement son bouclier, qui menaçais de craquer. Elles était trois. Trois à se protéger de... Qui ? Mai le bouclier craqua, entraînant avec lui mon réveil.
Que se passait-il après ? J'avais beau faire et refaire ce rêve, je ne l'ai jamais su. Je me réveillais toujours avant.
#C'est tout de même étrange,dit une voie dans ma tête
#Oui, il semblerait que tu connais les filles sous le bouclier...continua une autre
#Et, d'habitude, tu n'en fait jamais plus d'un par mois...repris la première
#Et là c'est toute les nuit !
-Je sais, les filles... répondis-je
#Tu devrais en parler à ton père !
#Non, surtout pas ! On lui dirais quoi ?"
Oui, je sais, c'est étrange d'avoir des voix dans ça tête, mais que voulez-vous, ma vie est étrange ! Et je les adores ces deux petites voix qui se dispute sans cesse. Et pour répondre à d'éventuelles questions, non, je ne suis pas schizophrène. Je ne l'ais, bien sûr, dit à personne, même pas à ma meilleur amie, si non, tout le monde voudrais me les enlever, mais je ne peut pas me passez d'elles, elles me manqueraient trop...
« Oui, tu nous manquerais toi aussi, mais on est en retard ! »
A oui, la rentrée ! Aujourd'hui, je fait ma deuxième année de lycée, et je hais être en retard. J'enfile vite une petite robe blanche bustier avec mes ballerines dorée, je décide de laisser mes cheveux détachée, et je coure prendre un verre de jus d'orange dans la cuisine.
« Quand même, c'est étrange tous ces rêves...
-Pour une foie elle a raison,c'est vraiment bizarre.
-Pas plus bizarre que de parlée avec des gens dans sa tête ? J'adorais leur parler à voix haute, mais, lorsque j'étais entourée, je préférais leurs parlers mentalement.
-Il y a des degrés dans la bizarrerie ma belle, tu devrais le savoir...
-Mais oui, bien sûr... »
Je prends mes écouteurs, mon portable et partie à pied au lycée, comme tous les matins. Enfin, ce matin ce sera plutôt en courant, vue le retard que j'ai.
Je suis en première J, avec M. Xvidortin, un nouveaux profs, je suppose ; Je me dirige donc dans sa salle, ne voyant pas ma meilleure amie, qui sera,comme tous les jours, en retard.
#Tu voie, vous nous avez encore pressé pour rien, on est en avance. De vingts minutes !
- Oui, et on devait l'être de trente, je hais être en retard !
# Vraiment, toi...
#Quelqu'un rentre !"
En effet, un jeune fille au long cheveux brins, au tin bizarrement pâle et au yeux maron-vert est sur le pas de la porte. Il me semble que je l'a connais... Etrange sensation... Ne parlant jamais à une personne que je ne connais pas ( oui, j'ai aussi une certaine timidité), je détourne le regard, mais voilà qu'elle me parle :
« Salut !
-Salut, dis-je timidement »
Voilà, je la reconnais, c'est Fanny... Ha, je ne me rappelle plus de son nom de famille, c'est étrange, pourtant, habituellement, je n'ai aucun mal à me souvenir de tout cela, je me rappelle même de mes camarades de l'école primaire. Mais voilà qu'elle reprend la conversation :
« Tu me rappelle vaguement quelqu'un, mais je ne vois pas du tout qui... Comment tu t'appelle ?
-Naïla.
-Drôle de prénom... Pourquoi t'appelles-tu ainsi ?
-Ma mère l'aimait beaucoup, ce prénom.
-L'aimait ?
-Oui, elle est morte. Lorsque j'avais six ans. »
Là, je voie la petite bavarde ouvrir de grand yeux, j'ai habitude, mais normalement, c'est de compassion que s'emplisse les yeux, pas de surprise avec un brin de malice et de tristesse. Mais cette tristesse est vielle, presque habituelle, comme une douleur qui reviens -oui, je sais lire dans le regard des gens, une autre de mes petites bizarreries...
« Moi aussi !
Toi aussi quoi ? Répliquais-je
-Ma mère est aussi morte lorsque j'avais six ans, et je n'ai aucun souvenir d'avant...
-Moi non plus, lui confiais-je
-Et bien , nous voilà un poins en commun ! Bien triste, mais tout de même. »
Et avec un plein d'énergie que je ne peux même pas m'expliquer, elle vein s'aasoir àmes côtées et commence son monologue. Elle me fait panser à une de mes Chérie que j'ais dans la tête, elles adort que je les appelle ainsi.
« Pourquoi tu souris ? Me demande t elle soudain
-Par ce que tu me fait panser à quelqu'un...
-Ah oui ? A qui ?
-Une amie très cher...
#Je t'adore aussi ma pusse...
--Cool, comment elle s'appelle ?
-...
-Tu sais quoi ? C'est pas grave si tu veux pas me dire, reprit-elle avec entrain, mais j'ai une question... Ta mère... Elle est morte pendant la nuit ?
-Oui pourquoi ?
-La... La mienne aussi... c'est assez étrange non ?
-Oui en effet, nous interrompis une voie inconnue. Je me présente, M. Xvidortin, votre professeur principale qui vous suivra et vous appendra le grec ancien cette année. Navré de vous interrompre, mais nous devons faire le cour et vite ! »
Tous les élèves envahirent donc la salle et le cour débuta normalement pour le lycée St Pierre, le professeur fut très sympathique, jusqu'à l'arrivée d'une retardataire :
« Excusé-moi, monsieur, dit-elle, certaine de ce faire pardonnée. Mais si vous saviez ce qu'il faut faire pour...
-Et pourquoi le ferais-je ?
-Pardonnez-moi, faire quoi ?
-Vous excusez, Mlle Aph...
-Mlle Ducosa, Et vous m'avez l'aire bien sympathique monsieur, alors, je sis sur que vous n'allez pas m'en vouloir pour une broutille. »
Et, sur ces mot, elle part prendre place, sans perdre son assurance, avec un sourire aussi lumineux que chaleureux pour le professeur.
Ce dernier qui remblais quelque instants au paravent si bienveillant, se mis à avoir le regard des plus méchants des homme. Il en était presque inhumain, presque plus puissant qu'un simple regard de mortel.

fromforeverOù les histoires vivent. Découvrez maintenant