Chapitre 9

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Izuku : Prince Bakugo ! Je...


Bakugo : Ne t'inquiète pas, Deku. Je ne te ferai rien et je ne dirai rien à personne. Promis.


Après avoir entendu ma promesse, Izuku sembla se détendre légèrement. Il essuya ses larmes, mais son regard trahissait toujours une profonde tristesse.


Izuku : Merci... Merci beaucoup, Bakugo...


Sa voix était à peine plus qu'un murmure, mais chaque mot était empreint de gratitude. Je resserrai mon étreinte autour de lui, essayant de lui apporter un peu de réconfort dans cette situation difficile.


Bakugo : Tu n'as pas à me remercier. Je suis là pour toi, Deku.ET appelle moi kacchan 


izuku- Prince je suis desoler pour se surnom je ne voulais pas !

Bakugo : Allez, viens.


Je le sentais trembler légèrement contre moi, et mon cœur se serrait. Je ne pouvais pas supporter de le voir dans cet état.


Bakugo : On devrait rentrer au château maintenant. Tu es trempé et tu as besoin de te reposer.


Izuku hocha faiblement la tête, semblant reconnaissant de mon souci pour lui. Il se sépara doucement de mon étreinte, essuyant une dernière fois ses larmes avant de me suivre en direction du château.


Alors que nous marchions côte à côte, je me sentais étrangement proche de lui, comme si notre lien s'était renforcé au cours de cette expérience. J'étais déterminé à le protéger, quel qu'en soit le prix.


Nous atteignîmes finalement le château, où je conduisis Izuku à sa chambre. Avant de le laisser seul, je lui lançai un regard réconfortant.


Bakugo : Repose-toi bien, Deku. Si tu as besoin de quoi que ce soit, je serai là.


Izuku me regarda avec reconnaissance, un léger sourire se dessinant sur son visage fatigué.


Izuku : Merci, Kacchan.


Sur ces mots, je lui fis un signe de tête et me retirai, laissant Izuku seul dans sa chambre. Alors que je me dirigeais vers ma propre chambre, je ne pus m'empêcher de penser à la vulnérabilité que j'avais vue chez lui. J'avais promis de le protéger, et je comptais bien tenir cette promesse, coûte que coûte, même si cela ne me ressembler pas je me sentais obliger de le faire .

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