Juste.

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J'viens d'un monde où rire était un passe temps et pleurer un cauchemar, lorsque danser était un train de vie et manger un plaisir. Il y avait aussi, là bas, mes amis et mes pensées. Chaque goutte de pluie reflétait la bonne humeur et non les pleurs.
Je viens de là bas mais aujourd'hui je l'ai quitter. Ce monde n'est plus que rêves flous quasiment effacés, il s'estompe à chaque larmes qui dévale mes joues et à chacun de mes pas pour retrouver les miens qui ne le sont pas; car les miens sont ceux que je quitte, ceux qui me rappelle ce lieu de paix. Cet endroit où je me sens chez moi. Cependant cet endroit n'a pas besoin de limite, il n'est pas fixe: il va là où mes semblables le portent. Là où ils me portent...

PARFOISOù les histoires vivent. Découvrez maintenant