Anomaly [Elijah Mikaelson] [1] [Terminé] [French Translation]

XV- L'HYBRID

J'aimait la randonnée. Quand j'était plus jeune, lors des voyages annuels à la maison du lac familial qui faisait toutes les pauses scolaires, Grayson avait l'habitude d'emmener les trois enfants Gilbert faire de la randonnée avec lui. Miranda est venue avec nous de temps en temps, mais elle a surtout choisi de rester derrière et de nous laisser tous les quatre partir sans elle, en utilisant le temps pour préparer le dîner et la soirée de jeu de société qui aurait lieu à leur retour. Les randonnées n'étaient que autour de la forêt entourant la cabane, et elles n'avaient jamais duré plus d'une heure tout au plus avant que quelqu'un - généralement Jeremy - ne commence à se plaindre qu'ils avaient mal aux pieds, mais c'était quelque chose que j'attendait toujours avec impatience quand nous étions là-bas.

Puis l'accident s'est produit, et la randonnée est devenue l'une des choses que j'ai commencé à éviter de faire. Ce n'était pas que je ne m'en souciait plus, mais ce n'était tout simplement pas la même chose sans mon père à mes côtés, essayant de répondre aux nombreuses questions que j'aurais aurait sur toutes les différentes plantes qu'ils avaient rencontrées. Avec un souffle, j'ai légèrement repris mon rythme, essayant de suivre les deux hommes qui marchaient devant moi.
Nous étions arrivés dans les Smoky Mountains tôt ce matin-là, Klaus impatient de trouver l'emplacement de la meute de loups que Ray leur a donnée. La marche jusqu'au camping est ce qui m'a amené à penser à ces randonnées, car il me devenait très clair combien de temps cela faisait que je n'avais pas fait quelque chose comme à ça.
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"Tu vas bien?" Klaus a demandé à Stefan, un ton légèrement moqueur de sa voix. « Ray devient-il en train de devenir lourd ? »

Stefan n'a pas mordu, déplaçant le poids du cadavre qu'il portait sur son épaule. "Je vais bien."

"Tu en es sûr?" Klaus a continué. "Tu sais, nous marchons depuis un certain temps maintenant. Si tu as besoin d'eau ou d'un peu, asseyez-vous..."

Le regard vide de Stefan s'est transformé en un regard d'ennui. "Tu sais, je comprends que nous sommes, euh... nous sommes coincés ensemble, mais si nous pouvions peut-être simplement sauter le bavardadage, ce serait génial."

J'ai levé la main, coupant la conversation. "Mais, si l'offre est ouverte, l'eau serait géniale."

"Tant de c'est de réfléchir." Klaus a dit, me jetant une bouteille d'eau, l'a rattrapant avec facilité. Les deux se sont arrêtés alors que je m'arrêtais, me perchant sur un rocher alors que je m'arrêtait pour boire un verre. "Votre dégoût de vous-même vous étouffe, mon ami."

"C'est peut-être parce que je suis un peu fatigué de chasser les loups-garous." Le Salvatore a tiré sans coup. "Nous y sommes allés tout l'été."

"Grâce à notre ami Ray, nous nous sommes trouvés une meute." Klaus hocha la tête plus loin, d'où venait un bavardage clair. "Là-bas." Stefan est entré dans le camp, tout le monde s'arrêtant et le regardait, alors qu'il déversait le corps de Ray par terre. Le choc et l'incrédulité se sont transformés sur tous leurs visages, une femme se défoulant d'alarme et accroupite aux côtés de Ray. "Ray ! Oh, mon Dieu. Que se passe-t-il? » Elle a exigé, en lui arranant les yeux de Ray pour regarder Stefan. "Qui êtes-vous?" Enroulant un bras autour de mes épaules, Klaus nous précipité dans le camp, s'arrêtant aux côtés de Stefan. Je gémis alors que nous nous arrêtions soudainement, me saisissant l'épaule alors que j'essayait de trouver mon équilibre, me donnant un regard d'ennui. Il m'a renvoyé un sourire, et j'ai résisté à l'envie de le frapper. Je devrais y être habituée maintenant, étant soudainement saisie et déplacée à la vitesse des vampires d'un endroit à l'autre, mais je ne l'était pas. Klaus avait pris pour le faire sans avertissement, et semblait le traiter comme un jeu, essayant d'obtenir une réaction de ma part chaque fois qu'il le faisait. Mais, ne voulant pas lui donner la satisfaction, je me suis mordu la langue et n'a jamais rien dit. Un regard d'agacement était le plus qu'il n'ait jamais eu de lui.