Dans un petit parc d'automne, Sarah dévorait son livre sans prêter attention au feuilles qui balayait l'horizon, quand soudainemeà»;Èe5¸.&?2!(ribgbȸ¸+
Excusez-moi, mon clavier a glissé... Je crois qu'une feuille d'arbre boueuse l'a frappée, mais je ne suis pas sûr... Dans le doute, imaginons les deux possibilités.
La feuille frappa Sarah en plein visage, ce qui provoqua le rire d'un jeune homme qui promenait son chien.
Les feuilles passèrent à côté d'elle sans la toucher, comme si sa concentration la protégeait du monde. Elle continua la lecture de son livre, trébuchant a quelques passages.
—Qu'est-ce qui vous fait rire comme ça ? grogna Sarah en essuyant son visage de la boue.
Ce n'est qu'avec une grande difficulté qu'elle parvient à son bout. Fatiguée, mais satisfaite d'avoir vaincu la matiére, Sarah referma le papier.
—Excusez-moi, vous avez le visage plein de boue. Tenez, un mouchoir aidera.
Sarah commença s'essuyer le visage.Elle rentra tout en repensant à certains passage du livre sur lequel elle devrait écrire une dissertation le lendemain.
Sarah s'empara du mouchoir, puis pour briser le malais, demanda le nom du chien.
— Ma chienne plus tot... Elle s'apelle Sarah !
Le jeune fille se releva, puis claqua le jeune homme.Elle passa une nuit tourmenté par les arguments philosophique sur le déterminisme
Celui-ci baissa le visage sans comprendre la haine Ce n'est qu'après quelques froncement de sourcils qu'il demanda si « Ce serait pas votre nom... Vous en faites pas, Sarah est une chienne très sage. » ce qui lui valut sa seconde claque.
— Bonne journée » grogna Sarah en quittant le parc. Chez elle, impossible d'ouvrir son livre. Elle préféra donc passer la nuit a texter ses mésaventures à ses copines.
Le lendemain, la jeune fille prit le bus. Pas même besoin de lire le ivre durant le trajet, les argument avaient imprégné ses veines,
La jeune fille rata le premier bus en échange de quelques minutes de sommeil, ce qui lui vaudrait trente minute de moins dans l'examen et quelque regards méprisant.
Devant la rédaction, Sarah essaya de traduire son hantise d'hier dans une forme plus introductif, argumentatif, argumentatif deux, conclusif et y parvient assez bien.
Le chien aboyait plus fort que le livre qu'elle n'avait pas fini dans sa tete et au moment de la remise, elle entamait à peine le premier paragraphe. Foutue cours de philosophie. Elle les avait toujours hai..
La jeune fille sortit de l'examen trente minute en avance.. Foutue cours de philosophie, elle les avait toujours aimé.
Sarah finit par oublier sa mauvaise note. De temps en temps, lorsqu'elle s'assoyait au parc, le garcon au chien passait proche d'elle et se payait le luxe de la saluer. Au début, elle l'ignorait mais la ptié fini par prendre le dessus et ils eurent quelques discusssion ensemble. ,
La jeune fille réussit sa session avec brio, les Vacances se passèrent bien, tranquillement, puis sa meilleur amie lui proposa de s'inscrire dans le même cours d'autodéfense qu'elle la prochaine session. Sarah aurait un trou dans son horaire les mercredis alors autant s'inscrire.
Lorsque son amie lui proposa de s'inscrire dans son cours d'auto défense, la jeune fille refusa. De toute façon, ses mercredi serait pris par son ours de philosophie qu'elle devait reprendre. Et... quelque chose occupait plus son intention de toute façon, ce qu'elle ne prit pas la peine d'aborder a sa meilleur amie avant que ca devienne officiel avec le garcon au chien.
La jeune fille adorait ses cours d'auto défense. Elle se rendit vite compte qu'elle avait un certitatif talent pour les claques.
Un jour, ou il n'avait pas emmené son chien, ils l,emmena dans un coin isolé du parc et se mit a pleurer. « Il faut que je te dise quelque chose, j'ai... tu crois qu'on peut échapper a la fatlité ?
Elle l'a regardé, longuement....
—Bien sur !
—Mais les chose sont si incertaine, chaque seconde peut etre la dernière et tout celà ne méne nulle Part.Son examen de chimie avait lieu mercredi, au lendemain d'une séance bien musclées. Sarah avait confiance en ses résultats.
Le jeune homme fronca les sourcils. Il était au bord des larmes.
—Ces dernier mois, j'ai pensé a des choses terrible. J'aurais déjà agi si je te connaissais pas.
Le sourire de la jeune fille s'effaca.
— Comme quoi ?Un jeune homme rentra trente minute en retard alors qu'il n'était même pas inscrit au cours. Dans sa main jouait un revolver. Celui si se tourna vers elle et alors que les cris grinçaient les chaise, ses centaines d'heure d'autodéfense ressurgirent en elle.
— Tu t'enfuirais si je te montrais. Dis-moi simplement. Crois-tu qu'on peut échapper au choix de l'univers ?
La jeune fille parvient à la désarmer en quelques mouvement. Et quand les chaines de télévision s'approchèrent d'elle pour interviewer l'héroïne locale, elle répondra avec une simplicité qu'elle avait acquis de ses bonnes lectures philosophique.
— Bien sur, regarde nous... L'univers ne nous a rien mis en commun, on ne va ni à la même école et nos gouts sont opposé Pourtant, on est l'un devant l'autre. C'est notre instinct qui a voulu ca, il est parvenue à mener nos ames sœurs jusqu'ici, en ce moment.
— Je n'ai fait que défendre ma classe. N'importe qui d'autre aurait fait la même chose à ma place. J'avais déjà vue cette individu trainer dans le parc avec son chien sans jamais lui parler et j'avais tout de suite vu que quelque chose qui clochait avec lui. Heureusement, j'avais commencé a prendre des cours d'art martiaux récemment .D'une certaine maniéré, je crois que c'est mon instinct qui m'a mené à m'asseoir ici, pour sauver la classe de ses attaques.