Les trois porcs

Conte

Un jour d’été où vainrent passer trois porcs de passage cherchant un endroit ou s’installer,ils trouvèrent une petite villes comportant un centre,un prés et un bois,ils se dirent que ce lieu serait un bonne endroits pour s’installer
Un des porcs trouva de la paille morte près d’un garage de ferme et la récupéra pour se construire une maison se dit t’il,mais peu de temps après,à court de paille,il cria à l’aide chez la vache de la ferme et lui tint cette parole:
-Ma soeur vache,auriez vous la bonté divine de me prêter un peu de paille pour mon doux foyer en échange d’un peu d’herbe de mon jardin?
La vache lui répondis poliment
-Bien sûr mon frère porcs va donc chercher l’herbe que tu tiens de ton jardin pour que j’en fasse mon déjeuner. J’ai besoin d’asser de force pour porter toutes la paille que tu désire...
Puis quand la vache fut rassasié elle tendu volontiers la paille au porcs qui ainsi empailla la paille de sorte qu’elle forment un tipi.
Les 2 porcs passant vers le tipi de paille lui tendirent ce langage:
- « Ton tipi ne tiendras pas avant l’aube du coq. Si tu ne prête point attention à nos mise en garde tu te feras dévorer par le prédateur sans notre moindre attention ! ».Mais évidemment il ne prêta pas une piètre attention à leur paroles...
Le second porc ne pouvant point dormir sans un toit trouva non loin d’un fleuve un bucheron endormie et le réveilla sans moindre hésitations.
Le bucheron voyant le cochon devint rouge et lui dit:
-Pourquoi me réveille donc tu sale porc? Si c’est pour que je te mange tu est ainsi cuit!
Le porc répliqua:
-Bonjour chère bucheron je ne te réveille donc point pour cela,je désire que tu me prête un peu de bois en échange de bouteille de lait pleine et fraîche.
Le porc donna un trio de bouteille de lait au bucheron et celui-ci lui donna un bac remplit de buche de bois ce qui posa problème au porcs qui répliqua:
-J’ai besoin de vrai bois pour construire ma maison non de simple buche aussi grande que mes bottes.
Le bucheron prit un aire sûr et répondit:
-Trois simple bouteille de lait ne suffiseront pas à m’acheter tous mon boit. Je veux une dizaine d’oeuf d’oie pour te les donner.
Le porc partit énerver par cette méprise du bucheron et s’en alla à l’étang.
Il prit un panier enterré de boue et ramassa quelques oeuf avant que la mère l’oie se réveille en colère:
-Ainsi nos amis porcs nous ont trahi et mange nos oeuf? Répliqua t’elle.
Le porc lui répondit ainsi :
-Non ma bonne ami oie,j’ai donné quelque bouteille de lait au bucheron en échange de bois mais celui ci m’a donné des buches et désirent une dizaine d’oeuf pour du véritable bois.
-Celà n’est pas juste! Répliqua la bonne oie. Tu a remplit ta part du marché il te doit donc du vrai bois mais j’ai une idée,comme il ne méritent pas de vrai oeuf tu lui donneras des coquilles vides que tu aurais recollé.
Le porc ainsi recollas les coquille d’oeuf avec sa salive et les donna au bucheron qui répliqua
-Tu as déja obtenue dix oeuf sans la moindre égratinure d’oie?Prend donc ma charrette de bois et vas t’en construire ta cabane.
Ainsi le porcs construit sa cabane toutes la nuit durant.
Au lever du soleil le bucheron voyant qu’il avait étais trompé vint voir le porc avec un fusil mais il étais trop tard au porc pour faire ses prière que le bucheron le fusilla.
Un loup de passage passa par le tas de paille du premier porc et le réveilla en lui chuchotant ces quelques paroles :
-Souhaite tu mourir dans ton sommeil ou en dormant ?
Le porc lui marmonna sans prêter attention ou réfléchir:
-Dans mon sommeil.
Le loup sortit de sa poche de la cocaïne et en fit avaler au porc avant de le dévorer mais malencontreusement il s’étouffa avec l’os du porc et tomba à terre sans vie.
Le troisième qui s’était installé bien plus loin sortit de chez lui et se rendit dans une boutique de maçon pour y trouver des briques et ainsi établir la construction de sa maison.
-Monsieur auriez vous la bonté de me donnez quelque briques pour la constructions de ma maison future comme ceci est votre travail. Dit le porc avec assurance. Le maçon lui dit alors :
-Hélas cochon, as tu de quoi payer pour que je te fasse l’offre de ces briques ? Si tu désire en reçevoir tu vas devoir payer avec de la vrai monnaie gagné en travaillant et non point avec ton lait .
Le cochon s’en alla sur ses parole et vint demander de l’aide à un chasseur du coin.
-Monsieur la bonté des humains est grande c’est pour cela que je viens vous demander une faveur.
Un loup vit près de chez moi et une arme ais-je besoin s’il-vous plaît pour me protéger.
--Vas t’en prendre ce fusil sur la table pour chasser ce loup et tu m’en diras des nouvelles mon chère porc pour ainsi gagner ma protection auprès de toi.
Sur ces parole,le cochon s’en alla chez sa mère et la fusilla récupérant tous son argent.
Sur le sentier croisa t-il aussi un homme pauvre qui le suppliait de quelques piece mais regretta après avoir vu le fusille du porc qui lui prit tous le peu d’argent que l’homme disposait.
Une heure durant se reposa t-il sur le sol qu’il finit par se lever et ce rendre à la boutique du maçon qui fut surpris de le voir.
-Déja est tu revenu avec tous cette argent ? Un homme est venu m’avertir d’un porc qui lui à volé tout son argent en le menaçant au fusille. Si tu me prouve que tu a honnêtement gagné cette argent tu pourras avoir mes briques mais si j’aprend que tu as volé cette argent tu sera condamné.
Le porc s’enfuit immédiatement après avoir entendu les paroles du maçon et se réfugia dans la grange de la ferme appartenant au fermier Monsieur Jack Jill.
Le maçon prévenu le maire passant au village de ce qu’il avait étais témoins. Le maire murmura au maçon…
-Vous enverrez la troupe cette nuit vers quatre heure pour fouillé toutes les fermes.
Pendant la nuit le porc sortit et se colla des fausses cornes pour ne pas être reconnu qu’il obtenu en tuant la vache préféré du fermier qui se pendit après l’avoir vu car il ne pourrait point vivre sans elle.
Malheuresement pour le porc les cornes ne tenait plus et un autre porc payer pour l’attraper le piéga en l’emmenant à la mairie, Plus tard le corps de la mère du porc fut découvert en sang par le père dans la maison et l’on hésita pas sur qui était le coupable c’est pour cela qu’un jugement sera apporté le lendemain matin à la mairie, Les présent personnage seront le maçon,l’oie,le chasseur,le père et le maire qui prendra le premier la parole.
-Monsieur Réné Hotsuiss vous êtes accusé de meurtre et de vol ! Je vais laisser la parole au témoins.
Le père prendra la parole le suivant :
-J’ai retrouvé hier soir en rentrant de mon travail le corps de ma femme morte couvert de sang, Il y avait le bouton de la chemise de mon Réné ! Je donne la parole au maçon ! Le maçon prendra donc la parole :
-Je lui ai dit qu’il devait me payer avec de l’argent! Dès qu’il fut entré, moins d’une heure après je le revit avec un importante somme d’argent dans les mains . Je lui dit que si cette argent fut volée il serais condamné puis il s’enfuit sur mes franche parole.
L’oie répondrat à cette parole :
-L’histoire est ma foi fort ardu. Son frère est venu me voir pour avoir de faux œuf et ainsi les donnée au chasseur en échange de buche de boie. Mais le bucheron ne tardera pas à répliqué :
- C’étais donc vous ? Je vais vous fusillé sale piaf !
- « Du calme monsieur Tom ! Allons. ». Répliquera le maire.
-Monsieur le porc vous n’avez plus rien à dire et vous êtes tenu coupable !
Vous serez pendu cette heure même à la ferme du malheureux jack en signe d’exemple pour les autres animaux ! Ce qui se feras comme l’a dit le maire.Tans qu’a vous Mère Oie comme vous nous avez apporté des œuf cette hiver et que vous n’étiez pas au courant des plans du porc vous êtes libre!
Le porc prononceras à lui même ça dernière parole sur terre :
«à quoi bon sert la vie d’un méchant si il ne peut point vivre dans la liberté?»
Après la séance le bucheron rouge comme feu retrouvera le juge dehors :
-L’oie n’a plus d’oeuf ! J’avais besoin de ces œuf je demande donc réparation !
Mais après la réponse négative du juge le bucheron l’abattera sous coups de hache et déplumera l’oie avant de lui couper la tête et de disparaître dans un trou profond menant vers une fosse fort épineuse.