Ilhem : Le destin c'était nous.

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Précédemment

Moi : t'inquiète pas pour sa.

Chapitre 8

Je l'ai salué puis il m'a déposé chez moi. J'avais carrément oublié mes problèmes jusqu'à que je descende de la voiture.

Dans ma chambre il y avait un vase, de base il y avait une fleur dedans mais elle a faner, c'était myriam qui me l'avait offert à mon anniversaire. J'avais que sa donc j'étais obligé de mettre les fleurs dedans.

Je les ai poser sur ma coiffeuse et sa faisait trop beau.

Je me suis démaquiller et je me suis changer pour aller dans mon lit.

J'ai activé le mode stalkeuse et je cherchais les réseaux de ce Sofiane. Juste comme sa hein

J'ai trouver sur insta un profil qui lui correspondait, j'étais sur que c'était lui mais j'avais un peu honte de le dm. Il allait me prendre pour une folle non ?

Au final je l'ai même pas suivi, j'ai screen son profil pour plus tard et j'ai même pas suivi ou autre.

Je me suis allongé dans mon lit et même le sommeil je ne trouvais pas. Je faisais que de penser à ce que ma mère allait me dire quand j'allais rentrer.

Je me suis endormi à peine une heure après.

[...]

A mon réveil j'entendais l'aspirateur, on était vendredi et ma mère ne m'a même pas réveillé pour faire le ménage. Il était déjà 15 heure en plus.

Ne pensez pas que c'est rien. Moi ma mère elle m'a toujours dit que le jour où elle apprend que je fait des trucs avec un garçon ou autre elle me renierait. En plus je suis sur et certaine que quand je suis partie Myriam a continué à mentir. Sinon ma mère m'aurait calculer je pense.

Je suis parti la voir et elle ne m'a même pas regarder

Moi : maman ?

Maman : ...

Moi : voix tremblante tu la crois vraiment ?

Maman : Qui

Moi : Tu crois myriam ?

Maman : Tu crois qu'elle va mentir ? C'est grave de mentir sur sa cousine ! Jamais elle ne mentirais, et surtout pas a nous ! Ta juste a assumer ilhem. Maintenant qu'on sait, c'est fini.

Moi : Mais je jure quatre fois, je pose ma main sur le coran pour jurer même ! Que jamais je n'ai embrasser de garçon.

Maman : Allah y ster, t'es pas ma fille wallah c'est pas possible.

Je commençais à pleurer petit à petit, ma mère était donc en train de me rejeter petit à petit.

Moi : Tu sais quoi ? Ta qu'à la croire ! Je m'en fou totalement, Allah connaît la vérité, et seul Allah m'est important, vous vous êtes que des personnes inutiles. J'ai pas besoin de vous, j'ai besoin de personne d'ailleurs !

Je n'étais pas encore consciente de mes paroles, tout ce que je disais était due à la colère. Mes paroles était certe blessante mais j'avais pas le choix. Elle aussi ces paroles me blessait enfaite.

Maman : Sors

Moi : quoi ? t'es sérieuse ?

Maman : Sors, va te calmer dehors tu reviens quand t'assumera

Moi : Tu sais quoi ? Je reviendrais jamais ! Jamais j'assumerais quelque chose que je n'ai pas fait.

J'étais déjà habillé pour sortir donc j'ai juste mis mes chaussures et j'ai pris la porte. Je me retenais de pleurer pour pas que les gens dehors me voient.