«Razhe! Warle! C'...
-C'est aujourd'hui!!!!!!!!!!!!!!»
Les deux tigreaux ont un mois aujourd'hui, ils vont pour la première fois descendre du plateau oú ils sont nès, et vont visiter l'ile en descendant de leur perchoir par la cascade. Mazia avait un peu grandi depuis la naissance de ses petits, elle était devenu plus forte aussi. Ses petits venaient de luis passer sous le museau en sifflant, de vrai boules de nerfs! Ils attendaient leur mère à côté de la cascade en jouant à la bagarre, aiguisant leurs talent de chasseur et de combattant. Les deux boules de poils se donnaient des coups de patte et de dent puis se sèparèrent et se défièrent du regard une façon de s'intimider. Razhe est le soldat, trapu, fait de muscle, petit et gros, il est assez imposant. Casse-cou et bagarreur, il a attrapé sa première proie à une semaine, s'était un rat et il lui avait sauté dessus l'étouffant lentement. Pour le moment il joue à la bagarre avec son frère, mais un jour il devra se battre pour de vrai s'il veut être un héros. Warle est le cervau, il est grand, long et éffilé, comme se mère. Il est parfait pour l'espionnage et réfléchi tout le temps à l'attaque qu'il va lancer. Conscient que les jeux qu'il fait avec son frère sont des entrainement il se concentre tout le temps, mais un jour il devra faire face à un autre cervau puissant et gagner s'il veut être connu á travers toute la jungle. Face à face, les deux fréres se défient du regard, puis, comme d'hbitude Razhe est le premier à se lancer. Il se jette sur son frére l'attrapant avec soliditée aux épaules et l'enfonçant dans la terre humide, il dévoile de petits crocs pointu et s'approche de la gorge de son frère en grognant «Je vais te tuer.», il n'eu pas le temps d'ouvrir entierement sa machoir que Warle donna un puissant coup de patte arrières dans le ventre de Razhe l'expédiant dans les airs. Celui-ci se retrouva sur le dos, son frère juste au-dessus les crocs légérement poser sur sa jugulaire. Et voilá, sa finissait toujours comme ça, Razhe se lance le premier et Warle gagne tout le temps. Bougon, le perdant miaula :
«C'est pas juste! Tu peux pas me laissez gagner une fois?
-C'est un entrainement Razhe!! Le tigre que tu aura un jour en face de toi ne te laissera peu être en vie, alors bouge toi un peu et tu gagnera ! Tu a le potentiel!»
Razhe siffla, c'était toujours le même discour que tenait son frère, en signe d'énervement il gratta le sol d'une patte trainante. Mazia secoua la tête puis trotta jusque vers eux les couvrant de léchouilles au passage, elle s'assiat et pris le temps de leur expliquer la vie de tigre et "l'évaluation" qu'il allait passer :
«Un tigre vit en solitaire, il doit conquérir un territoire, vous devrez conquérir mon territoire, l'ile donc ...
-On devra se battre contre toi!!!!s'écria Razhe
-Exactement, vous devrez aussi attrapez une grosse proie, un bongo ou un daim, voilá ce que vous devrez faire sur terre. Ensuite vous devrez péchez un poisson de grosse taille. C'est tout, des questions?
-Il y a un temps limite? Demanda Warle.
-Non, répondit-elle, un tigre a toute sa vie pour avoir un territoire, à manger et à boire. Mais essayez d'avoir fini avant se soir, Et n'oubliez pas, tout se fait sur l'ile, je vous surveille.
La tigresse montra à ses petits comment descendre de la colline par la cascade, les lécha une dernière fois, leur dit bonne chance et les poussa du bout du museau vers l'eau tourbillonante. Cette fois, se fut Warle le premier à s'élancer dans l'aventure, il sauta en l'air comme un cabri et ratteri maladroitement dans l'eau. Aussitôt, son frère le suivi éclaboussant sa mère en atterissant dans une gerbe d'eau. Les deux frères se retrouvèrent en bas dans le bassin, ils se issèrent sur la terre s'enfonçant dans la boue, puis se firent un signe d' "aurevoir" et de "bonne chance". Mazia s'ébroua et descendit de la colline en sautant sur les rochers qui jouxtaient la cascade, et elle s'enfonça dans la jungle, entre les feuilles et les arbres humides. Elle marqua aussitôt son territoire pour stimuler ses tigreaux, puis alla espionner Warle. Celui-ci rencontrait justement une famille d'opposum qui le regardait étrangement, comme il n'était pas obliger de les tuer, Warle fit mine de passer après les avoir reniflés dans tous les sens. Mais les petits mammifères dévoilèrent de petites dents pointu et firent frémir leur minuscule museau, furieu, Warle les expédia d'un petits coup de patte et continua son chemin. Une odeur délicieuse apparu alors, celle de sa mère. Il se retourna et se retrouva nez à nez avec la jeune tigresse, aussitôt, il la défia en lui lançant son plus féroce regard. Dévoilant ses peits crocs puis lui sauta sur le dos plantant ses crocs dans sa nuque s'accrochant solidement à ses épaules. Mazia se cabra, rua, et se roula sur le dos écrasant pendant une demi-seconde son fils. Lorsqu'elle se releva, il avait diparu, enfin elle croyait car elle eut à peine le temps de cligner des yeux
qu'il la percuta de plein fouet dans le flan l'écrasant au sol, lui faisant mordre la poussière jusqu'a ce qu'elle dise:«C'est bon, tu a gagné.».
Pendant ce temps, Razhe était caché dans les grandes herbes jaunes de la plaine, ses rayures le camouflait, il avait remarqué une troupe de daim au lointain, le vent était favorable, il était pret. Avançant lentement dans la brousse, le museau dilaté, les oreilles dressées, il avait choisi un vieux daim isolé. S'approchant lentement, le tigreau contracta ses muscles dans un léger grincement, puis il bondit sur le daim, enfonçant ses griffes dans ses épaules. Ses pattes arrières faisaient des moulinets dans le vide éraflant sans cesse les flancs de l'animal, enfin il réussi à se isser sur son dos, il avança avec précaution sur le daim qui n'avait cessé de courir et de faire des cabrioles, agitant sa queue pour garder l'équilibre, il ouvri grand la machoir et s'approcha de la gorge de l'animal. D'un seul coup il vacilla et ses pattes arrières trainait dans la poussière, ralentissant l'allure du daim, il profita de ce moment de faiblesse pour planter ses crocs dans la jugulaire de l'animal l'étouffant lentement. Le daim fini par s'écrouler et Razhe le dévora pour reprendre des forces. Warle marchait sur le sable fin de la plage, il se dirigeait vers les coraux qui sortaient de l'eau dans une explosion de couleurs. Lorsqu'il fut arrivé à destination, il entra avec quelques hésitations puis chercha un poisson de grosse taille comme sa mère lui avait demandé. Il trouva le poisson approprié, un gros poisson papillon qui nageait inconciament dans le corail multicolor. Il s'approcha comme il avait appris, sans bruit et dirigeant son ombre autre part que sur sa proie, et, doucement il s'approcha encore plus près jusqu'a que son ombre dévie lentement, alors il leva la patte et l'abatti sauvagement sur le poisson. Celui-ci vola dans les airs et retomba pile sur les machoirs de Warle qui l'englouti directement. Il avait réussi à pécher un poisson en utilisant la technique de l'ours. Razhe avait le ventre un peu balloné mais il était en pleine forme, alors qu'il descendait vers la plage pour pécher, il sentit une présence dans son dos, il ne réfléchissa pas et fonça droit devant lui. Il entendait sa mère qui courait derrière lui, sans ralentire, il fit volte face et donna un coup de patte sur le museau de sa Mazia et prit aussitôt appui sur ses pattes arrières bondissant sur la jeune tigresse. L'effet de surprise fut parfait, la petite femelle ne savait pas quoi faire elle était écrasée par terre totalement désorientée, elle compris ce qui se passait seulement quand les crocs de Razhe se posère en délicatesse sur sa jugulaire, et pour la deuxième fois de la journée elle dit :«C'est bon, tu a gagné.». Warle errait dans la jungle, complètement perdu lorsqu'une odeur familière lui parvint, un bongo. Le tigreau le repéra facilement, seul, en train de machonner des fruits pourris, il avança lentement entre les feuilles, les bongos étaient rapides, il devrai utiliser l'effet de surprise. Contractant ses muscles, le petit félin fit un dernier pas en avant et bondit hors de sa cachette, sa proie executa une cabriole et déguerpi à une vitesse incroyable. Le tigreau s'élança à sa poursuite sautant par-dessus les troncs d'arbres accèlerant à chaque foulée et fini par lui griffer les flancs et le bongo fut obliger à ralentir son allure. Il contracta ses muscles et bondit sur sa proie une seconde foi, glissa jusqu'à l'encolure et mordit sauvagement dans la gorge du bongo l'étouffant doucement. Warle grogna de satisfaction et dévora l'animal. Razhe mit peu de temps à atteindre les rochers, couverts de mousse et de crabes, éclaboussés constament par des gerbes d'eau salée, il s'aventura avec précaution sur les dents aiguisées des rochers, regardant oú il mettait les coussinets. C'est entre ces rochers qu'il découvra le poisson adapté, un gros poisson chirurgien. Le jeune félin eu juste à plonger la tête, gueule grande ouverte et refermer ses machoirs sur sa proie. Razhe le machouilla avant de l'avaler goulument. Mazia s'était battu avec ses deux fils, ils se battaient très bien, elle les avait vus pécher, parfait et elle avait reniflé la carcasse de leur proie, tuées par un coup de crocs dans la jugulaire, elle était satisfaite. Les trois tigres rentrèrent chez eux dans la grotte sur la colline, fatigués par cette rude journée. De retour chez eux, ils se léchèrent les uns les autres se félicitant, puis Mazia grimpa dans l'arbre et annonça d'une voix claire:
« Bravo mes petits, je suis fière de vous! Vous avez réussi votre évaluation, vous méritez un bon gros sommeil!».
Et tous ronronnèrent de concert
