Passage piéton

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L'amour est un sentiment universel de notre âme , une musique qui nous touche avec ces paroles transparentes dans nos cœurs un simple mots qui détruit nos peurs

  L'amour moi je n'ai vécu , j'ai tout perdu une guerre qui m'a fondu ... chaque seconde de ma vie es une souffrance pour mon âme perdu
    
   C'est le destin qui distribue les cartes, mais c'est nous qui les jouons.














La vie des fois nous cache certaines vérités...

Depuis le divorce de mes parents je vis chez ma mère mon père je le vois de temps en temps ... comme ces les grands vacances scolaires ma mère à conseiller mon frère de m'embaucher pour travailler chez lui dans son fast food , histoire d'être responsable

L'histoire de ma vie débute de cette coïncidence ... comment dis tout es écrit bien avant  , le hasard n'existe pas c'est le destin

« Ton réveil sonne depuis des heures il a réveillé tout l'appartement »
Un mal de tête immense des le matin quoi de mieux , déjà qu'il fait chaud ça m'ennuie de passer mes vacances à taffer dans ce coin oublié du monde hâte de reprendre les cours

   Ma mère avec ça tasse du café a me regarder ouvrir les yeux toute fatigué aucune pitié , mon réveil a sonné une fois elle ses déjà pointé devant ma tête

J'ai quitté mon lit pour me doucher  et plaquer bien mes cheveux en coup de cheval
Rien de ouf je vivais dans ma petite bulle de simplicité , j'ai pris un petit cookie à ma soeur avant de passer la cinquième , sortir pour prendre le métro le matin avec les gens qui poussent de partout faut avoir du mental

Mon travaille ce trouve maximum dis minutes de chez moi  dans une cité de jaunes hommes qui passent leurs vie à tenir les murs , qui me donnait des frissons à chaque fois je mis mon pied là bas je me sens dans un monde parallèle ... je me demande toujours comment Juan à accepter que je boss dans ce coin

Une fois arrivé je salue Mehdi mon collègue pas trop de délires pour le moment mais cava bientôt arriver mdrr , j'étais sur mon tel à échanger avec Zohra quand j'ai vu ça tete apparaître devant moi avec un sourire narquois
"wsh les gars bien ou koi kenz "

J'ai pas eu le temps de répondre que la porte des ouvert et les clients commencent à rentrer je suis vraiment trop gêné pour tapé la discute avec les gens une phobie
J'étais là aller retour pour passer les commandes derrière ,Zohra était sur son tel des fois à la caisse à se taper des délires avec Mehdi je sens un truc entre eux mais je me tais pour le moment
  
Vers l'après midi j'ai passer un coup de propre par tout avec l'aide de Zahra
La journée passe trop vite mais trop chargée le soleil taper fort malgré qu'il était environ dix huit heures ... au tour de cette table a taper des discute avec l'autre qui nous suits

" Moi perso je crois plus en amour argents "
Le sujet était vraiment basic mais intéressant en meme temps
" on es deux , j'ai l'impression qu'on va jamais trouver le bon que des casse têtes "

Dinguerie de ce dire qu'on pensait à ça pour de vrai , au bout d'un moment leurs discussions es devenu vraiment un débat au jai décidé de pas assister mais sortir la poubelle pour les laisser seule , mais la conne ma suivie

" pourquoi tu ma suivi c'est juste une poubelle "
La pauvre comment je l'ai agressé
Elle était choqué avec ces yeux vert
« tu la bien dis ces juste une poubelle cousine calme tes hormones à parler mal comme ça »

Je l'ai regardé avant qu'on Pete de rire comme des folles au milieu de cette route qui était le début de mes peines et mes sourires ou larmes
" azy t'es la pk me fatigué jusqu'à la bas ouvre ta bouche "
Aucun respect j'ai jurer on se clashe tout le temps, on était presque arrivé à la poubelle
En plus le sac était trop lourd

«Kelba va falloir te regarder dans le miroir toi »
J'ai éclaté de rire avec de porter la poubelle et la jeter dans le grand sac noir ... des gamins qu'on es j'ai commencé à faire genre de me jeter dans la poubelle et qu'elle me porte des pieds ... toujours en fou rire nous deux

"Oh purée ta race tire moi y'a une guêpe sur ma tête "
Je panique mais en même temps je chialer de rire on dirait des bourré tout le monde qui nous regardaient, tellement gêner la conne ses casse comme si elle me connaissait pas
   J'aime pas m'afficher ou être le centre d'intérêt ma phobie

Je me suis redressé maladroitement avant que mes yeux tombent sur des iris noir marrant
  Qui me suivent dans mes gestes
Une buzz cut une barbe bien tracé un corps bien formé , ces yeux me lâcher pas d'une seconde même de loin
Jogging noir un haut noir avec un sac carrefour à la main jamais j'oublierais ce détail

Perdu dans ces yeux dans ma tête pour la première fois ça manifeste pour pas baisser le regard en premier d'habitude c'est moi qui perds , mais la c'était hors de question
Je commençais a avancer jusqu'à passage piéton il était toujours en face a me fixer, quand il a mis son pied pour avancer j'ai fait pareil toujours mes yeux dans les siennes
Cette chaleur le soleil qui reflète la beauté de ces yeux les battements de mon coeur à chaque pas nous yeux toujours lié puis j'ai craqué quand son sourire apparu sensation que un jardin de fleurs ses enfleurée dans mon âme , il m'a déstabilise a un point j'ai couru a l'intérieur mon coeur qui a raté a un battement dans ce passage piéton , la chaleur enflammé a l'intérieur cette sensation étrange dans le coeur
« wsh couz ta quoi t'es Grv rouge »
Comme une claque pour revenir à la réalité ça m'a réveillé comme si c'était un rêve dont je voulais pas me réveillé c'est exceptionnel
" il m'a regardé puis sourit "
Inconsciemment , son sourire ses étirer jusqu'au oreilles toujours loin de la mon cœur me fessait mal de ce sentiment étrange au fond
" celui qui était en face au passage piéton , je sais plus jamais je le revoit enlève moi ce sourire c'était juste un regard on es dans une cité ces normal "
C'est quoi cette excuse de Con , D'après tout je voulais pas y croire surtout que j'étais au fond dans la incompréhension ce moment là j'essayais de m'e comprendre

«  oui peut être il ta confondu avec son shab , regarde c'est lui ? »

Mon coeur allait clairement s'arrêter c'était bien lui cette fois sans le sac mes avec des écouteurs branché son regard me faisaient ressentir des chatouilles en bas du ventre
« Tema comment ses yeux te graille de loin »
Tellement j'avais honte j'osais pas lever ma tête , mais Zahra était le contraire suivi ces petits pas jusqu'à disparaître derrière le bus avec un sourire maléfique
« tien soit il habite dans cette cité soit il a pris le bus , mais faire des allé retours avec des sac carrefour chelou le gars »
Déconnecté , dans ma tête tout es mélangé
Mon combat était entre mon coeur et mon cerveau ... être déçu es devenu trop une habitude pour moi
Chaque relation m'a détruit plus de celle d'avant ... Mais lui il a su me faire ressentir ce vivente
" peut être un trafic d'organes "

"Car le feu qui me brûle est celui qui m'éclaire."Kenza Où les histoires vivent. Découvrez maintenant