Klaus Mikaelson (Vampire Diaries)

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Petite parenthèse pour débuter : dans cet imagine Alaric est mort et ne reviens pas à la vie.

Je déposais une rose rouge au pied de sa tombe, m'accroupis et je souriais en même temps de pleurer.
Bien sûr qu'il me manquait, mais je devais tourner la page.
Alaric Saltzman me manquait terriblement, il était non seulement mon professeur mais aussi mon tuteur légal, c'était lui qui m'avais tout appris depuis petite et il venais de mourir. Je pleurai mais je savais qu'il veillait sur moi.
Damon me rejoint une bouteille de bourbon à la main.

Damon - Salut mon pote ! Dit Damon en regardant le ciel.

Il prit une gorgée de bourbon et posa la bouteille à côté de ma rose.
Je souris une dernière fois et me lève laissant Damon seul devant la pierre tombale de son fidèle ami.
Je pars du cimetière et pars en direction du manoir des Mikaelson. Je me suis lié d'amitié avec Rebekah, alors je pars la voir histoire de me changer les idées.

Je toque à leur porte et cette dernière s'ouvre sur Klaus, le frère de Rebekah.

Klaus - Je peux t'aider, ma douce ?

- Est-ce que Rebekah est ici ?

Klaus - Non, elle vient de partir. Désolé pour toi, tu vas devoir te confier à quelqu'un d'autre.

J'affiche un léger sourire comprenant qu'il faisait allusion à lui-même.
Klaus me laisse entrer et je monte les grands escaliers, lui étant derrière moi.
Une fois arrivé dans sa chambre je m'assois sur son grand lit et attend qu'il fasse la même chose. Il reste debout et me regarde. Son regard brûlant sur mon corps me fait tout de suite frissonner.

Klaus - De quoi veux-tu parler ?

- Je t'avoue que je n'ai pas tellement envie de parler. J'ai d'autres plans en tête.

Klaus - Lesquels ?

Je me lève et m'avance vers lui. Seul le bruit de mes escarpins se font entendre dans la pièce. Je pose ma main sur le torse de Klaus qui est recouvert d'une chemise blanche un tant soi peu transparente, je lève mon regard vers lui car même avec des talons il était plus grand que moi. Son regard brûlait de désir et ça m'amusais. Je laissais un baiser dans son cou et il souriait. Je déboutonnais sa chemise et il la retire.
Il leva mon menton avec une de ses mains tandis que l'autre parcourait mon dos pour dégrafer mon soutien-gorge à travers mon pull noir qui laissait voir mes épaules.

Klaus - Lève les bras, mon ange.

Je le regardais et m'exécuta. Il pris mon pull et le fis passer au dessus de moi pour l'enlever. Ma poitrine, a présent nue, ne le laissait pas indifférent.

- Tu aimes ce que tu vois, Klaus ?

Klaus - J'adore, Bella.

Ses lèvres se plaquent au miennes et je mordille la lèvre inférieure de Klaus pendant notre baiser, ce qui le fit grogner.
Je défait la ceinture de son jean noir et baisse ce dernier. Il retire lui-même son sous vêtement, et moi étant encore en jean, il fait de même avec mon pantalon. Me voilà à présent en culotte devant Klaus, celui qui était mon ennemi juré. Il me porte et me pose sur le lit, lui au dessus de moi le laissant libre à parcourir mon corps. Il prend les deux côtés de ma culotte et la fait passer le long de mes jambes et la jette a travers la chambre.
Il descend sa tête entre mes cuisses et embrasse mes cicatrices comme à son habitude. Klaus, sentant que je me crispais à ce contact commence son récit rassurant.

Klaus - J'aime chacune des parcelles de ton corps, Bella. Tes cicatrices sont magnifiques, elles font ta force. T'es vergetures font le charme de ton si beau corps. Et je compte bien te faire aimer ton corps comme moi je l'aime.

Et c'est toujours à ce moment que je fond devant la personne qu'il est. Il est très arrogant et paraît méchant avec les autres, mais avec moi, c'est un amour.
Mon bas-ventre bouillonne quand il embrasse mon intimité avant d'entrer deux doigts en moi. Je me cambre automatiquement face à ce qu'il me fait ressentir.
Il me regarde en même temps de faire ce qu'il sait le mieux faire.
Une fois qu'il voit que je suis satisfaite par ses doigts, il remonte vers moi et m'embrasse avec douceur et passion. Il prend un préservatif dans sa table de chevet et déchire l'emballage à l'aide de ses dents. Il mets son préservatif et me demande mon consentement avant de s'enfoncer en moi.


Il s'écrase doucement sur mon corps et se retire de mon intimité. Il roule sur le côté et s'allonge sur le dos et reprend sa respiration. Il se lève, jette son préservatif à la poubelle tandis que moi j'essaye de me lever mais mes jambes tremblaient et il m'étais impossible de me lever. Klaus s'est approché de moi et m'as porté en princesse jusqu'à sa salle de bain. Il m'as posé dans sa baignoire. Je fais donc couler de l'eau pendant que Klaus va chercher des vêtements pour après notre bain.
Une fois la baignoire remplie d'eau, Klaus s'installe derrière moi et je cale ma tête sur son torse.

Il dessine des petits cercle invisible sur mes bras et je ferme les yeux. Pendant un instant je suis au paradis, Klaus me rend heureuse et m'apaise. Pourtant nous nous voyons seulement pour coucher ensemble et on s'est promis de ne pas avoir de sentiments, du moins je me l'étais promis.
Je ne voulais pas souffrir comme je souffre à chaque fois alors j'ai préféré juste avoir des relations sexuelles avec lui mais je crois que ma promesse ne tient plus..

- Klaus ?

Klaus - Oui, mon ange ?

- Je sais que je m'étais promis de ne pas avoir de sentiments envers toi mais je crois que j'ai pas réussi à tenir ma promesse. Je me sens heureuse avec toi et tu m'apaise. Je suis amoureuse de toi Klaus, je t'aime..

Klaus - J'attendais ce moment avec impatience, je t'ai aimé dès la première fois où je t'ai vu rentrer dans ce bar et depuis tu n'est jamais sortie de mon esprit. Je t'aime aussi, Isabella.

Je me retourne et m'assois en face de lui toujours entre ses jambes. Je me mets à califourchon sur lui et l'embrasse tendrement. Il amplifie le baiser en mettant sa main sur ma joue et finis par m'embrasser le front.

Klaus - Il faut sortir du bain maintenant, on doit aller se coucher.

- On ?

Klaus - Oui, j'ai décidé que tu dormirai ici cette nuit et pleins d'autres nuits si tu le veux bien.

- Avec plaisir !

Je sors de la baignoire et prend une serviette pour me sécher, Klaus m'imite, et une fois sec il mets un caleçon et me prête un de ses t-shirt étant donné que je n'avais pas d'affaire pour dormir puisque je n'avais pas prévu de rester dormir. J'enfile son t-shirt trois fois trop grand pour moi et je me couche au côté de Klaus.

Klaus - Bonne nuit, ma douce.

- Bonne nuit à toi aussi, Klaus.

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