Aveux?

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     Après leur départ, j'étais retourné en cuisine

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     Après leur départ, j'étais retourné en cuisine. Ma conversation de tout à l'heure avec monsieur Therence m'avait vraiment donné chaud ! Depuis le voyage de sa femme, il est vraiment bizarre. Je vais tout faire pour dormir plus tôt aujourd'hui afin d'éviter que l'on ne finisse cette conversation.
        Vers 20h, je venais de prendre un bain, et dès que j'ai suivis le bruit de ronflement du moteur de la voiture de monsieur Therence, je me suis empressé d'éteindre l'ampoule de ma chambre pour qu'il me croit endormie .
       Et ce fut ainsi pendant onze jours, je l'évitais au maximum le matin et le soir, comme il recevait ses amis, il n'avait pas le temps de m'accoster. J'en étais soulagé ! .

       Ce soir j'ai fini plus tôt ! Le repassage des habits de monsieur étant terminé, je montais déposer ses habits à l'étage. Petits coups frappés à la porte pour annoncer mon entrée monsieur dans sa chambre.
        - Oui Julia, entre s'il te plaît !
        - Bonsoir monsieur, j'apporte le linge propre. Je viens de terminer le repassage.
         - D'accord ! Stp profites en pour ranger le dressing et cintrer les chemises. J'ai mis le bazar ce matin en cherchant un blouson.

   Il était torse nu et portait un jogging et des chaussettes. Cet homme est un  vrai Appolon ! Calme toi Julia, c'est ton patron !
     Pendant que je rangeais le linge, il se plaça derrière moi ; je pouvais sentir sa chaleur, son souffle. Chaque fois qu'il était près de moi, il me rappelait à quel point j'étais petite de taille. Il passa ses mains au dessus de ma tête. Il cherchait certainement un pull ou un t-shirt. Son odeur seigneur... Si douce !
          - Julia ?
          - Oui monsieur Therence ?
          - Je crois que tu as eu une semaine pour réfléchir à la question que je t'avais posé. Tu te rappelles ?
      Anti ! Je n'arrive pas à croire qu'il s'en souvienne. Moi qui croyais avoir évité le sujet. Pourtant de son côté il me donnait le temps de réfléchir. La conne !
          -  Je t'écoute Julia ? Tu n'as rien à me dire ? ( Sa voix était devenu plus suave. Il posa ses mains sur mes épaules frêles)
          - Je ne sais vraiment pas quoi répondre monsieur. Ça me mets vraiment mal à l'aise. Je vous admire et vous respecte, et vous le savez. Mais je n'ai pas de réponse à vous donner.
         - Je m'en doutais. Retourne toi. ( Je m'exécutais sans tarder. C'était la première fois que j'étais aussi près de lui, de son visage . Il est vraiment beau cet homme. J'avais de la peine à le regarder dans les yeux .) Je te dégoûte au point où tu n'as pas envie de me regarder ?
          - Il serait irrespectueux de ma part de regarder mon patron dans les yeux, je ne suis que la bonne monsieur.
           - Très bien. Je t'ordonne de me regarder dans les yeux. Voilà c'est beaucoup mieux. ( Il souriait et là je remarquai qu'il avait des fossettes. Il retira une mèche de cheveux en trop sur mon visage puis de son pouce, il me caressa les lèvres.) Julia, es-tu vierge ?
          - Non monsieur.
          - Comment as-tu perdu ta virginité ?
          - Je l'ai échangé contre un peu d'argent quand j'étais encore sans abris. Je n'avais pas mangé depuis une semaine. J'aurai tout donné pour un bout de pain.
         - Tu sais que Aline et moi avions toujours eu de l'administration pour toi ? Lorsque tu avais préféré te mettre à notre service plus tôt que de continuer l'école, ça nous avait choqué. Mais c'était ton choix et on le respectera toujours. Qu'est-ce que ma femme t'a demandé de faire pour moi avant son voyage ?
         - De bien m'occuper de vous, en sachant que vous êtes un homme assez capricieux.
         - Et qu'est ce que tu lui avais répondu ?
         - Euh ... ( J'avalais une grosse gorgée de peur. Je ne me souvenais plus de ma réponse. ) Je ne sais plus, monsieur.
      - Tu refuses de me donner des réponses, pourquoi ? Non ne réponds pas s'il te plaît. Tu sais que ma femme est tout le temps en voyage. Et moi aussi d'ailleurs mais je ne l'ai jamais trompé. J'aurai pu aller voir dehors parce que je n'en peux plus mais je t'ai choisi toi. Depuis quelques jours, je n'arrête pas de penser à toi ; de te regarder. ET à chaque fois que tu te rapproches de moi,  j'ai très envie de te faire l'amour.
         - Monsieur Therence.
         - J'ai toujours eu un faible pour toi. Depuis ton arrivée dans cette maison. Mais tu n'étais qu'une gamine . Aujourd'hui tu as grandi. Laisses moi faire de toi une vraie femme. ( Disait-il en me retournant. Il me tenait par les hanches. Je pouvais deviner qu'il admirait mes fesses.)  J'imagine ton slip entrain de se noyer entre tes deux sillons de fesse, c'est un spectacle qui me rendrais vraiment très heureux.
           - S'ils vous plaît monsieur je voudrais retourner dans chambre. ( Quelle menteuse, j'étais très excitée. Il releva mon uniforme jusqu'aux hanches. )
         - Un string en dentelle de couleur blanche, tu sais vraiment ce qui me plaît Julia. ( Il palpa mon string déjà mouillé de ma cyprine.) Tu mouilles vraiment bien. J'aurai cru que je ne te faisais aucun effet. Julia, est ce que je peux te faire l'amour ?
        - Non monsieur , j'aimerais descendre s'ils vous plaît.
        - D'accord je respecte ta décision ! Tu peux descendre, et s'il te plaît mets mon repas sur la table. Tout ça m'a donné faim !
        - Oui monsieur !
    J'avais eu chaud ! Anti ! C'était encore quel style de tentation ça ? Les riches et leurs envies ! Il vaudrait mieux que j'oublie tout ça ! Une heure après, monsieur Therence avait terminé son repas avant de sortir rejoindre ses amis. Ce n'est que le lendemain matin qu'il rentrera, m'avait-il prévenu.

     Le lendemain vers 14h, mon patron rentra enfin. Il était sorti s'amuser certainement. Et moi qui avait passé une mauvaise nuit à force de repenser à ce qui c'était passé entre lui et moi. Il n'avait pas les mêmes vêtements que la veille. Peut-être était il passé à son appartement situé à Fouda. Ou chez une femme...
        - Julia s'il te plaît fais moi une bonne tisane et monte la dans ma chambre. Non finalement apporte le moi dans mon bureau, celui qui donne sur le jardin. J'ai des trucs à faire.
      - Oui monsieur !
   Lorsque je vins avec le plateau pour composer sa tisane comme à l'accoutumée, il était plongé dans son ordinateur. Il aimait que je tourne sa tisane jusqu'à ce qu'elle tiédisse. J'étais tellement prise par ma besogne que je n'avais pas remarqué qu'il n'était plus à sa place. Il déposa un baiser sur mon cou, ce  qui me fis sursauter et renverser la tasse pleine de tisane.
        - Mince! Je suis vraiment désolée, je vais aller chercher une serpillère pour nettoyer tout ça monsieur.
        - Chu-ute, rien ne presse. De toute façon je n'allais pas la boire. Je voulais juste que tu me rejoignes. ( Il déboutonna ma chemise jusqu'à ce que mes seins soient exposé et sans défense.) Ils sont exactement comme je les ai toujours imaginé, bien ferme. Tes tétons sont si noirs. Ça rend ta poitrine encore plus belle Julia.
         J'étais comme hypnotisé par ses caresses, son odeur ; et je m'efforçais tant bien que mal pour que mon corps ne réagisse pas. Mais comment faire, lorsque ses grandes mains m'empoignent les seins avec autant de douceur ? Son corps si près du mien , jouait de son poids en m'appuyant contre la table. Il souleva ma jambe gauche et la posa sur la table, puis releva ma robe et tira mon string sur le côté. Je reçu deux doigts plein de salive dans mon intimité. J'allais bientôt craquer !
          - Tu es extrêmement étroite Julia, ça me plaît encore plus.
         Il ajouta un troisième doigt. Quel délice ! Une chaleur m'enhavit l'intimité. Cette façon de me doigter était vraiment incroyable ! Son pouce en profiter pour me faire des cercles sur mon clitoris. J'allais bientôt exploser mais il fallait que je le repousse !
           - Pourquoi tu te fais du mal ? Détends toi et arrêtes de retenir ton plaisir. Tu mouiles tellement que je pourrais laver la villa avec. Ton corps tremble tellement.
           - Oh oui, vas-y... ( Je mis ma main sur ma bouche. C'est mon patron ! Monsieur Therence retira ma main et la plaqua derrière) C'est tellement bon, ne vous arrêtez pas s'ils vous plaît.
       Il accélérait les mouvements de ses doigts ! Mais au moment où j'allais jouir, il retira brusquement ses doigts. M'exciter pour me laisser ensuite en plan, c'était vraiment cruel même pour lui ! Ce n'est que dix minutes après que je repris mes esprits et me décidai à entrer au salon. Il était là, couché au salon, comme s'il ne c'était rien passé. J'aurai aimé être aussi sereine que lui.
           - Julia qu'est-ce que tu nous as fais à dîner pour ce soir ?
          - Du haricot blanc avec de la viande de bœuf et des frites de plantain mure. Mais si le menu ne vous plaît pas je peux cuisiner autre chose.
        - Non c'est bon. Je vais manger à 18h aujourd'hui, tu peux aller te reposer. Je te ferai signe quand j'aurai faim.
        - Merci monsieur

      Après l'incident du bureau monsieur Therence n'avait plus rien tenté. Plusieurs jours c'etaient écoulé. J'étais à la fois soulagée et inquiète. Madame Aline était d'ailleurs de retour. Ils étaient sorti en amoureux en fin de journée. Est ce que j'étais jalouse ? Pas du tout ! La jalousie, l'amour, ce sont des sentiments que j'ai toujours eu du mal à ressentir. De plus leur petite virée me permettait de faire du trie à la buanderie pour la lessive. L'équipe de blanchisserie grévait vraiment ! Dans ma besogne j'étais tombé sur un pull à fermeture. Trop grand pour être celui de ma patronne ; alors c'était pour mon patron. Ça sentait extrêmement bon pour un habit sale. Une seconde. Ce parfum ne m'était pas inconnu. Non. Impossible. C'était le même parfum que l'inconnu qui était venu dans ma chambre il y a deux semaines. Non j'arrive pas à y croire. Un papier tomba d'une des poches. Je l'ai ramassé :
    " Je devine que maintenant que tu as trouvé ce vêtement, avec ce parfum, tu sais tout ! Peut-être un peu perdue aussi. Tu m'as vraiment rendu fou cette nuit là ; surtout quand tu faisais semblant de dormir au début. C'était vraiment mignon. Et désolé de t'avoir laissé en plan la dernière fois dans le jardin. Promis je me rattraperai ma Julia.
      Therence, kiss your lips"

   
           

Mes heures de sexe et de service Où les histoires vivent. Découvrez maintenant