Chaque année, 1 000 homicides sont commis en France. Dans 80% des cas, l'auteur est appréhendé. Mais 200 meurtres restent non élucidés...
200 crimes sans coupables, encore plus de questions sans réponse. Ce genre d'affaires une fois classé, par prescription ou fautes de coupables, a de fortes probabilités de sombrer dans l'oubli. D'abord de la justice puis du monde. 200 personnes qui ne subsistent plus que dans les mémoires de ceux qui les ont connus et qui n'ont parfois pas la preuve de leurs morts. On dit à la fois de la justice que la paix est impossible sans elle et que c'est un rouleau compresseur. Étrange paradoxe.
Peut-être dépend t'il du point de vue ? Un homme de loi et la logique même pourront trouver judicieux de clore un dossier ouvert depuis des années sans succès, pour se consacrer à d'autres. Mais comment le pourrait un parent dont le dossier concerne son enfant disparu, dont il attend des nouvelles tous les jours depuis 10 ans ?
C'est un de ces drames que nous allons vous raconter, pour qu'une de ces 200 victimes trouvent un nom et un visage, celui innocent et rieur d'un petit garçon de 9 ans : Théo Fareins, disparu le 25 août 2005 en Côte d'azur.
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C'était pourtant un jour comme les autres.
Short StorySi nous avions connaissance de notre destin, pourrions nous le changer ou marcherons nous tout de même inexorablement vers lui ? D'ailleurs serait t'il judicieux de le changer ? Et si l'horreur, l'interdit, l'abomination, étaient subjectifs ? Pouvo...