chapitre 3 : le réveil

21 2 0
                                    

Je me réveilla en super forme. Je retira ma couverture dans ample geste. Et remarqua mon genou parfaitement guéri.
- tout ça n'était qu'un rêve !?!
Un sentiment de bonheur m'envahit. Mais je tourne la tête et reconnu les murs cramoisis et sur la table de chevet mon médaillon.
- non le cauchemar n'est pas fini
Je pris mon médaillon l'attacha autour de mon cou et me leva
Il devait être vers midi. Je descends les escaliers et salue Mme Dramine. Qui se précipita sur moi en disant
- mon dieu, mon dieu tu t'es enfin réveillée !! Ça fait 2 jours que tu dors
- quoi !!
- on commençait à s'inquiéter

Le reste de la journée se passa normalement. Cependant, j'avais l' impression qu'on avait décuplé mes forces. J avais l impression d avoir énormément d énergie.
Le soir je ne trouvais pas le sommeil, j'avais besoin de me dégourdir les jambes. Alors je me dit que si j'allais dans la forêt je pourrais peut-être retrouver cette force verte. Et si non je pourrais au moins trouver le sommeil. Alors je me leva et descendis les escaliers. Cette fois sans tomber. Et sorti dans la cour. Je me retrouva devant la grille blanche et me préparer à la sauté quand soudain une voix s'éleva derrière moi surprise je sursauta.
- Mademoiselle, tu y en sort par miracle et voilà que tu recommences !!
Le cœur battant je me retourna. Puis Mme Dramine me regarda déconcerté.
- de toute façon le mal est fait. Bon, vas-y sois prudente
- vous ne m'empêchez pas d' y aller ?
- c'est trop tard.
- euh d' accord, merci
Connaissent Mme Dramine et ça m'étonne beaucoup. Alors j'emjanba la clôture et me retrouve dans la forêt.
Le noir était toujours complet les arbres étaient toujours menaçant et le silence régner toujours, cependant je me sentais dans mon élément. Ce qui est assez inquiétant. Je marcha en direction du chêne mais décida de continuer plus loin. Je marchais pendant environ une Demi-heure. Perdu dans mes pensées je ne vis pas la route, ni le poids lourd qui fonce vers moi. Le bruit des pneus  qui tente en vain de freiner qui hurle sur le béton me tire de ma rêverie. Choquée de la situation je reste au milieu de la route en attente de l'impact inévitable. Je n'ai pas le temps d'agir. Le Tarkan, lui est plus rapide.

L'incroyable Histoire D'AlexiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant