LOVE STORY - ESTEBAN OCON - FANFIC2

𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟏𝟗

Monaco.

L'endroit le plus convoité par les hommes et femmes fortunés, les mannequins, les footballeurs ainsi que les pilotes de Formule 1.

Monaco était l'endroit de résidence de Mya ainsi que sa famille exilée du Canada depuis maintenant de nombreuses années.

Une semaine avait passée depuis l'incident de la dernière fois. Ce matin même, Mya se préparait pour se rendre au restaurant, le Louis XV, un des restaurants les plus chics de la principauté afin d'y retrouver sa famille pour déjeuner.

Elle décida d'opter pour un top asymétrique blanc ainsi qu'un pantalon de la même couleur orné d'une ceinture Céline. Cheveux blonds lissés, elle se mit en route.

Arrivée devant le restaurant, un voiturier s'avança pour garer la toute nouvelle voiture offerte par son père : l'Aston Martin DB12.

Mya arriva avec quelques minutes de retard et retrouva son frère, son père, sa belle mère déjà assis à table.

Lawrence : "Ah bah enfin !" dit il en se levant et embrassant sa fille

Mya : "Oui désolé, j'ai eu un petit souci de réveil ce matin... Comment vous allez ? "

Lawrence : " J'ai vu que tu avais fait une arrivée fracassante chez Alpine. Chérie, sérieusement, pourquoi tu t'embêtes tellement à travailler pour une écurie concurrente ? J'ai un poste tout prêt pour toi, qui t'attends !"

Mya : "Papa.. on en a discuté de nombreuses fois. Je ne veux pas que les gens pensent qu'il y a du favoritisme et que sans papa on arriverait à rien dans la vie !"

Lawrence : "Qu'est ce que tu t'en fiches du regard des autres Mya ! Prends exemple sur ton frère, tu penses que certaines personnes ne lui crachent pas dessus ? Et pourtant il se porte bien "

Mya : "Je ne pourrai pas supporter ces rumeurs comme Lance le fait désolé"

Lance : "Papa, je pense qu'on doit respecter le choix de Mya. Les rumeurs moi je m'en fous, je sais que ce je vaux et ça me suffit. Le regard et conneries des autres m'importent peu. Mais, je sais que Mya ne le supporterait pas"

Mya : "Merci Lance..." dit elle en lui prenant la main

Raquel (belle mère) : "Bon changeons de discussion ! Il n'y a pas l'air d'avoir grand monde ici ! C'est étrange..."

Lawrence : "Oui j'ai privatisé l'arrière partie du restaurant. Il y aura juste une table de réservée je crois, celle dernière nous"

En effet, une table magnifiquement dressée se trouvait derrière la table des Stroll.

Peu de temps après, les serveurs arrivèrent avec l'entrée principale. Mya qui était assise face à l'entrée et accueil du restaurant crut bien s'étouffer.

Juste devant elle, devant ses yeux, Esteban accompagné de ses parents venait d'arriver dans la restaurant le plus chic de la ville.

Mya : "Je... je crois qu'il faut que j'aille me repoudrer le visage, je reviens !" dit elle en se relevant précipitamment

Lance leva la tête et analysa très vite la source du problème.

Esteban et ses parents furent dirigés dans la salle par le directeur de l'établissement.

Lawrence : "Les Ocon ! Haha ça fait plaisir de vous voir ! Comment allez-vous ?" dit il en serrant la main du père d'Esteban et saluant sa mère

Laurent : "Lawrence c'est un plaisir ! Ça fait longtemps qu'on se n'est pas croisé !"

Lawrence : "Oh tu sais, quand on est sur les circuits on a pas tellement le temps d'aller boire un café ..." dit il en rigolant

Laurent : "Tu n'as pas tord !"

Lawrence : "D'ailleurs, il me semble que les présentations n'ont pas été faites ! Laurent, Sabrina, voici Raquel mon épouse, bon Lance je ne vous le présente plus haha ! Et ma fille qui ma foi devait avoir une urgence à régler !"

Sabrina : "Je ne savais pas que tu avais une fille ! Elle ne vous accompagne jamais sur les circuits ?"

Lawrence : "À vrai dire c'est un petit peu plus compliqué... Elle travaille déjà sur les circuits, elle était en charge de la communication chez McLaren et vient tout juste d'arriver chez Alpine !"

Laurent : "Bah Esteban ? Tu ne nous avait pas dit que la soeur de Lance avait signé chez Alpine ?" dit il en se retournant vers son fils étant resté muet

Esteban et Lance se regardèrent comme si une forme d'incompréhension était venue interféré entre les deux amis.