Aizawa x reader

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Je m'arrêtais devant le grand bâtiment en forme de H. Pour la première fois depuis le début de mon année scolaire, je n'y avais pas du tout l'impression d'y être à ma place. Je me remis à marcher la tête basse.

•••

J'entrais dans la salle de classe et toutes les discussions s'arrêtèrent. Je marchai sans relever les yeux jusqu'à ma place et m'y assis sans dire un mot.

Peu de temps après ce fut à Shota de rentrer. Le cours débuta, mais une tensions électrique était palpable dans la salle.

Je suppose qu'après la petite révélation, rien ne sera jamais comme avant...

Les cours s'enchaînaient, et vint le temps de la cantine.

En sortant de la salle, plutôt que me diriger vers le réfectoire, j'optai plutôt pour les toilettes. Je rentrai et m'enfermai dans une cabine. Je restai assise les jambes repliées sur ma poitrine, quand j'entendis des filles arriver.

???: peut-être qu'on ne devrait pas être si dures envers elle...

Je reconnu immédiatement la voix de momo et Mina.

MINA: elle a couché avec Aizawa ! C'est dégueulasse !

MOMO: et alors ? Leurs vie personnelles à tout les deux ne nous regarde pas ! Regarde ce qu'à causé cette soirée ! Elle c'est prit un camion !

MINA: ET DONC ? Du fait qu'elle c'est prit un camion on doit la pardonnée ?! Non !

Mina sortie en furie et les pas de Momo la suivirent.

Des larmes dévalèrent mes joues et je me mis à pleurer en silence. Elle ne me voit que comme une traînée ! Ça n'est pas juste ! Pourquoi personne ne comprends...?

•••

La journée passa, mais j'avais comme l'impression de la voir se dérouler sans m'y inclure.

Cette après-midi, nous avions un cours avec All Might. Je me dirigeai vers les vestiaires, mais une main m'attrapa le bras. Je me retournai et vis Shota.

SHOTA: j'ai déjà prévenu All might que tu ne te sentais pas très bien, du au fait que tu sortais de l'hôpital et que du coup je te ferais un cours supplémentaire pour rattraper ce que tu n'as pas fait les dernières semaines.

MOI:mais je me sens très bien...

SHOTA: pourtant tu m'as dis avoir des vertiges tout à l'heure...

Je voyais qu'il regardait autour de nous et plus précisément derrière moi. Les autres élèves devaient sûrement nous observer, et vu la manière qu'il a d'insister, il y a anguille sous roche... serpent sous rocher... vers de terre sous cailloux... microbe sous atome...

MOI: vous avez raison... je me sens faiblarde.

SHOTA: suis moi. Dit-il d'un ton soulagé.

Je le suivis et nous retournâmes dans le bâtiment. Il ouvrit la salle de classe et nous entrâmes. Il referma à clé derrière nous et baissa les volets.

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Je ne voyais plus que les formes des tables et des personnes. D'un coup, je sentis des mains passer derrière mon dos et me plaquer à un torse.

MOI: c'était donc ça le cours particulier...

SHOTA: me masturber en pensant à toi ne m'a pas suffit pour atténuer l'envie.

MOI: je vois...

Un petit sourire éclaira mon visage.

Ses mains descendirent lentement vers le bas de mon dos, et sa bouche commença à s'attaquer à mon cou. Je frissonnais.

MOI: vas-y doucement pour une reprise...

SHOTA: j'essaierai...

Ses mains passèrent sur mes cuisses et il me soulevas pour me mettre en positions assise sur le bureau.

Ses lèvres vinrent se plaquer sur les miennes avec rage. Il mordilla ma lèvres inférieur et j'ouvris un peu plus ma bouche pour lui donner un accès total.

Mes mains, jadis, posées dans son cou commencèrent à détailler les muscles de son bras, puis revinrent sur ses abdos.

Je passa le bout de mes doigts sur son entre-jambe déjà bien serrée dans son pantalon.

Même sans le voir, je sentis un sourire narquois se dessiner sur son beau visage. Il me fit basculer à l'horizontal. Sa main passa sous ma jupe et la releva lentement. Du bout des doigts, il vint caresser ma culotte déjà bien humide. Je me cambrais et lâchais un petit soupire de plaisir. Il écarta le bout de tissu et vint effleurer mon clitoris. Il me fit sortir un petit bruit aigu. Sans que je mis attende, il enfonça deux doigts et commença à faire des mouvements de ciseaux. Je plaquais ma main à ma bouche essayant du mieux que je pouvais de retenir mes gémissements.

Un bruit de fermeture éclair, me fit comprendre qu'il avait ouvert sa braguette.

SHOTA: prête ?

MOI: toujours...

D'un coup sec il s'enfonça en moi et commença de lent va et viens, puis accéléra au fur et à mesure.

Je peinais à retenir mes cris et SHOTA vont m'aider en plaquant ses lèvres sur les miennes.

MOI: je vais pas tarder...

SHOTA: moi aussi...

Le souffle saccadé, il accéléra une fois de plus et alors que mon plaisir s'apprêtait à atteindre son apogée, la poignet s'abaissa...