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Salam aleykoum ,
Comment ça va ?




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Snap : mimi.wtp

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F A Y Z I M










22:56








Je la raccompagne jusqu'à la voiture, l'atmosphère chargée de tension et de ressentiment. Chaque pas que nous faisons ensemble semble être un pas de trop, un rappel de notre mariage forcé.

Arrivés à la voiture, je m'apprête à ouvrir la portière pour déposer le sac que j'avais dans les mains, mais elle me repousse brusquement.

Jawaher : Ne me touche pas !

Moi : Parle-moi autrement.

Elle se glisse dans la voiture, le regard plein de haine, le visage empreint de colère contenue. Je démarre la voiture sans un mot, le silence pesant entre nous comme un poids insupportable.

Nous roulons en silence, chacun perdu dans ses pensées et ses regrets. Le mariage forcé avait été une décision prise par nos familles, une décision que ni elle ni moi n'avions eu le courage de contester.

Si j'avais su, j'aurais évité, mais c'était soit ça, soit... bref.

Arrivés devant chez elle, je coupe le moteur et m'apprête à sortir de la voiture. Mais avant que je ne puisse faire un geste, elle se tourne vers moi, les yeux pleins de défi.

Jawaher : Ne crois pas que je vais te laisser me contrôler. Je suis ici par obligation, mais ne compte pas sur moi pour jouer le rôle de la femme docile.

Moi : en rigolant ,Comme si j'en avais envie. Tu es qu'une croqueuse de diamants pour moi, Jawaher. Et tu le resteras.

Sans un mot de plus, je sors de la voiture et referme la portière derrière moi. Peut-être est-il temps que nous admettions tous les deux que ce mariage était une erreur. Et peut-être est-il temps que nous trouvions le courage de changer notre destinée.



{...}




Nous descendons de la voiture, une distance glaciale s'étant creusée entre nous. Chaque pas semble être un écho de notre animosité mutuelle, une tension palpable emplissant l'air autour de nous.

Alors que nous nous tenons là, sur le trottoir devant chez elle, aucun de nous n'ose briser le silence tendu qui règne entre nous. La seule chose qui nous unit à cet instant est notre destinée commune, scellée par un mariage forcé.

Jawaher me lance un regard cinglant, ses yeux étincelant de mépris et de défi.

Jawaher : Ne pense pas que je vais oublier tout ce que tu as fait. Ce mariage est un fardeau que nous devons tous les deux porter, mais ne t'attends pas à ce que je le fasse avec le sourire.

Je la regarde, mon propre ressentiment reflétant le sien. Nous sommes comme deux étrangers forcés dans une alliance qui ne nous convient ni à l'un ni à l'autre.

Moi : Je n'ai jamais prétendu que ce mariage serait facile, Jawaher. Mais il est ce qu'il est, et nous n'avons pas d'autre choix que de l'accepter.

Elle me fusils du regard , son expression trahissant sa frustration et son impuissance.

𝐉𝐚𝐰𝐚𝐡𝐞𝐫-« 𝐥𝐞 𝐜𝐡𝐚𝐫𝐦𝐞 𝐝𝐞 𝐧𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐩𝐚𝐬𝐬𝐞́.. »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant