Izuku Midoriya est mort

Midoriya s'est rangé du côté des vilains, lui qui a tout fait pour devenir un héro est finalement devenu ce qu'il détestait.
Depuis qu'il s'est fait kidnapper par Tomura il n'est plus le même et personne ne sait ce que les vilains lui ont fait.
Mais malgré son envie d'éliminer tout les héros il y a encore des gens qu'il aime hormis sa mère qu'il préfère laisser en dehors de ça.
Shoto est mort il y a longtemps en protégeant Bakugo. Mais Bakugo lui est toujours en vie. Et Izuku l'aime et le veut près de lui.

Bakugo venait de sortir de l'enceinte de Yuei quand un truc lourd s'est abattu sur l'arrière de son crâne. Le blond se réveil dans une pièce sombre entière en pierre et sans fenêtre, sûrement une cave.
Seulement ses pieds avaient été attaché mais avec des menottes alors malgré ses mains libres il lui été impossible de se libérer.
Une porte s'ouvrit et un garçon aux cheveux verts entra.
Izuku s'agenouilla devant son Katsuki, son regard était triste à la vu de son copain qu'il n'avait pas depuis un temps fou.
Bakugo lui ne pouvait pas éprouver de tristesse, pour lui ce n'était pas Deku qui était devant lui mais seulement une copie mal faite du garçon qu'il aimait.

Midoriya avait bien changer. Il avait quitter son uniforme de Yuei pour une tenue sombre, même ses baskets rouges il ne les portait plus. Ses cheveux verts étaient plus courts bien que toujours de cette étrange couleur. Et sa peau plus pâle, les yeux cernés et les joues plus creuses. Même ses iris étaient devenus plus foncées.
- Tu m'a tant manqué Katchan.

Le garçon enroula ses bras autour du cou de son prisonnier, tellement fort que celui-ci crus s'évanouir.
Deku le lâcha pour le regarder, mais il ne trouvait pas ce regard amoureux et pleins d'envie qu'il lui portait avant.

- tu n'est pas Deku.

- Katchan j'ai changé mais c'est toujours moi.

- Izuku Midoriya avait les yeux pétillants d'amour et d'espoir, il était fort et courageux. Il aimait manger tout ce qu'on lui donnait et il portait d'affreuses chaussures rouges qu'il adorait. Il était un fils à maman et un lycée fou amoureux de Shoto Todoroki et de moi Katsuki Bakugo.

Il s'arrêta pour reprendre son souffle avant de reprendre.

- m'appeler Katchan ne suffit pas. Tu est seulement un garçon affamé et sombre avec un sérieux manque de sommeil.

Izuku se mit debout, il était au bord des larmes. Les paroles du garçon qu'il aimait lui faisait tellement mal.
Bakugo était amoureux de lui mais il était aussi un pervert pleins d'envie et accro au corps délicat du Midoriya. Alors le garçon garçon à la chevelure verdâtre se déshabilla.
Ne gardant que son pull pour se donner un côté mignon, il avait abandonner son pantalon et ses sous-vetements.
Mais le regard pleins de haine et de dégoût de Katsuki persistait.
Deku se remit à genoux près de l'autre lycéen et se frota à lui, enfouiant son visage désormais dégoulinant de larmes dans le cou du blond.
Mais Bakugo le repoussa.

- Tu te ridiculise ! Si tu m'aime alors libére moi au lieu de te frotter à moi comme une pute en manque !

Les mots de Katsuki étaient tranchants. Et malgré sa condition de vilain Midoriya ne pouvait cesser de pleurer.
Il remit ses vêtements et sorti de la pièce. Quelques minutes plus tard deux hommes avec des masques qui cachaient leurs visages entrèrent.
L'un maintenue les bras du lycéen qui se débattait et l'autre lui enfonça l'aiguille d'une seringue dans le cou.

Bakugo se réveilla. La nuit était tomber. Il était allongé dehors près de Yuei dans un endroit éloigné. Il regarda autour de lui, il senti qu'une personne tapis dans l'ombre tout près de lui le regardait.

- je t'aime Katchan. Et je n'arrêterai jamais de t'aimer. Shoto aussi je l'aime. J'ai déposé des fleurs sur sa tombe aujourd'hui. Tant qu'il y aura des roses blanches sur sa tombe c'est que je serai vivant. Si un jour il n'y a plus de roses blanches c'est que je suis mort.

L'ombre s'arrêta de parler. Katsuki regardait toujours vers elle sans rien voir.

- Si je devais être tuer par un héro j'aimerais que ce soit toi et personne d'autre. Ces hero étaient mes amis, aucun n'aura le courage de me tuer mais toi tu l'aura. J'aime Shoto Todoroki et je t'aime Katsuki Bakugo.

Et l'ombre disparu sans faire un seul bruit.
Bakugo marcha jusqu'à Yuei.

Quand il rejoigna la salle principale du dortoir tout le monde y était réuni.
Mina lui sauta au cou en criant son nom.

Après avoir expliquer rapidement ce qu'il s'était passer il alla se coucher. Il ne leur parla pas de Deku qui se déshabille ni de l'ombre qui lui avait parler.
Dans son lit, avant de s'endormir Bakugo laissa s'échapper de ses yeux quelques larmes, les premières depuis qu'il était enfant et les dernières avant longtemps.
Il avait perdu les deux amours de sa vie mais n'avait pas verser une seule larme parce qu'il voulait se montrer fort.

Le lendemain il alla acheter un bouquet et se rendi au cimetière, il y allait aussi souvent qu'il le pouvait, dès qu'il avait du temps libre. Et il apportait des fleurs chaque semaine.
Sur la tombe était poser un magnifique vase aux motifs fleuri dans le quel était déposé un bouquet de roses blanches.

Le temps passa, 2 ans depuis le kidnapping de Bakugo part Deku et depuis il ne l'avais jamais revu et n'avait eu aucun contact avec lui. Mais les roses étaient toujours posées sur la tombe de Todoroki.
Quand il voyait les fleurs ce n'ai pas au garçon sombre et maigrichon à qui il pensait mais au garçon pleins de vie et de rêve.

Un combat eu lieu en ville, Katsuki et d'autres héro rentrèrent à la base des héros.
Kirishima et Ochako accoururent vers lui en criant des trucs incompréhensible.
Il les faisa taire et les supplia de se calmer.

- Bakugo ! Pendant le combat en ville tout à l'heure, Ochako et moi on se battait d'en un coin un peu reculer et on a vu Midoriya !

Katsuki eu un choque. Pourquoi qu'il est était aperçu lui faisait autant d'effet ? Est-ce que c'était parce que personne ne l'avait vu pendant un combat jusqu'à aujourd'hui ou était-ce parce qu'il avait peur pour lui.
Le blond se leva sans rien dire.

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Bon alors c'est pas terminer, peut-être que je le terminerai un jour mais ça m'étonnerai.
Bref, bye.