L'arrivée

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La montre intelligente de Mégane affichait 13:45, normalement elle serait en route vers le local de Français mais aujourd'hui c'était différent. Après ces nombreuse crises de panique, les docteurs de Mégane avais envoyé un ultimatum au parent de cette dernières pour qu'elle soit déplacée dans un centre spécialisé pour son cas. Pourtant plusieurs autres jeunes avais de nombreuse crises de panique lié au stress et à l'anxiété mais pourtant, aucuns d'entre eux n'avais été déplacé au C.P.J.D.L.V (centre pour jeunes de LaViolette) Malgré le fais que les médecins aie convenu que le centre étais l'endroit adapté pour Mégane, ni ces parents, ni elle même n'en étais aussi sur. Pour eux, si un adolescent est en difficulté avec son stress, il faut qu'il s'y habitue et non l'en éloigner, mais un médecin reste un médecin et c'est sous la proposition (obligations il faut bien se le dire) que la famille Caron prirent la route vers le C.P.J.D.L.V, à contrecœur.

***

La voiture des parents de Mégane s'approchait dangereusement de l'institut lugubre. Le vieil établissement avait été construit en 1879 par le grand maître architecte Ronaldisist 1er. Au premier abord, le C.P.J.D.L.V avait l'air d'une école secondaire privé comme les autres, mais dès lors qu'un pied étais posé sur le petit tapis orange ou étais marqué: Welcome ! L'école ternissait face au bois vernis d'un turquoise copieux et des pilier de marbre blanc qui s'étendaient à des mètres au dessus de leurs tête. Comment c'est raconter au aurais dis que c'est du grand luxe mais votre auteure épargne les mites qui se cachent dans les murs ainsi que les pensionnaires pâlit par la fatigue et l'épuisement.

Les marches lugubre menait au quatre étages
supérieur et grinçaient à chaque fois qu'un centième de pied se déposait sur quelconque marche. Les dortoirs quand à eux pourrais gagner n'importe quel concours de la pièce la moins laide par mis les laides. Chacun des dortoirs arboraient une couleurs terne différente, des tons jaunes au tons violet, en passant par le rouge et le vert. Les dortoirs vieillis n'avais été entretenu depuis des années ce qui contrastais avec les bureaux du personnel qui eux avais l'air d'être entretenus à chaque seconde de chaque minute de chaque heure.

En résumé, l'établissement arborait une mode victorienne et n'avais aucunement l'air d'un centre jeunesse.

***

-1606... 1607... 1608... 1609, oh! Voilà, 1610
Megan ouvrit la porte de son dortoir et était prête à découvrir qui serais sa colocataire.
- Salut ?
Pas de réponse
- Salut ?
Toujours pas de réponses
- SALUT ?
- oui oui y a quelqu'un pas besoin de crier... weirdo
- Oh euh désolé de t'avoir dérangé, je m'appelle Mégane Caron et je suis nouvelle ici, tu est ?
- Juliette Barbon.
Mégane pris direction vers le lit non occuper. Le dortoir qui allais désormais être sa chambre étais couverts de papier peint rose à fleurs et d'un lampadaire datant des année 60. Le côté de dortoir de la dénommé Juliette était rose, mais ROSE. La literie était rose, les posters étais rose. La seule chose qui n'étais pas cette couleur étais la coiffeuse qui étais d'un blanc marbre, sur celle si se trouvais du maquillage et des produits pour la peau.

Mégane s'arma d'un outils servant à faire partir le papier peint et commença à retirer ce dernier. Elle traça une ligne blanche au milieu du soir tour pour faire office de mur. De son côté elle commença à peindre des petit dessins dans le style de Tim Burton un peut partout. Elle posa des posters à l'effigie de groupe de rock des années 80/90 et posa sa literie noire. Une table basse et un miroir fut fut posé dans le recoin de la pièce.

Le Ying et le Yong se dit Mégane. Elle étais le Yong et Juliette le Ying.

- Bonjour Mégane, bienvenu au C.P.J.D.L.V voici un petit cadeau de bienvenu, j'espère que ton séjour à notre institut te feras du bien. Nous avons posé ton horaire sur ton lit. Nous souperons dans 30 minute à toute à l'heure !
- Merci beaucoup, vous êtes ?
- Je suis mad-
- Madame Thornhill
- Juliette.
- Madame.
- A tout à l'heure les filles !
C'est sur ces mots que Madame Thornhill quitta la pièce laissant Juliette et Mégane sur une fin à désirer.
- Tu me dis pas merci ?
- Pourquoi j'te l'dirais t'a envoyé promené une prof Juliette
- Elle veut impressionner tout l'monde pis es « dangereuse »
- Dangereuse ?
- Disons que tu veux pas avoir d'ennui avec elle
- Dis de même t'es full stressante
- Ce l'est
Juliette quitta la pièce sur ces mots étrange laissant Mégane sur une légère inquiétude.

***

Merci d'avoir lu ce chapitre au moment où vous lisez ceci, le chapitre 2 et peut être le 3 sont déjà publié. J'espère que cela vous a plu moi j'ai eu beaucoup de plaisir à écrire.

Qu'est-ce que Juliette voulais dire lorsqu'elle a dis que la concierge étais dangereuse, que ce passera-t-il au souper. Vous le saurez en lisant la suite (pour la concierge ce n'est pas dans le chapitre 2) à bientôt !

Ce livre est une invention de A a Z, si une ressemblance avec personne et autre livre sachez que c'est complètement involontaire et que je ne souhaite que laissez libre cours à mon imagination.

USER4379Où les histoires vivent. Découvrez maintenant