Inspiration : Le Cœur du Prince Corbeau de Odette Tessonja.
- Ô cruelle, comment oses-tu ? Tu pars, sans te retourner, emportant mon cœur que tu as poignardé sans aucune piété. Est-ce donc mon destin ? Finir seul, abandonné par les êtres que j'aime ? Tu es si belle, mais si cruelle... Et mon cœur en lambeaux n'est plus qu'un mort flambeau. Il en est fini de nous, de tout ? Tu pars définitivement ? Très bien qu'il en soit ainsi.
Tu repars et moi, je m'égare. Ô cruelle !
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Répliques
PoesiePar la foison de mon inspiration, je me suis laissé tenter par la théâtrale rédaction. Les médias ajoutés ne m'appartiennent pas.