ESCORPION

4. Dernière Lagrima

IAMRIVERRA PRESENT

ESCORPION

Je vient de me rendre compte après trois relecture , qu'il n'y a pas de plage à la où elle habite..

Chapitre 5.  Dernière Lagrima 

Point de vue : Bella Muera

On roule désormais depuis plus de deux heures , la patience et la fatigue ce mélange dans mon cœur de façon inespérée tend à prouver que ma faiblesse m'accable au plus haut point . Isabella toujours pied sur l'accélérateur et toujours crispée sur son siège ne lâche plus d'un regard la route qui semble être interminable et effrayante à la vue d'aucun automobiliste.

Bien que la froideur de cette ville ne puisse se faire ressentir , j'essaie tout de même de penser à autre chose que le négatif mais bien que nous sommes tourné dans un monde défunt et que je n'arrive pas à voir le bout du tunnel j'éprouve une certaine gratitude .

Bien qu'elle ralentis sur l'accélérateur , nous fîmes sortir de notre cocon silencieux , parce que la vitre de ma droite vient de s'éclater .

Je n'arrive pas à parler et lui répondre quoi que ce soit qu'elle reprend pied sur cette accélérateur sans prendre en compte que nous sommes suivit par deux motards et une voiture qui était à présent à quelques centimètres de nous .

-PREND LE FLINGUE ! Me hurle-t-elle .

Tout d'abord je contracte mes épaules , ensuite je suis partie sur le sac de sous mes pieds en l'ouvrant en grand pour me frayer un passage afin de retrouver le flingue que je lui tend .

Gardant contact sur la route que sur nos chauffards qui semble bien trop proche , on échange aussi rapidement que fatiguant nos places afin que je sois à la place du conducteur et celle du passager .

Conduire un bolide est l'une des dernières choses que j'aurais pu me créer en tête . Je chasse mes pensées suicidaires afin de me rassurer au maximum et pas angoisser sur le fait que je conduise un bolide sans même avoir mon permis de conduire .

J'avale le nœud de ma gorge et lance des petits coups d'œil à Isabella qui semble s'en sortir avec ce flingue , comme si elle avait déjà l'expérience de manipuler un engin de haute qualité à l'hostilité extrême . La concentration pouvais ce le lire sur son visage mais j'était bien trop distraite pour constater que j'ai lâché l'accélérateur et que ma prima vient de se prendre une balle dans le bras pas ma faute .

Je tremble sur le volant et finit par mettre un coup sec à l'accélérateur et de soulever le levier de vitesse afin d'être au dernier niveau . Notre effrénée aussi dangereuse que anxieuse fait que je suis toute rouge d'angoisse à regarder la route en essayant de chasser à l'idée que Isabella est dans une marée de sang par son bras qui jaillissant un liquide puant .

Et en un geste brusque je peux sentir le vide de sous nos pieds voir depuis le rétro-viseur nos ravisseurs en haut de la colline à nous contemplés et à percevoir que le sol se rapproche bien trop rapidement , notamment l'eau .