LE BAISEROOM

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Pdv bad boy :

Je n'en revenais pas, mon corps était paralysé, je ne réalisais pas ce qu'il venait de se passer.

Je peux concevoir que lui et moi on ne s'est jamais entendu mais c'était carrément inattendu qu'il révèle ça devant tout le lycée. J'ai honte et je regrette ce que j'ai fais cet été...

Je trace ma route à travers la foule bouche bée sans jeter un coup d'œil derrière mon épaule.Les larmes me montent

Pdv sportif :
La situation m'amusais beaucoup jusqu'à ce qu'il parte brusquement. Même si il évita mon regard j'ai pu voir ses yeux remplis de chagrin..Cette fois ci c'est moi qui suis allé trop loin.

Pris d'une culpabilité hors norme je tenta de le rattraper mais il accéléra il s'entame alors une course poursuite dans les couloirs.

la course nous mena directement aux toilettes,mon bad boy s'enferma dans une des cabines a double tour.  je resta un instand devant la porte sans savoir quoi faire, prit de cours; et alors que j'étais sur le point de laisser tomber j'entendis sa respiration saccadée a travers la porte...


flashback le bad boy 

Le bruit du fouet sur ma peau me laissait des marques rouges et brûlantes 

père : je me troue le cul pour cette famille tout ça pour avoir un pédé de fils !

moi:" mais de quoi tu parles putain je suis pas une fucking pedale"murmurai-je entre deux sanglots; meme si au fond je savais de quoi il s'agissait.

père: ah oui vraiment !? j'ai utilisé ton ordiiii ce matin pour regarder tatoo master et la sur quoi je tombe ? Un porno. si seulement y'avait que ça ce serait pas un souci MAIS UNE PUTAIN D'ORGIS  DE PUTAIN DE GAYS QUI S'ENCULENT BRUYAMMENT MAIS BOUDIOU J'AI FAIS QUOI POUR MÉRITER UN FILS AUSSI INCAPABLE QUE TOI ? 

A ce moment précis, ma vie pris un tournant décisif, même si mon père m'avais toujours battu cette fois c'était la fois de trop. J'étais la pétrifié, mort de honte sur le carrelage froid de la cuisine délabrée pleine de cafards de puces et d'araignées qui me jette un regard froid et jugeur 

j'étais dégouté, mais pas de ce qui s'est passé,de moi même, de ce que je ressentais et surtout de ce que j'étais 

retour au présent 

pdv bad boy 

mes membres tremblaient de façon incontrôlables je n'arrivais pas a reprendre ma respiration pleine de spasmes 

les larmes coulaient sur mes joues tel les chutes du Niagara.

et si d'autres élèves avaient entendus ?

et si mon père finissaient par l'apprendre ? je ne pourrais plus jamais rentrer chez moi 

tout a coup j'entendis mon bourreau de coeur tenter de fracasser la porte avec son énorme panar taille 56 ( et oui grands pieds grosse..) 

le sportif : laisse moi rentrer 

moi : NON TAGUEULE 

alors que je pensais qu'il allait enfin débarrasser le plancher je le vis escalader la cabine tel le chimpanzé qu'il pense être 

il atterit avec fracas a mes coté et me vis recroqueviller sur la cuvette des chiottes tel le pd que je pense être

il ne dit rien, s'avanca vers moi de maniere determinée et me fit un ENOORME POUTOU D4AMOUR AVEC PLEIN DE BAVE ET TOUT 



j'étais chokbar.


pdv sportif 

il me repoussa avec rage de ses petites mains fébriles prêt a me fracasser comme il pouvait 

le bad boy: ptn mais casse toi t'as cru que j'étais ta go ? !

le sportif : pardon le couz je suis allé trop loin

on se fixa un instant puis il me galocha torridement l'oreille 

cela rajoute un peu de peps.

s'en suivit des ébats entre les quatre murs branlants de la cabine de mauvaise qualitée 

on baisa  comme des lapins pendant une heure avant de sortir de la cabine un peu amochés et de retourner en cours de manière la plus indifférente possible 

pdv extérieur 

les deux amants sortirent en boitant insouciants et épanouis ( des vrais imbéciles heureux ) des toilettes du 4eme étage de la fontaine des eaux couloir ses en face de la salle de madame gode 

MAIS, dans l'ombre, le voyant infrarouge d'une caméra sony clignait dans le noir obscur....................................................................................................................................................................................................................................................................................................................



Le convoitéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant