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Chapitre 2: le commencement

CHAPITRE 2 : le commencement

-princesse ??? répondit-je avec incompréhension après avoir repris mes esprits.

-je vous est tant attendu votre altesse, vous êtes enfin là vous m'avez tellement fait attendre votre altesse je pensais qu'il vous était arrivé malheur durant votre séjour sur terre... dit-elle en resserrant ses mains contre sur les miennes.

-je ne sais pas qui vous êtes et comment vous me connaissez mais une chose est sûre dans ce monde les gens que je croise me connaisse la plupart du temps. Alors que moi je ne sais pas où je suis et apparemment je ne sais pas qui je suis non plus... répondit-je en retirant mes mains délicatement des siennes.

-je suis désoler votre altesse, il a fort longtemps votre père ma baptiser lumière celle qui vois tout et qui sait tout comme les rayons de lumière qui éclaire chaque partie du monde. Je suis l'un des douze dons de Cor le royaume perdu et je suis là pour vous aider dans votre quête.

- les douze dons de Cor ??

-c'est exact mais durant la grande bataille, 11 dons ont trouvé la mort. Je suis la seule à avoir survécu. Et les dieux élémentaires qui étais la source de magie la plus puissante on péris; mais nul ne sait comment ils ont faient pour mourir. Mais je ne me suis pas réveillée pour te faire un cours d'histoire, je me suis réveillée pour te donner ceci. En disant cela elle me tant un sac ou se trouvait quatre cristaux avec différent éclat de lumière ; il y avait un cristal bleu marin, rouge, vert et un autre bleu azur. Il était plus beau des uns des autres.

-des cristaux ?? je suis censé faire quoi avec ça ??

- ton but est de remettre la paix dans ce monde et pour cela il faut rééquilibrer le monde céleste en attribuant des nouveaux dieux à celui-ci. Et pour sa tu dois suivre leurs lumières qui t'emmènera aux nouveaux dieux ou de leur renaissance.

Sur le coup je me suis demander pourquoi moi ? Et pourquoi pas un autre. Je n'ai strictement rien à foutre de leur bordel je veux juste retrouver ma famille, et rentrer chez moi. Je n'ai jamais souhaité aider ses personnes et pourtant je dois le faire pour pouvoir retrouver ma famille. Quoi qu'il en coûte tant que je peux les revoir je ferais tout et n'importe quoi pour les revoir. Mais comment je peux être sûr de faire confiance à lumière peut être qu'elle m'envoie directement dans un piège ou un truc de ce genre. Au même moment on toqua à la porte ; lumière leur dit de rentrée Archtna rentra alors avec Aeron en main. Je me suis empressée de lui demander s'il allait bien et visiblement il allait bien.

-Asha tu vas bien aussi, je suis désolé j'aurais dû être plus vigilant. Je suis désolé...

-Ce n'est pas de ta faute j'ai suivi quelqu'un dans la forêt mais quand je suis tombée dans le trou je l'ai perdue de vue c'était une jeune fille aux cheveux de couleur des nuages un jour de tempête, elle était assez pale en fait elle paraissait en noir et blanc...

-noir et blanc tu dis, c'est étrange. Répondit lumière d'une ère soucieuse

Lumière fit un coup de main et dit à Archtna de nous emmener dans les appartements qu'ils ont préparez pour nous. Sur le chemin et arriver à l'endroit où nous allons dormir, j'ai remarqué que Aeron faisais une drôle de tête et je lui ai demander le pourquoi de cette et il me répondit :

-je suis désoler de te demander sa peut te paraitre bizarre ou pervers mais j'aimerais pouvoir parcourir ton corps pour être sûr que tu ne sois pas blessée....

- mais je vais bien t'inquiète, tu le vois. Sur le coup je n'avais vraiment pas fait attention à la situation étant donné que Aeron est aveugle, après cette réflexion entre moi et moi et sa tête qui me disait littéralement « tu es sérieuse je suis aveugle Asha » je lui est quand même dit oui. Il commença par le bas monta sur mes genoux puis ma cuisse ces mains se sont retrouvés sur les mienne et il continua de longer mon bras, le scrutant pour savoir s'il a une quelconque blessure sur moi, il atteignit enfin mon visage bien lui ne pouvais rien voir son regard étais des plus instance tel l'instant où ces mains se sont déposées sur mon visage, son souffle qui se sentait sur ma peau étais la chose la plus dangereuse au monde.