Contre Nature - BARDATTAL

CHAPITRE I

NDA: Salut j'espère que vous allez bien, je poste cette histoire simplement parce que j'avais quelques notes qui traînaient (je fais des fautes m'en voulez pas svp) et que je suis à fond sur eux.. Pour ce chapitre j'ai repris quelques dialogues de vidéos que j'ai trouvé, je le ferai sûrement de nouveau puisque même si j'ai du mal à écrire, j'aimerai qu'elle soit réaliste et cohérente avec certains faits réel.
     ATTENTION: Je ne fais la promotion d'AUCUN parti politique, cette histoire sort de ma tête et je ne cherche pas la guerre vu que certains ce font assommer par de la haine que je ne comprends pas.
Bref voilà c'est ma première histoire soyez indulgent...

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PDV JORDAN:

Mon téléphone me réveille, m'indiquant qu'il est l'heure pour moi de me préparer physiquement et mentalement pour ce nouveau débat. Je ne me fais pas vraiment de soucis, j'ai travaillé dessus les deux dernières soirées d'arrache pieds. Je me lève et fais attention à ne pas trébucher dans quelques boules de papiers qui avaient fini sur le sol dû à mon manque de concentration et à ma fatigue.
Je me douche et me dirige vers ma cuisine me mettre quelque chose sous la dent histoire d'éviter les innombrables remarques sur le fait que je suis toujours affamé. En mangeant je fais défiler les notifications de mon téléphone: TikTok, Instagram, YouTube, WhatsApp, etc... J'en aperçois une de Marine m'informant qu'il serait préférable que j'arrive plus en avance cette fois, le débat est particulièrement important aujourd'hui.

[ 1h30 plus tard, dans sa loge (flemmarde sur vous) ]

...et n'oublie pas qu'ils vont tous faire des sous entendus racistes sur le Rassemblement National. Méfies-toi également du Premier Ministre, il a une sacrée répartie. Continue seulement de défendre nos valeurs sans prendre leurs accusations à cœur, m'explique Marine pendant qu'elle lit mes notes une dernière fois alors que je croque dans ma pomme.

J'en suis conscients ne vous inquiétez pas. N'empêche que sortir un argument si sous la ceinture serait quand même signe d'un manque de répartie de leur part, je m'attends et espère mieux de Gabriel Attal même si il est notre adversaire, répondis-je en me levant pour jeter le trognon de ma pomme.

Je retourne m'asseoir seul dans un coin pour être au calme avant le débat que je prédis être intense, comme à chaque débat avec Mr Attal d'ailleurs. Il y a toujours eu cette concurrence entre nous pendant ces moments où nous conversons sur le plateau devant de millions de français. Une sorte de passion et de respect malgré nos idées complètement opposées. En revanche j'ai du mal à comprendre ces petits sourires en coin qu'il m'offre à certains moment, parfois j'ai envie d'en rire mais je me retiens comme je peux pour éviter tout drama ou toute rumeur qui pourraient affecter mon parti.

On me ramène sur terre quand je vois une main devant mon visage, je relève les yeux et vois Marine qui m'indique que je dois commencer à me diriger vers les coulisses pour les quinze dernière minutes de préparatif. Je me lève donc et rejoins les coulisses où je vois Gabriel Attal déjà assis sur un tabouret son attention portée à son téléphone. M'attardant quelques secondes sur lui, je remarque qu'il est particulièrement petit: ses pieds ne touchent même pas le sol, ce qui explique pourquoi il les posent sur le repose pieds. Après ma courte rêverie sur le Premier Ministre, je me dirige donc vers le tabouret le plus proche qui se situe juste à côté de lui. Je m'assois tranquillement et remarque que le STAF commence à s'agiter autour de nous avant le début de l'émission. Je décide de ne pas m'attarder sur eux et sort mon téléphone à mon tour, espérant passer les quinze prochaines minutes qu'il reste plus rapidement.

Quelques minutes plus tard avant le débat.

Un homme assit devant une caméra pas loin de nous nous observe depuis un moment et se décide à nous répété simplement ce qui devait lui trotter dans la tête: Vous avez l'air plutôt apaisé la, avant le débat.

Cette remarque a le don de nous faire lever les yeux de nos téléphones puisque Gabriel et moi même échangeons un regard étonné. On doit sûrement penser à la même chose?
Je réponds simplement: Bah on va pas faire un combat de boxe?

Oui mais c'est quand même deux visions complètement différentes... nous réponds l'homme en face de nous qui oublie complètement les réglages qu'il doit faire sur la caméra devant lui.

Le Premier Ministre prend la parole en lui répondant simplement, C'est vrai mais ça ne veut pas dire qu'on doit se taper dessus en dehors de nos débats. N'ai-je pas raison Mr Bardella?

Mes yeux étaient déjà posés sur Gabriel quand il m'offre son regard, il y a quelque chose chez lui de différent. Les gens sont tellement compliqués de nos jours, je ne saurais même pas l'expliquer mais il a l'air tellement...simple. J'hoche donc la tête montrant que je suis d'accord avec ses propos, j'ajoute même, En effet, nos positions politique ne devraient pas être un problème dans notre communication lors de nos échanges en dehors de débats. Il n'y aurait aucun intérêt à nous prendre la tête à la moindre discussion.

Le temps a l'air de passer plus vite depuis que j'ai commencé à discuter avec le Premier Ministre, il est calme, souriant. Notre discussion dérive lentement de professionnelle à personnelle mais cela ne me dérange pas réellement. Apparement lui non plus n'a pas l'air déranger puisqu'il alimente notre conversation. La seule chose qui nous fait sortir de notre petit monde sont nos noms pratiquement crié par le journaliste qui nous fait signe d'entré sur le plateau.

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Voilà c'était le premier chapitre, j'espère que vous avez aimer. Encore une fois je m'excuse si il y a des fautes d'orthographes...