- Tessa réveille toi , nous sommes déjà en retard pour les cours, s'exclama Sophie en ouvrant les rideaux de la chambre de son amie.
Elle étouffa un cri en retrouvant son amie entièrement nue sur le lit à côté de sept jeunes hommes qui eux aussi sont nus.
Encore des coups d'un soir, quand vas tu enfin te calmer Tessa, pensa t'elle amèrement
- Ferme ces rideaux Sophie, la lumière me pique les yeux, grogna Tessa en redressant du lit suivi des sept jeunes hommes qui s'empressèrent de s'habiller sous le regard dégoûté de sa meilleure amie.
- On remet ça quand tu veux poupée, lui dit l'un des jeunes hommes en lui donnant la fessée puis ils s'en allèrent eux tous.
Sophie secoua tristement la tête en regardant les bouteilles de bière qui traînaient au sol.
- Tessa tu m'avais promis d'arrêter avec l'alcool et les coups d'un soir, la gronda amèrement Sophie.
- J'arrêterai quand il sera enfin à moi, en attendant je profite d'abord de ma vie, répondit t'elle en haussant les épaules.
Sophie éclata de rire et regarda son amie avec pitié.
- Tu ne seras jamais avec lui , tu avais perdu déjà ta chance le jour où tu avais commencé à coucher avec tous les hommes que tu croisais et tu connais aussi bien l'histoire de sa mère, il ne voudra jamais sortir avec une jeune femme qui lui rappelle sa mère. Alors je te conseille d'arrêter de t'imaginer une quelconque relation avec lui , lui dit véridiquement Sophie.
Tessa se leva nonchalamment du lit puis toisa son amie.
- Tu es juste jalouse que ça moi qu' il aime, je vais l' épouser dans quelques années tu verras, cracha t'elle en s'en allant dans la salle de bain.
- Je t'aurais prévenu , murmura tristement Sophie en secouant la tête.
Trente minutes plus tard Tessa ressortit de la salle de bain vêtu d'une mini jupe en cuir et d'un débardeur blanc , elle mit des escarpins noirs puis elle pris son sac à main et s'en alla avec son amie.
- Nous allons marcher un peu ma voiture a eu un problème hier, mes parents m'en achèteront une nouvelle dans deux jours, lui dit Tessa en traversant le bitume.
- Heureusement que l'université est à dix minutes de marche, souffla Sophie.
Dix minutes plus tard, elles arrivèrent au campus.
- Coucou les filles, les salua zuri en avançant vers elles. Tessa j'ai une mauvaise nouvelle à t'annoncer, Continua t'elle tristement.
- Laquelle ? S'empressa t'elle de demander.
- Il repart dans l'armée dans deux mois, lui répondit t'elle.
- Quoi ? Il ne peut pas me faire ça, je dois le voir. Où est t'il ? Tonna t'elle.
- Il est avec les autres garçons chez les BÊTA, répondit t'elle.
Celle ci s'empressa d'y aller en courant suivi de ses amies.
- C'est vrai que tu repars dans l'armée ? Lui demanda t'elle en le retrouvant près d'une vingtaine d'étudiants.
Celui ci pivota vers elle et la regarda de toute sa hauteur.
- Oui , répondit t'il froidement.
- Et tu ne comptais rien me dire ? S'agaça t'elle.
- Oui, dit t'il en encrant ses iris noires dans les siennes.
- Tu es au courant que je suis amoureuse de toi, et tu comptais t'en aller comme ça, sanglota t'elle.
- Oui , dit t'il sans une once de tendresse.
- J'en mare de tes '' oui '' , fais au moins une phrase complète, cria t'elle.
- Non , répondit t'il avec son air impassible.
- Je t'aime et je veux être avec toi, lui avoua t'elle les yeux brillants d'espoir.
- Moi non , répondit t'il robotiquement.
Ces mots sortis de sa bouche furent comme un poignard, elle s'accrocha à aux bras de ses amies afin de ne pas s'écrouler au sol, ses yeux furent brouillés de larmes.
- P....p..p...pourquoi ? Sanglota t'elle.
- Je ne sortirai jamais avec une femme qui écarte ses jambes à plusieurs hommes , tu es comparable à une pute bon marché, néanmoins les prostituées le font pour l'argent mais toi tu le fais gratuitement. Le corps d'une femme est sacré mais le tien est souillé, tu ne le respectes pas. Les femmes comme toi ne m'attireront jamais, je ne veux jamais toucher une femme dont le corps a été parcouru par des milliers d'hommes avant c'est pas dans mon éthique. N'oublie jamais mes mots , je ne t'aime pas et ne t'aimerai jamais Tessa, cracha t'il avec dégoût en s'en allant sans un regard en arrière pour elle.
Tous les étudiants se mirent rire et à lui pointer du doigt.
- Je t'aime CYRIAC ALKIS, Cria t'elle en espérant qu'il revienne mais en vain.
Un jour tu seras à moi CYRIAC ALKIS...........
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LA TENTATION DE CYRIAC ALKIS : LES FRÈRES KOSLOV [ TOME III ]
Romance- Maman j'ai très faim, tu ne m'as rien donné à manger depuis hier, sanglotais je. - Norma, fais taire cette morveuse , articula mon père. - Ferme la, petite peste, me gronda ma mère en me tirant les cheveux. - Aieeeee, crias je en pleurant. - Arrêt...