[ Mo dao zu shi fan fiction ] - Oyasumi

Chapitre 1

Les rêves sont des sirènes de la mort.

Ils séduisent et guident l'endormi dans une épopée douce, lumineuse, chaude, éloigné de la froideur, l'obscurité, de la prison qu'est la triste réalité. Plus notre réalité est horrible plus leur pouvoir est intense, plus l'envie de les rejoindre devient intenses à son tour.

Le rêve éternel n'est possible que lors d'un sommeil éternel.

Hors le sommeil éternel n'est rien d'autre que la mort.

les sirènes attirent les marins à la mort.

Les rêves sont sirènes.

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OYASUMI

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Chef de clan !

Chef de clan !

Le domestique courrait dans tous les couloirs du quai du lotus pour retrouver le chef de celui ci. Les mains tenant un paquet, il l'offrit à son maitre, et entre deux respirations lourdes et saccadés, il articula.

- Un présent pour vous de la part de votre neveu apparemment.

Debout devant les juniors qui s'entrainaient, le chef de clan leva juste un sourcils en prenant le colis en râlant.

- Ca fait une semaine qu'il était censé arrivé au quai du Lotus, il ne m'a donné aucune nouvelle. Je sens qu'il a fait une grosse bêtise et essaye de m'amadouer avec un cadeau. Comme si ça allait marcher.

Il avait l'habitude que son neveu disparaisse une à deux semaines sans donner nouvelle après des disputes ou avant de lui annoncer une bêtise qu'il avait fait. Après tous c'était un jeune adolescent au caractère bien fort.

Dans le paquet se trouvait une lettre et une boite emballé dans du tissue. Il attrapa d'abord la lettre, la lisant dans sa tête. Il fallut pas longtemps pour que son visage se décompose, ce n'était pas l'écriture de Jin ling, ni sa façon d'écrire.

" Chères oncles, ne vous inquiétez bien je vais bien. Je suis simplement retenu en otage, et pour ma liberté, vous devez donner au gentil monsieur qui me garde, le contrôle total de votre clan. Sinon il me tranchera en deux et offrira à chacun de mes chères oncles adorés un morceau. Si vous êtes d'accord rendez-vous forêt de Yīnyǐng avant le ####. Si vous croyez pas à cette lettre, je vous invite à regarder le paquet. Venez vite me sauver ! Je vous aime très chères oncles ! "

La tache de sang à côté des mots semblait être une tentative de baiser comme ferait les femmes amoureuses. Mais là ça ne ressemblait à rien tellement le liquide s'était étalé. Comme marquer, il ouvrit le paquet, mais à peine il avait aperçu l'intérieur que le colis avait touché le sol. Cela avait exhumé à la vue de tous un morceau de doigt.

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- Oh mon dieu... marmonna Wei ying en regardant la lettre à son tour.

Jiang cheng avait les bras croisés le dos posé sur le mur, Jin guangyao était resté assit face à Lan zhan aussi silencieux que celui ci.

- Depuis quand il est disparu ? Continua Wei ying.