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  Je m'appelle Alice, je suis ce qu'on appel dans le jargon une fille banale. J'habite seule car mes parents on déménager et que je voulais pas partir avec eux, j'ai peu d'amis, un petit boulot où le patron me prend pour une conne. Mais pourtant, j'ai mon petit rayon de soleil qui rend ma vie énormément incroyable, Elios, mon meilleur amis.

"Je veux rester jeune pour toujours", étaient les mots qui nous revenaient toujours en tête lorsque on était ensemble. Tout allait bien jusqu'à ce que quelque chose change. Il avait commencer a se surmenait a cause de son travail, suivait de nombreux régimes, et que a cause que tout cela il s'effondrait et vomissait souvent. J'essayai souvent de le raisonné a propos de tout sa et de prendre du temps pour lui mais il ne m'écouter pas.

Et ce jour a changé ma vie ; c'était le pire jour de ma vie. Jamais j'aurais cru que ce serait si difficile à supporter. Elios a été hospitalisé pendant plusieurs jours car son état avait empiré et nécessitait un traitement spécial. Mon cœur ne pouvait cesser de souffrir de ne pas l'avoir aidé plus tôt, même si j'avais essayé.

Pendant plusieurs jours, il a reçu des traitements, a essayé de manger et s'est remis au travail. Il se sentait mieux que par le passé, reprenant enfin son poids et passant plus de temps avec moi, et j'en était très heureuse de le revoir dans sa peau. Mais c'était un mensonge, juste pour ne pas m'inquiéter.

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// 2 Mois plus tard//

Il devait être je pense 19h quand je décida d'envoi a message a Elios car cela faisait déjà deux jours que je n'avait pas de nouvelle. J'avais essayer a plusieurs reprise de l'appeler mais il ne décrocher jamais. J'ai même essayer d'aller a son boulot vu qu'il y passait beaucoup de son temps, mais la encore toujours rien. D'après les dires de son patron cela faisait plusieurs jours qu'il ne c'était pas présenté au boulot. Je ne savais pas du tout quoi faire, je me rendit alors vers ma voiture en ayant pour but d'aller chez lui (Oui j'aurais pu le faire plus tôt mais j'étais trop pris par mon travail pour y aller). Je ressaya de lui envoyé un message, mais cela n'aboutis de nouveau pas. J'ai juré dans ma barbe, ne sachant pas ce qui se passait, me posant tant de questions. Je l'appela a nouveau mais encore, je tomba sur sa messagerie. Et quand j'allais commencé a prendre la route je reçu un message disant qu'il voulait mettre fin à ses jours. Pardon ?! J'ai regardé le texte avec de grands yeux et, sans réfléchir, je me suis précipité vers son appartement. Pendant tous le long du trajets j'avais son message dans la tête, je ne pouvait me le retiré de l'esprit. Je ne comprenait pas du tout ce qui avait fait qu'il veule ce retirer la vie.

Arrivé à son appartement je sauta en dehors de la voiture et couru jusqu'à chez lui. A chaque marche que je monter je ne pouvait penser qu'il était peu-être déjà trop tard. Arrivé devant ça porte qui était ouverte je rentra en trombe dans son domicile. J'accouru dans le salon du quel j'entendais des pleures. Arriver dans la pièce je le vit sur le balcon, pencher, près a sauter. Je couru alors afin de le rattraper, je lui attrapa son sweat à capuche et je l'ais tiré en arrière. Il laissa échapper un son surpris alors que on tombé tous les deux par terre dans le salon, moi au dessus lui. J'avais envie de lui crier dessus, de lui demander pourquoi mais soudain, les yeux de Elios se remplirent de larmes. Il a fondu en larmes en une seconde et je ne savais pas quoi faire.

Je regarda le jeune alors que celui ci était entrain de pleurer et ce cacher le visage pour ne pas affronter mon regard.

"Pourquoi ? Pourquoi es-tu venu ?!" s'est-il plaint. Son corps trembler, il pleurer a en avoir du mal a respirer, il avait l'air si brisé. Je le fit s'asseoir et le pris dans mes bras pour le calmer.

« Chuuut, je suis là, t'inquiète pas »

Le corps de Elios tremblait à cause des pleures, il se sentais coupable, brisé et triste, mais aussi un peu soulagé que je sois a ces coté, même si il ne voulais pas trop que je le vois dans cette état.

« Pardon... pardon de t'avoir inquiéter... Je voulais... marmonna-t-il à travers ses sanglot

- Hey, chut, calme toi, respire. Tiens prend mon pull tu auras moins froid, et respire juste, je suis là, ne t'en fait pas »

Le jeune homme hocha la tête, prenant de grande respiration tremblantes. Dès que j'avais enlevé mon pull je lui fit mettre, puis que cela fit il ce re-blottie dans mes bras. Il posa ca tête au niveau de ma poitrine, il tremblait toujours a cause des pleures mais il essayait avec beaucoup de difficulté de calmer ca respiration.

Ces sanglots se calmèrent lentement et sa respiration commença a devenir plus régulière. Il ferma les yeux, se concentrant sur la sensation de ma poitrine contre sa joue, trouvant du réconfort en ma présence. Elios a continué a s'accrocher a moi, ses larmes tachant mon haut. Il sentis la douleurs dans sa poitrine qui commencer a s'atténuer, remplacée par un sentiment de sécurité dans mon étreinte. Après un long moment passé a s'accrocher a moi et a prendre de profondes respirations, il parla finalement, sa voix toujours tremblante et douce.

« Je...suis désolé... »

Je le serra un peu plus dans mes bras en lui assurant qu'il n'avait pas a être désolé. Il resserra un peu l'étreinte qu'il avait sur moi et repris une grande respiration avant de me dire que c'était de ca faute si j'avais eu autant peur. Je le regarda essayer de rester concentrait sur ce qu'il disait puis quand il eu fini je le rassura en lui affirmant que je m'en fichait totalement et que l'importance maintenant c'est que je sois là pour lui. Le blond reprit une autres respiration tremblante ne voulant pas rétorquer. On resta un moment dans le silence, mon tenant fermement Elios dans mes bras et lui qui tremblait et essayer toujours de calmer ça respiration.

Je pris la main du garçons et la posa au niveau de mon coeur en lui demandant d'essayer que son coeur fasse pareil. Le blondinet ne me décrocha pas un seul regard et fis simplement ce que je lui demanda. Après je dirait quinze bonne minute Elios avait enfin réussi a ce calmer presque au max qu'il le pouvait. Il hocha la tête contre ma poitrine, ne voulant pas encore lever la tête. Il se sentait toujours vulnérable et le confort d'être blotti contre moi était trop apaisant.

« On... On peut rester comme ça un peu plus longtemps... ? 

Pardon...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant